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je me souviens de ce temps pas si lointain où je pouvais encore être à tes côtés.
Rien que ta présence me faisait du bien, savoir que tu étais là, si près de moi.
Je pouvais encore te sentir, te toucher, te caresser.
Ton corps que j'aimais tant, ton esprit, ton caractère, nul autre ne pouvait les sentir comme moi je les éprouvais.
J'ai appris à te connaître, *. J'ai eu le temps. J'ai pris ce temps. C'était nécessaire. Tu n'étais pas de ces filles qui s'offraient à n'importe qui. J'ai appris à te connaitre, à t'apprivoiser, et tu en as fait de même. Ce n'était pourtant pas gagné, au départ.
Mais ce temps, était-ce du temps perdu ? Aurais-je du presser le pas, presser mes gestes, presses mes sentiments pour que tu découvres plus vite que tu ne l'as découvert ce que j'éprouvais à ton égard ? Pour pouvoir réellement être avec toi...
Je me suis approché au plus près de ce que j'espèrais. Il manquait rien, si peu pour que je sois pleinement heureux. Qu'aurais pensé * ? et * ? On s'en fout.
Tout ce qui comptait, alors, c'était toi.
Je suis à 300 km de toi, maintenant. Mais je pense à toi aussi souvent que si je te voyais tout les jours.
Faudrait peut-être que je passe à autre chose. Je vais y réfléchir.
A bientôt.
je me souviens de ce temps pas si lointain où je pouvais encore être à tes côtés.
Rien que ta présence me faisait du bien, savoir que tu étais là, si près de moi.
Je pouvais encore te sentir, te toucher, te caresser.
Ton corps que j'aimais tant, ton esprit, ton caractère, nul autre ne pouvait les sentir comme moi je les éprouvais.
J'ai appris à te connaître, *. J'ai eu le temps. J'ai pris ce temps. C'était nécessaire. Tu n'étais pas de ces filles qui s'offraient à n'importe qui. J'ai appris à te connaitre, à t'apprivoiser, et tu en as fait de même. Ce n'était pourtant pas gagné, au départ.
Mais ce temps, était-ce du temps perdu ? Aurais-je du presser le pas, presser mes gestes, presses mes sentiments pour que tu découvres plus vite que tu ne l'as découvert ce que j'éprouvais à ton égard ? Pour pouvoir réellement être avec toi...
Je me suis approché au plus près de ce que j'espèrais. Il manquait rien, si peu pour que je sois pleinement heureux. Qu'aurais pensé * ? et * ? On s'en fout.
Tout ce qui comptait, alors, c'était toi.
Je suis à 300 km de toi, maintenant. Mais je pense à toi aussi souvent que si je te voyais tout les jours.
Faudrait peut-être que je passe à autre chose. Je vais y réfléchir.
A bientôt.