Lettres mortes

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Anonyme
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t'es pas très rock'n roll mon cher loup… :p

Si ! Car comme le dit ce bon Doc, il m'est arrivé de payer l'équivalent de de X trajets en métro juste pour un rendez-vous, à une époque où ma banquière me détestait, et que jamais, au grand jamais je ne l'ai sur le moment -ou par la suite- regretté ! ;)
Même pour une dont je ne suis pas bien sûr, comme chante un certain, qu'elle soit "l'avenir de l'homme"....
 
Chère,

Je t'écris en vain. Je me suis tellement éloignée de toi que je me suis plongée dans le temps. Dans l'inconsistance du temps dont aucune dimension n'existe. Ou, si elles existent, ce n'est que dans mon âme. Mon âme est distendue entre passé, présent et avenir. Je suis déchirement, car errance dans mes dimensions temporelles intérieures. Si loin de ton unité.

Oui, c'est en vain que je t'écris

Ou alors, peut-être qu'il y a un triple présent.
 
D.

Je n'arrive pas à t'écrire. Je vais me le placarder ailleurs pour voir si ça passe.
Ça fait si longtemps. Je sais que tu es toujours là, j'ai regardé l'annuaire.
Mais comment commencer.
Je suis allé voir M. au cimetière, et D. et M. aussi. Le village est toujours aussi beau.
Tu n'as pas du y aller souvent, hein ? Je ne sais pas comment t'en parler sans que tu culpabilises. Je m'en fous que tu veilles tes morts, je voudrais juste savoir comment tu vas.
Tu es si loin. J'aimerais venir, mais c'est difficile à organiser.
D., aide-moi, merde, dis quelque chose.
 
Chers parents,

Il faut que je vous dise... C’est arrivé. Je savais bien que le couperet finirait par tomber un jour ou l’autre. Il a mis le temps. Non je ne suis pas enceinte (pas que je sache), non je ne vais pas me marier (pas que je sache), non je ne suis pas malade (pas que je sache), non je ne suis pas lesbienne ni bi (pas que je sache), non je ne vais pas changer de sexe (pas que je sache), non je ne pars pas vivre en Suède (pas que je sache).
Chers parents, malgré toute l’estime que j’ai pour vous, je me dois de vous l’avouer. Vous êtes de vieux cons. Ou alors ne serait-ce qu’un simple conflit de génération ? Ô désillusion ! Mais je vous aime, évidemment. Vous resterez à jamais mes géniteurs. Comment vous rendre ce cadeau si précieux que vous m’avez offert ? Par l’amour inconditionnel, certainement. Ou quelque chose s’y apparentant.
J’ai fini par comprendre, des indices m’ont mis sur la voie. D’abord il y a eu Fred, moi ensuite et mes choix que vous n’approuvez pas (mais alors pas du tout).
Les premières fois sont douloureuses, c’est bien connu. Vous n’avez pas été tendres. Avec vos mots cruels, je me suis aperçue de ce que pouvait être la douleur que l’on ressent lorsqu’on prend une décision que les personnes les plus chères n’approuvent pas. Et puis les larmes coulent sous les ponts.
Je sais que vous voulez le meilleur pour votre progéniture. La sécurité de l’avenir. Mais rendez-vous bien compte : rien ne pourra conjurer l’incertitude des lendemains. Et sûrement pas un diplôme universitaire. Ce qui est censé m’apporter cette sécurité future me rend profondément malheureuse aujourd’hui. Je me rends malade pour les années à venir. Je ne pense pas que tout est possible, mais ce que vous avez imaginé pour moi ne me plaît pas.
Vous êtes décevants. Non, chers parents, ce n’est pas du « dilettantisme » ! Cela s’appelle un choix. Je ne veux pas devenir chanteuse ou actrice de série B (ou pire...), vous le savez bien. Pourquoi alors ne portez que si peu de crédit à mes projets pourtant raisonnablement réalistes ? Je l’admets, je ne sais pas exactement vers quoi je vais et si je ne le sais pas c’est aussi un peu de votre faute, à vous qui avez tracé mon « cursus honorum ». Mais désormais je sais vers quoi je ne veux pas aller. Ce que j’apprends me désintéresse voire me dégoûte, moi qui étais de nature vive et curieuse. Je ne souhaite pas développer une intolérance à la nourriture de l’esprit et pourtant c’est ce qui arrive petit à petit. Chaque jour je la vomis un peu plus. Je m’intoxique à la scientificité pédante. N'est-ce pas mon bonheur que vous voulez ? « Peu importe que ce que tu fais pourvu que tu sois heureuse ». Quel fossé entre la pratique et vos théories !
Je ne souhaite pas que vous approuviez, mais je vous demande de ne pas me tourner le dos, de ne me pas me claquer la porte au nez encore une fois.
Je vous laisse méditer sur l’état de votre fille, chers parents, en espérant que vous retrouverez la sérénité en même temps que je retrouverai la mienne.
 
Azul Janora,

Na'nga def ?

j'suis content de t'avoir retrouvée même par ce biais étrange. Content que tu sois contente aussi. Il parait qu'il y a pas mal de choses à faire à Lyon, j'y ai quelques amis à voir dont toi. Garde moi cette bouteille de côtes du rhônes de côté, on la boira à trois et si notre sénégauloise kabylopicarde préférée est là, on fera la bringue à 4 ou 5 ou plus…

j'suis fier de toi lueur matinale et désolé de ne toujours pas avoir appris le tamazigh.

ba ci kanam
ar deqal

alèm
 
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Réactions: sonnyboy
Cher Vous,

Pendant les rares instants où tu as finalement trouvé le sommeil, j'écoutais ton souffle, ta respiration... Attentivement... Un front brûlant que j'ai touché à plusieurs reprises, un dos découvert que j'essayais de couvrir avec la couette...
Le matin, j'ai prétexté une mauvaise nuit à cause d'un "fond sonore élevé", mais te savoir malade en était vraiment la cause... Et oui... Encore ma putain de pudeur émotionnelle... Surtout ne pas montrer ses sentiments par peur de se prendre une claque...

Pendant ces moments nocturnes, des images ont défilé : un barrage... un sweat-shirt que je n'ai pas pu accepté... ton regard... de longs silences agréables... Blade runner... des bougies autour d'une baignoire... ta peau... des coups de feu... un quai de gare... tes mains sur moi...
Toutes ces images, ces sensations, ces sentiments remplissent la boîte. Je ne sais combien de temps elle résistera. Elle est sous tension, comme ces boîtes magiques d'où s'échappe un clown...

Un départ sur les chapeaux de roue a gaché la fin de ces agréables heures. Décidément, les retours ne me conviennent pas...

:zen:
 
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Réactions: l'écrieur
mon cher ou chers voisins


depuis plusieurs jours j'etais ....etonnée ? intriguée ?
mais depuis ce soir je peux vous dire que je suis amusée et que je connais votre petit secret

a chaque fois que j'y allais je sentais un odeur bizarre mais familier.... mais bon,
n'etant pas vraiment de nature inquisitrice ni suspecte , je sortais et n'y pensais plus...

il faut dire aussi , parfois votre cuisine embaume mon appart mais là aussi ce n'est pas non plus la mer a boire donc......
j'ouvre les fenêtres et ferme notre l’aération commune

jusqu'au a que on me fait la remarque.....

première fois.... avec des sous entendus , j'ai pas trop compris, j'ai ris et changé de conversation

seconde fois ..... avec un discours plutôt moralisateur ... pas trop pigée non plus mais venant de lui rien d'étonnant et je fais semblant comme avec l'autre personne d'approuver et oppp on passe a autre chose

troisième fois ...... ma copine me dit " ben, t'aurais pu m'attendre quand même depuis le temp que j'ai envie de rigoler un bon coup sans motif ".....
j'ai pensée au Sauterne bu en son absence la veille avec d'autres copines , je reponds
"ok, la prochaine fois je te préviens , on va faire la fete et reveiller tout le quartier avec nos rires"

ce soir , quatrieme fois ..... mon quart de moitié sort de toilettes , me regarde amusé et me dit
'franchement , tu ne crois que t'as passé l'age de fumer de l'herbe ? "
moi je le regarde ébahie , je comprends toujours pas et lui reponds en riant
" pourquoi, ton fils a a m'en donner ?"
"et d'ailleur pourquoi tu fumes au toilettes plutot que aller a la fenetre ? tu as tellement froid que ça ?


dans ma tete sa fait tilt !!!!!!!!


je vais au toilette , je hume et je ris jusqu'au larme ........
voilà ce que je humais sans j'y faire attention depuis plusiuers jours


cher ou chers voisins , vous ne voulez pas aller fumer ailleur que dans vos toilette ?:D :D :D
 
mon cher ou chers voisins


depuis plusieurs jours j'etais ....etonnée ? intriguée ?
mais depuis ce soir je peux vous dire que je suis amusée et que je connais votre petit secret

a chaque fois que j'y allais je sentais un odeur bizarre mais familier.... mais bon,
n'etant pas vraiment de nature inquisitrice ni suspecte , je sortais et n'y pensais plus...

il faut dire aussi , parfois votre cuisine embaume mon appart mais là aussi ce n'est pas non plus la mer a boire donc......
j'ouvre les fenêtres et ferme notre l’aération commune

jusqu'au a que on me fait la remarque.....

première fois.... avec des sous entendus , j'ai pas trop compris, j'ai ris et changé de conversation

seconde fois ..... avec un discours plutôt moralisateur ... pas trop pigée non plus mais venant de lui rien d'étonnant et je fais semblant comme avec l'autre personne d'approuver et oppp on passe a autre chose

troisième fois ...... ma copine me dit " ben, t'aurais pu m'attendre quand même depuis le temp que j'ai envie de rigoler un bon coup sans motif ".....
j'ai pensée au Sauterne bu en son absence la veille avec d'autres copines , je reponds
"ok, la prochaine fois je te préviens , on va faire la fete et reveiller tout le quartier avec nos rires"

ce soir , quatrieme fois ..... mon quart de moitié sort de toilettes , me regarde amusé et me dit
'franchement , tu ne crois que t'as passé l'age de fumer de l'herbe ? "
moi je le regarde ébahie , je comprends toujours pas et lui reponds en riant
" pourquoi, ton fils a a m'en donner ?"
"et d'ailleur pourquoi tu fumes au toilettes plutot que aller a la fenetre ? tu as tellement froid que ça ?


dans ma tete sa fait tilt !!!!!!!!


je vais au toilette , je hume et je ris jusqu'au larme ........
voilà ce que je humais sans j'y faire attention depuis plusiuers jours


cher ou chers voisins , vous ne voulez pas aller fumer ailleur que dans vos toilette ?:D :D :D

C'était donc ça... :siffle: :p


:D
 
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Réactions: Aurélie85
Je te souhaite bonne route, comme à ton père il y a des années. Etonnant que ces mêmes mots me viennent maintenant. J'avais eu l'impression qu'il ne comprenait pas ce que je voulais lui dire. Sans doute pareil avec toi. Tu as toujours voulu le détester car tu lui ressembles terriblement.

Ces derniers mois ont fait que le lien est coupé. Pas net, ça fait mal et je le sentirais toujours comme un bras amputé, une gêne, une colère parfois, de la haine par brefs vagues, violentes et rageuses, ces moments où je me fais peur.

Cette déchirante absence est là, restera là, je l'accepte maintenant comme telle. Il aura fallu une longue gestation et en point d'orgue symbolique, la journée de samedi. Je sais que pour toi elle n'a sans doute rien été de plus qu'un samedi ordinaire. J'ai apprécié d'être invité chez X. une de tes anciennes connaissances, le genre de personnes qui t'encombrent et dont tu te débarrasses en arrêtant de les voir. Des amis à moi maintenant. On n'a pas fait tard. Je suis rentré tranquillement, dans le froid cru, comme on le faisait ensemble à l'époque. Je n'y ai même pas pensé. J'ai remonté cette rue, sans pensées pour toi. Tu as si souvent été présent, comme un fantôme dans cette ville où nous avions nos habitudes. C'est fragile mais je tiens le bon bout. 2 ans jour pour jour. Le genre de choses que tu oublies et qui te font rire. Et ces rires là m'ont trop souvent blessé. Tu es cynique, tu t'arrêtes toujours mais souvent après la ligne blanche. Je suis heureux de ne plus avoir à être en face.

Pour le reste de ce qu'il nous reste en commun, ça devrait se terminer pour la fin de l'année, les derniers papiers, les derniers liens financiers. Il ne restera après que des souvenirs. No Future. Tu l'as voulu, tu l'as eu. Tu vas me dire que tu regrettes tout ça, que tu ne me comprend pas, que c'est dommage, que c'est triste. Mais quel est l'intérêt de continuer à se voir ? Te dire qu'on est des ex qui assument le fait de se revoir ? Je n'ai pas envie d'être un trophée et je n'ai plus envie de ce genre de médailles, leurs revers est amer et brûle comme la glace sur une main sans gant. Toujours avoir sous la main ton ex avec qui tu as passé 12 ans pour te souvenir ? Tu n'as pas emporté une seule photo de toutes ces années ensemble quand tu es parti. Il fallait y penser avant.

J'ai arrêté de vouloir comprendre ce qui nous est arrivé.
 
Toi pour qui l'étincelle au fond de mes yeux s'est éteinte, un peu par ma faute, un peu par la tienne... Comment faire pour que cette petite lueur, cette petite pointe d'excitation, de curiosité, de complicité revienne ? Mais finalement, ai-je vraiment envie de la raviver ? Pourquoi ne me manques-tu plus quand tu es absent et me crispes affreusement quand tu es là ?

Oui nous en reparlerons encore et encore... Après les fêtes ? Si tu veux... C'est vrai que les gens biens ne se séparent pas en fin d'année. Mais suis-je vraiment quelqu'un de bien ? enfin de bien pour toi ?
De toutes façons, début 2008 cela n'ira que mieux : je vais m'enfoncer dans le travail. Plus de repos, plus de vacances pour quelques mois... Il n'y aura plus que les week-end à faire semblant....
Mes prochains jours de congé en décembre que vais-je en faire ? Je n'en sais rien. Peut-être que l'on me proposera quelque chose ? Peut-être ferai-je comme dans la pub "Partir et tout oublier..." mais si je pars, si tu me laisses partir encore une fois, je ne reviendrai pas.
En 10 ans, je ne suis partie seule que 4 fois... La première fois, il y a bien longtemps, à ski quelques jours. Un contre-temps t'as empêché de m'accompagner. Cette année 3 fois...3 fois en une seule année... Ne t'es-tu pas demandé pourquoi ? Lors de mon dernier départ, je t'ai demandé sur le quai de gare : "Veux-tu que je reste ici cette semaine?" La réponse n'a pas été celle que j'espérais au fond de moi...

Non, ne t'inquiètes pas, ce soir je ne dirai rien. Je serai dans Ta ville, je vais croiser tes amis, tes connaissances, mais non je ne leur dirai pas que nous, ce n'est plus ça. Tu me connais, je n'étale que rarement mes états d'âme à une amie, alors à de vagues connaissances... Par contre, je n'ai pas aimé ta question. Comment peux-tu imaginer que je le fasse ? Même avec un peu d'alcool dans le sang, je reste discrète sur cette partie de moi, tu le sais pourtant...

Il y a un peu moins d'une année, un jour gris comme aujourd'hui, j'aurais enfilé un de tes pull trop grand pour moi, pour te sentir là près de moi, ton parfum m'aurait rassurée, apaisée... Là, je préfère l'odeur de la lessive ou le souvenir d'un autre parfum. J'ai ressorti quelques photo d'un temps heureux en espérant que cela provoquerait quelque chose mais non, rien... Même pas quelques larmes, moi qui d'habitude n'arrive pas à gérer mon côté émotionnel à fleur de peau, je me suis étonnée. Suis-je devenue toute sèche de l'intérieur ?

Le bateau coule, j'écope, mais l'épuisement est proche...

Voilà, tout ceci est un peu confus, mais ce n'est pas grave vu que tu ne liras pas cette lettre morte.
 
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Réactions: Fab'Fab et CouleurSud
salut john

hier soir je suis tombée sur toi sur le net ..... un p'tit bout de ta vie , un p'tit bout de ton mal-etre ... ta descente a l' enfer

je ne peux rien dire, je ne peux rien faire, je ne peux pas me mêler.....
je voudrais tant te dire combien ton père t'aime , s'inquiète pour toi ...
il me parle souvent de toi, très souvent ...

il y a 2 mois il m'a telephoné un soir , il etait tres perturbé , tres inquiet :
il venait de decouvrir la cocaine dans ta vie ......
a ce moment là je ne savais pas , j' étais loin de me douter ce que j'ai découvert hier soir....
je pouvais lui dire quoi a part que t'étais un gosse comme un autre et que tu n'étais pas le seul a "voir la vie en rose" le w.e. ?
que la facilité de l'argent et le monde dans lequel on vit c'était monnaie courante parmi vous , jeunes sans trop de cervelle pensant seulement a vous amuser sans trop penser aux conséquences en prenant la cocaine ou autre substances ,?

ton père était désemparé et ce qui m'a fait plus mal c'est que j'ai eu l'impression que a part moi il n'avait personne a qui en parler , même pas a ta mère .....

et puis entre temps j'avais décidée , non pas a cause de toi, de quitter ton père et quand on se revoit il y a 1 semaine je demande de tes nouvelles et il me dit tout content que tu t'es mis sur la bonne voie, que tout est rentré dans l'ordre , que t'as arrêté .....
j'ai eu un doute , on arrête pas comme cela mais bon , s'il le dit , pourquoi pas ?
pourquoi le "casser" et lui ouvrir les yeux ?
je ne suis pas ta mère , t'es pas mon fils.........
et puis pourquoi pas ? peut etre que t'en es vraiment sortis .....

et l'autre jour je te vois pour la première fois de ma vie .....
je m'attendais a voir un grand gosse de 25 ans un peu hautain, un peu moqueur (vu la situation il y a de quoi ) , froid......
rien de tout cela , tu parais bien plus jeune que tes 25 ans mais....
mais ..... je me trompe sûrement , je l'espère même, mais je ne crois pas que tu étais clean


aujourd'hui ou dans le prochains jours on va encore se voir, tu va venir chercher ta voiture que tu m'as gentiment prêté ce w.e.:
je ne dira rien, ni a toi ni a ton pere...
je ne peux pas .... je suis desolée

pour une fois j'aurais vraiment aimé ne pas savoir........
 
A,

Cesse de me raconter tes photos, tes lectures, tes courses au marché bio, tes émissions préférées sur France Inter, tes projets, tes endroits chargés d'histoire dans not' bonne vieille Condate. T'as lu ma biographie ou quoi ? Arrête de me raconter ma vie en croyant me raconter la tienne. S'teu plait.:hein:
Cesse de me guetter !:o
Ah bon ? C'est moi qui te guette ? Possible. Très possible.
Cesse de m'inviter à dormir chez toi, je ne saurai pas dire non une troisième fois.
Vraiment pas.
:rateau:



:mouais:
Bon, vivement ce concert dans 15 jours, tiens !:D



Argh.
 
je vais faire vite et simple, une tite lettre morte au cas tu la lises : arrête de signer "Le Monstre" à la fin de tes messages, c'est indigne de toi. Car si tu es un monstre je suis quoi moi ? Un "Balrog" je suis en ce cas par rapport à toi...

Et ça ne m'attendris pas pour autant ce genre d'auto-dénigrement.

Même si cela remonte à un mois ou deux, j'ai mis le temps, mais je l'ai écrit. Que cela reste.

Namárië !
 
Rien n'est jamais simple. Mais on s'en fout, non ?

De tout cela il ne restera que de l'herbe jaunie, un souffle de vent, le bruit des feuilles. Un calendrier qui traine dans un grenier, un souvenir qui disparait. Toujours cette impression d'être différents, plus vivants (dans le sens: actifs) que ceux qui ont précédés. Williy aussi était vivant.

Nous ne sommes que des futurs morts. Autant vivre, en attendant.