</font><blockquote><font class="small">En réponse à:</font><hr />
On fait le petit monsieur-je-sais-tout avec des "ça sent et autre "ça m'étonnerait", hein? Essaie d'être un peu plus crédible dans tes posts mon grand.
[/QUOTE]
Notre jeune ami devrait s'enregistrer, qu'on voit à quoi il joue.
Si tu aimes tellement donner des leçon de crédibilité j'imagine que ce n'est pas toi qui a rédigé la dépêche de cafzone.net:
on imagine facilement le bon Steve Jobs, tout rouge, déhambuler dans les couloirs de la société, agitant les bras frénétiquement et beuglant des "Mais on va réussir à faire un truc qui marche, ou merde ?"
Hackers like the sound of iTunes
Le plus important pour le journaliste c'était de placer le terme "hackers" dans le titre pour faire flipper le lecteur avide de sensationnalisme. Ca n'a aucun fondement, l'article parle du webmestre de SpyMac (hacker notoire recherché par toutes les agences gouvernementales américaines
) qui a depuis interrompu son service de streaming "Spymac Music" pour éviter les malentendus, comme
The iTunes Database. De toute façon avec la bande passante nécessaire le streming n'est pas terrible.
Le store risque le piratage comme n'importe quel autre service, mais si le gars de SpyMac est le seul hacker que le journaliste ait pu trouver...
Les pirates croquent la pomme du service musical Apple en ligne
Mais l'enthousiasme de l'industrie phonographique est tempéré par...
Dans
la version originale de la dépêche c'est
may be tempered.
Ensuite la seconde moitié du texte a été supprimée dans l'extrait traduit que tu as recopié. Normal, puisqu'on y trouve ce passage:
But several music industry executives said privately that the service's success outweighed the problem, which they saw at this point as fairly isolated.
Un point de vue qu'on retrouve dans
cet article:
The music industry's response to the expanded song-sharing function has been tempered so far. Several record company executives said Apple briefed them in advance about the feature, but they thought it would be confined to home networks.
Others emphasized that the success of Apple's Music Store, which sold more than 1 million downloadable songs in its first week, was more significant than the unexpected expansion of the sharing function. But these officials, who asked not to be named, are waiting to hear more from Cupertino, Calif.-based Apple about the issue.
Ou
celui-là, qui cite un analyste d'IDC:
In this case, media companies are unlikely to take issue with users broadcasting sharing songs from their iTunes libraries, according to Roger Kay, vice president of client computing at IDC.
"It's almost fair use, really," Kay said. "It's as if somebody came over your house and you played it for them."
Besides, the problem of unlicensed streaming pales in comparison to the more widespread swapping of pirated music, which is more damaging to music companies, Kay said.
Eventuellement Apple prendra les mesures nécessaires dans la prochaine version du logiciel.
Le ver est dans la pomme
Tout d'abord, il y a l'apparition sur le web, il y a quelques jours, d'un "hack" permettant à n'importe quel piratin de télécharger sans payer un seul brouzouf le catalogue complet du nouveau service de musique en ligne des gens de Cuppertino, le iTunes Music Store.
C'est pas documenté, donc pas crédible. D'autant que tout télécharger sans payer, ça m'interesse. Allez, ça ne te coûte rien de me faire profiter de l'astuce.
On a découvert, à peu près au même moment, que le soft iTunes, qui permet aux utilisateurs Mac d'écouter de la zizique sur leurs beaux portables de flambeurs, contenait une fonction d'échange cachée qui, une fois activée, permettait le partage des morceaux stockés sur la machine.
Je passe sur le ton neutre, informatif et "très crédible, mon grand" de la dépêche, tellement la démoniaque fonction cachée en dit long sur l'expérience du rédacteur. Maintenant on cache des fonctions dans les préférences, ça fait peur.
p34r !
Sur l'enthousiasme de l'industrie phonographique on trouve des articles présentant une opinion diamétralement opposée à celle de
Les pirates croquent la pomme, le débat est ouvert bien que certains préfèrent caricaturer et sauter sur les conclusions deux semaines après l'ouverture de l'IMS. J'espère que le compteur de visites a explosé, sinon c'est à désespérer et il faudra se résoudre à prendre des cours chez John Dvorak.
Dans
Secure music at a crossroads; rights management vs. user-friendly tunes un repésentant de Sony, un analyste etc. prédisent qu'un système de DRM trop strict n'est plus adapté à l'état du marché, et que l'approche d'Apple sera adoptée par toutes les boîtes vendant de la musique sur Internet.
