Pour les profs

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Lamar
  • Date de début Date de début
Faudrait plutôt que ça dépende de généraux intelligents ! :rateau:



Je suis déjà loin loin loin loin loin loin loin loin ...



Bien joué Joebar... je ne m'étais même pas rendu compte que mon abréviation de "conseils" pouvait induire une certaine ambiguïté... one point !;)
 
Nan mais si les modos jouent les cancres, ouvaton, mais ouvaton ! :modo:

Au coin ! :casse:

Ben ... Dans le mur, mais comme de toute façon, on y allait déjà, un peu plus, un peu moins ... :siffle:

Cela dit, ici, l'avantage, c'est que, dans mon cas, c'est le cancre qui est du bon côté du fusil de la règle en fer ! :p

:D
 
mais je peux pas accéder au site "le devoir conjugal"
reste l'austère site du bescherelle ;) (dictées en ligne comme autrefois)...
patrick

C'est vrai, c'est bizarre ça ne marche pas ce matin... :hein:
Pourtant je l'ai utilisé il y a peu.

Regarde déjà ces pages, de l'auteur même du site du Devoir conjugal. Tu y trouveras l'essentiel de la démarche du Devoir.
En espérant que ça remarche bientôt...


Les infos du jour glanées sur le site du Café pédagogique :
L'irrésistible essor des ressources éducatives en libre accès
"Un mouvement extraordinaire est en train d'émerger. Alors que les ressources éducatives sont souvent considérées comme des propriétés intellectuelles clés dans un système d'enseignement supérieur en compétition, de plus en plus d'institutions et d'individus échangent des ressources digitales par internet ouvertement gratuitement… Pourquoi cela arrive-t-il, qui est concerné et quelles en seront les conséquences ?" L'OCDE analyse le phénomène et révèle le potentiel extraordinaire de ces ressources éducatives libres.
L'étude a identifié plus de 3 000 cours disponibles enligne venant de 300 universités. Rien qu'aux Etats-Unis on en trouverait 1 700. En France 800 sont proposés par ParisTech. Ces cours sont regroupés sur des réseaux comme OCW.
Pour l'Ocde, ce mouvement doit être soutenu par les états pour qui c'est un bon moyen de permettre l'apprentissage tout au long de la vie. Les universités adhèrent aux valeurs de partage de la connaissance, améliorent leur image et incitent par ce biais à de nouvelles publications. Mais ces projets restent souvent économiquement fragiles. L'Ocde recommande des partenariats avec le privé.
L'étude
givingk.jpg
 
micro-classe de français (primo-pratiquants:Afrique et Tchétchènie)
Lundi, je montre le lien à leur enseignante,
patrick

Pour les ENAF (Elèves nouvellement arrivés en France), ta collègue connait sans doute un chouette DVD (fait par une copine ;) jeune maman :bebe: ) : Comparons nos langues, par Nathalie Auger, CRDP de Montpellier

News du jour sur le site du Café pédagogique :

Second Life : Un nouvel espace éducatif ?
"Nouveau temple de la consommation virtuelle ? Nouvel Eldorado pour la pornographie et les jeux d’argent ? Nouveau délire schizophrénique d’une jeunesse en mal de paradis artificiels ? C’est l’image que la presse écrite française renvoie de ce nouveau monde et c’est en partie exact, mais pendant que nous lançons nos anathèmes bien-pensants, le monde éducatif anglo-saxon investit massivement ces nouveaux territoires et commence à en explorer les potentialités". Second Life peut-il devenir un espace éducatif ? Daniel Dalet, professeur d'histoire-géographie, est parti explorer ce nouvel espace.
Il a pu constater que Second Life accueille déjà plus d'une centaine d'institutions éducatives, pas uniquement nord-américaines. Un premier colloque sur les usages pédagogiques.
Pour D. Dalet, "contrairement au Web que nous connaissons, la potentialité éducative de l’outil réside donc, non pas dans la création et la mise à disposition de bases documentaires, mais dans la communication en direct et la modélisation 3D. Tout est à imaginer : un débat d’ECJS sur une plage, un lycée reconstitué avec des journées « portes ouvertes » et un accueil personnalisé, des cours, du soutien scolaire, des échanges linguistiques, des jeux de rôle historiques, etc".
http://histgeo.ac-aix-marseille.fr/a/dda/d016.htm
http://secondlife.com/

Mercredi 13 juin à Lille : Wikis, Blogs et Podcasts
L’association Projetice qui réunit des enseignants du primaire et du secondaire, de toutes disciplines et intéressés par les usages pédagogiques des TICE, organise au CRDP de Lille, mercredi 13 juin, de 13h30 à 16h30, une présentation consacrée aux usages des « Wiki, blog, podcasts & Cie ». Au programme, des témoignages et des démonstrations simples et concrètes proposées par des enseignants de l'académie. Caroline Jouneau-Sion, professeur d’histoire géographie, et Bastien Guerry, chercheur en sciences cognitives présenteront une expérience originale d’usage du Wiki ; Alyne Piazza montrera comment le podcast et l’i-pod peuvent être exploités en cours d’anglais ; David Placiard montrera comment, sans connaissance préalable, on peut devenir un prof bloggueur.
Le programme

Le système d'exploitation EyeOS est en ligne
EyeOS, le premier système d'exploitation libre enligne, est opérationnel. Développé en Open Sources, il permet à travers son navigateur d'accéder à un bureau en ligne doté d'un OS et d'applications (calendrier, traitement de texte, calculatrice etc. On peut aussi héberger EyeOS sur son propre ordinateur.
eyesos.jpg

http://eyeos.org/
 
Pour compléter "l'esprit d'entraide des Mac-users" face à la gueguerre que se livrent les sites PC, vous devriez échanger vos bannières ;) :zen:

Bon, ça y est, j'ai fait une mini mise à jour du site Mac&Prof , avec notamment le lien de macaucollège ;) , mais surtout, le forum :
Le forum:D
il n'y a plus qu'à faire vivre ce forum : inscrivez-vous !
il y a aussi le site "dynamique" en parallèle, basé sur le forum, mais j'ai quelques petits problèmes de thèmes et style css à régler. :siffle:
http://macetprof.free.fr/portail
 
Bon, ça y est, j'ai fait une mini mise à jour du site Mac&Prof , avec notamment le lien de macaucollège ;) , mais surtout, le forum :
Le forum:D
il n'y a plus qu'à faire vivre ce forum : inscrivez-vous !
il y a aussi le site "dynamique" en parallèle, basé sur le forum, mais j'ai quelques petits problèmes de thèmes et style css à régler. :siffle:
http://macetprof.free.fr/portail


Merci pour le lien...

J'ai du retard pour mettre en ligne une version complète du site... c'est que ça bosse dur dans les collèges en ce moment !!!
Merci de votre patience et longue vie à Mac&prof... et nous fêterons bientôt la naissance de Mac au collège.
 
Suite du feuilleton sur l'expérience Un portable par élève dans les Landes : une évaluation vient d'être faite, j'en ai trouvé le résumé sur le site du Café, mais je n'ai pas réussi à trouver le webzine où c'est détaillé car le site dédié n'est pas bien à jour. J'ai l'impression qu'il faut être abonné à la newsletter, pour ceux que ça intéresse.
Je vous mets quand même ce que j'ai trouvé sur cette expérience :

Le résumé du Café :
Landes : L'ordinateur et la famille
"Les effets sur mon travail ? Je ne sais pas… d'un côté je dois dire que plusieurs d'entre nous passaient leur temps à jouer pendant les cours, surtout à la fin de l'année. Mais d'un autre côté, les ordinateurs rendaient notre travail plus attractif. Finalement l'ordinateur ne m'a pas empêché d'avoir le brevet". Cinq ans après, En connexion, la revue du Conseil général des Landes, interroge les premiers bénéficiaires de l'ordinateur portable prêté par le conseil aux collégiens. On sait que le département a été pionnier dans la diffusion des ordinateurs auprès de élèves.
Bilan mitigé en terme de réussite scolaire. Par contre bilan très positif quand il s'agit d'exposition à l'informatique : tous les collégiens interrogés ont utilisé la machine en dehors du temps scolaire et ont regretté d'avoir à la rendre.
L'ordinateur a également eu un effet sur la vie familiale. Il a fallu apprendre à gérer ce nouvel objet et à l'installer dans la maison. Il a aussi fallu que les parents apprennent…
En connexion n°6

Toujours sur le Café, le compte-rendu du colloque de 2006.

Sur le site de Landes interactives, des infos techniques (logiciels utilisés etc, très intéressant).

La page d'accueil de Landes interactives, où s'abonner à la lettre d'information.

Et ce qui figure sur le site du conseil général des Landes, avec lien vers le dossier de presse.
 
Bon, c'est décidé: je prépare une série de 5 ou 6 podcast pour la rentrée en SVT, couvrant déjà le programme de geologie. (seismes-volcans-tectonique)
Je met ça au point pendant les vacances, je teste à le rentrée....:cool:

Ensuite, je verrai si je continue

Je sens que je vais bien me marrer :D

Et que mon IPR va detester ;)
 
Sur le site du Café Pédagogique

L'EEDD en podcasts
Pour ou contre les éoliennes ? Le vélo solaire. Comment jardiner en protégeant la nature ? Trois articles podcastés réalisés par les élèves de 6ème du collège du pays d'Othe à Peyrehorade (40). Ils ont d'abord cherché de l'information au CDI avant de rédiger leur article et de l'enregistrer.
http://zawa.free.fr/lecture/

Wikipedia : L'encyclopédie du renoncement ?
"Ce qui me paraît hautement problématique avec Wikipédia, c’est qu’elle se présente comme un ensemble de textes sans auteurs". Dans une tribune accordée au mensuel Les Dossiers de l'ingénierie éducative, Serge Pouts-Lajus évoque les problèmes posés aux enseignants par Wikipédia.
"Wikipédia est un projet apparemment sympathique. Il possède des qualités qui ne peuvent lui être contestées et auxquelles je suis, comme tout le monde, sensible : l’encyclopédie libre est utile, gratuite et d’accès facile. Mais justement, lorsqu’il s’agit de savoirs, d’œuvres de l’esprit et de culture, les considérations utilitaristes ne suffisent pas. Tant que l’on reste attaché au principe de responsabilité des individus et des collectifs particuliers relativement aux œuvres qu’ils produisent, il n’est pas possible d’adhérer à un tel projet".
Pourquoi cette position ? Parce que Wikipédia contribue à "désapprendre" un usage réellement culturel du web, affirme S. Pouts-Lajus. "Les enseignants, et en particulier les documentalistes, qui accompagnent leurs élèves sur Internet ne cessent de leur rappeler ce principe essentiel : avant de consulter le document qui vous parvient par le réseau, demandez-vous qui vous l’adresse, qui l’a produit, qui en est l’auteur ou l’éditeur, qui en assume la responsabilité…. Encourager les jeunes à cette exigence relativement à ce qui leur parvient par le réseau est la meilleure façon de les préparer à l’appliquer eux-mêmes lorsque, à leur tour, ils deviennent des contributeurs du Web. L’identification de la source est plus difficile sur le réseau que dans le monde de l’écrit imprimé et édité. Cette difficulté nourrit la défiance du monde de l’éducation à l’égard d’Internet. La solution du filtrage, fréquemment adoptée, n’est qu’une solution de renoncement éducatif. Elle prive les jeunes de la possibilité d’apprendre à se repérer parmi les multiples sources de l’information en ligne… Le recours à Wikipédia ne fait que renforcer ce renoncement et, pire encore, il entérine l’idée qu’il serait possible de faire confiance à une source d’information anonyme".
http://www.cndp.fr/DossiersIE/tribune/tribune200706.htm
 
Wikipedia : L'encyclopédie du renoncement ?

...

Vi, ben, ce qu'il reproche surtout à Wikipedia, c'est que ça fait perdre du pognon aux vendeurs de dicos.

De toute façon, connaître le nom de l'auteur d'une info ne la rend pas plus fiable (ni moins, d'ailleurs), puisqu'à de rares exceptions près, on ne connaît pas sa fiabilité (de l'auteur). Il n'y a qu'à voir l'immense quantité de désinformation figurant dans un manuel scolaire d'histoire Mallet Isaac, par exemple.

Et j'en ai d'autres comme ça : Tiens, une au hasard : on sait depuis au moins les années 1870, et la fameuse classification de Mendeleïev, que la structure de l'atome est hétérogène, et qu'il est composé de particules sub atomiques dont je vous épargnerai ici la fastidieuse énumération. Eh bien, je me souviens être tombé sur un livre de chimie de terminale de ma mère datant de 1947 (donc deux ans après Hiroshima et Nagazaki, excusez du peu :siffle:), ou il était encore affirmé que l'atome était la plus petite particule de l'univers et qu'il ne pouvait être divisé en aucune manière. Je ne me souviens plus des noms des auteurs de ce manuel, mais je suis certain qu'ils figuraient sur la couverture. Voilà pour l'information "signée". :zen:
 
De toute façon, connaître le nom de l'auteur d'une info ne la rend pas plus fiable (ni moins, d'ailleurs), puisqu'à de rares exceptions près, on ne connaît pas sa fiabilité (de l'auteur).

Pas vraiment d'accord avec toi, Pascal. Même si le mot "fiable" est peut-être mal choisi (un peu "fort", peut-être faudrait-il dire plutôt "de fiabilité contrôlable, interprétable"). Lorsqu'un article est signé, tu peux te renseigner sur l'auteur, éventuellement connaître ses travers.

L'Universalis se vantait, et, à mon avis, à juste titre, de cela : avoir des articles signés par des grands noms du domaine.
1) Ils peuvent avoir une légitimité scientifique (il y en a(vait) quand même pas mal de connus.
2) À partir de leur nom, tu peux voir comment ils sont perçus dans leur domaine et regarder leurs textes éventuels sur des sujets mieux connus.
3) On y gagne aussi, en général, une certaine liberté de style, essentielle à mon goût pour faire passe le coeur des choses plutôt que fournir un extrait de manuel scolaire.

Deux exemples :
- dans l'EU, plusieurs articles étaient signés Etiemble. Le côté "flamboyant" du personnage et ses tendances polémiques, d'une part donnent du plaisir ; d'autre part te poussent à garder l'esprit critique en le lisant
- imaginons un article écrit par Stephen Jay Gould sur la théorie de l'évolution : on peut savoir d'où il parle, savoir qu'il n'est pas neutre et en tenir compte.

Ça n'élimine pas l'intérêt de wikipedia, qui est immense. Simplement, wikipedia est un outil qui ne supprime pas non plus l'intérêt des autres. Après avoir lu un article sur la mécanique dans wikipedia, le mieux est de se payer un des bouquins de vulgarisation de Feynman pour en savoir non pas plus mais mieux sur la chose (et pour les courageux, carrément son manuel de physique :D)
 
  • J’aime
Réactions: Lalis
Salut à tous,

je me permets de préciser aussi que nous agissons (en tant que prof) dans un cadre institutionnel, on nous demande d'insister sur ces notions de propriétés intellectuelles afin que les élèves ne "pompent" pas allègrement tout ce qu'il trouve sur le net. De ce point de vue effectivement Wikipédia pose quelques problèmes, mais qui a mon avis sont facilement contournables et explicables aux élèves. La richesse et la facilité d'emploi de Wikipédia valent de faire cet effort d'explication.
 
Salut à tous,

je me permets de préciser aussi que nous agissons (en tant que prof) dans un cadre institutionnel, on nous demande d'insister sur ces notions de propriétés intellectuelles afin que les élèves ne "pompent" pas allègrement tout ce qu'il trouve sur le net. De ce point de vue effectivement Wikipédia pose quelques problèmes, mais qui a mon avis sont facilement contournables et explicables aux élèves. La richesse et la facilité d'emploi de Wikipédia valent de faire cet effort d'explication.

Certainement : Wikipédia en particulier et internet en général rendent le plagiat plus facile, plus tentant, mais pas forcément moins décelable que les supports traditionnels (qui ne l'empêchaient déjà pas).
Il est même plus facile de débusquer le copier-coller, en procédant à une recherche en citation exacte sur un moteur de recherche.
Il est de notre mission d'alerter les élèves sur les risques encourus : tous les ans, le BO publie la liste des étudiants radiés pour ce type de supercherie. Les "peines" vont d'une radiation temporaire (de 3 à 5 ans) à une radiation définitive. Sans compter les poursuites judiciaires, les amendes et le peu d'intérêt du point de vue des connaissances...
Que ce soit dans un travail de type TPE ou dans un mémoire à la fac, on a le droit à la citation : il n'est pas très difficile de convaincre élèves et étudiants qu'ajouter des guillemets et la mention des sources ne fera pas baisser la qualité de leur travail. Au contraire, le lecteur y verra une marque d'honnêteté et le souci de s'informer sur un sujet.
En fait, ce que nous n'apprécions pas, c'est qu'ils nous prennent pour des c*** en s'imaginant qu'ils vont nous rouler, non ? :D
Ils oublient que nous sommes de vieux singes à qui on n'apprend pas les grimaces :p parce que toutes les ficelles plus ou moins grosses, toutes les c***ries, on les a faites avant eux, alors on connait la musique !
Tiens, au fait, bonne fête de ladite, ce soir ;)
 
Pas vraiment d'accord avec toi, Pascal. Même si le mot "fiable" est peut-être mal choisi (un peu "fort", peut-être faudrait-il dire plutôt "de fiabilité contrôlable, interprétable").

Le problème, c'est que S.J. Gould n'est pas le seul à signer des articles ou des livres, et les auteurs de manuels scolaires, quand on les cherche sur Google, souvent, on ne trouve que l'appréciation de leur éditeur, dont l'objectivité me parait sujette à caution ... :siffle:
 
  • J’aime
Réactions: Lalis
Une anecdote racontée récemment par un philosophe sur France inter : lors d'une soutenance de thèse, l'étudiante cite un philosophe célèbre… un de ceux précisément qui est en face d'elle,… examinateur… Problème : il n'est absolument pas l'auteur des propos qu'elle lui prête. Il lui demande alors d'où elle a tiré cette citation : Wikipédia… bien sûr.

Des exemples de ce type, je pourrais en citer bien d'autres avec mes élèves de 3e qui se fient aveuglément à Wiki.

Le problème de Wikipédia est qu'elle se pose en Encyclopédie… or une encyclopédie digne de ce nom implique un profond travail de réflexion… ce qui n'est pas toujours le cas.

Qu'il faille que certains internautes découvrent une erreur pour qu'elle soit corrigée est une garantie très insuffisante.
En ce qui me concerne, j'écarte Wikipédia.
Certes, toute information mérite d'être vérifiée et recoupée, mais pourquoi donc alors se tourner vers Wiki. Autant aller directement à la source ou vers ce qui nous paraît le plus "fiable".
Par exemple, pourquoi aller chercher une info sur l'Europe dans Wiki quand il existe un site officiel de la communauté eur.

On pourrait en débattre pendant des heures… ce sera peut-etre le cas sur ce fil. Débat intéressant car il pose, au-delà de Wikipédia, le problème de la Connaissance, de ses sources et de sa relativité… sujet de bac de philo par excellence.

Oulah… ça chauffe sur Macge !!;)
 
Par exemple, pourquoi aller chercher une info sur l'Europe dans Wiki quand il existe un site officiel de la communauté eur.

Pitêt parce que le site de la communauté européenne est une telle usine à gaz que pour trouver l'info en question, il faut passer plus de temps à naviguer dans des pages sans intérêt (à ce moment et pour ce chercheur) qu'à lire de la documentation pertinente ? :siffle:

Cela dit, Wikipedia est un moyen d'accès rapide à de l'information de base, mais là ou je suis d'accord, c'est qu'il ne faut pas prendre pour argent comptant cette info, un peu comme dans les livres et articles signés, en somme. Ce que je voulais dire, c'est que le fait d'imprimer quelque chose avec un nom d'auteur à côté n'offre finalement pas plus de garantie. 1 partout, balle au centre ! :zen:
 
En réponse à Lalis, je précise que je ne suis pas exactement dans ce cas de figure : mes élèves sont en grandes difficultés scolaires et pour eux il est vraiment tentant lors d'un exposé quelconque de taper le sujet dans Google (les volcans par exemple) et de copier coller le moindre texte ou image qui s'y rapporte sans même faire l'effort de lire le document. C'est plutôt par rapport à cette pratique que l'on essaye de respecter le droit d'auteur.