Ras-le-bol des "essayeurs " de Mac et d'iPhone.
- Créateur du sujet Le docteur
- Date de début
- Statut
Ce qui à l'air de t'emmerder surtout c'est que les consommateurs puissent "comprendre"/"détourner" une loi finalement.
Si au début tu semblais être contre les abus, cela ne semble plus être le cas. (d'où la citation d'une phrase de ton premier post).
Comme quoi les sociétés (comprendre les grosses sociétés) n'ont pas le monopole de l'optimisation juridique aha
Dernière édition:
Ce qui à l'air de t'emmerder surtout c'est que les consommateurs puissent "comprendre"/"détourner" une loi finalement.
Si au début tu semblais être contre les abus, cela ne semble plus être le cas. (d'où la citation d'une phrase de ton premier post).
Comme quoi les sociétés (comprendre les grosses sociétés) n'ont pas le monopole de l'optimisation juridique aha/QUOTE]
OHO
M
Mboum
Invité
Bonjour Mr. Mooning, vous semblez être agacé, quant à mes limitations intellectuelles, je vous prie de m'en excuser.
Bonjour M. Docteur, il faudrait donc définir ce que sont la loi et le droit ; et bien sûr ce qui est de la responsabilité individuelle ; si la loi donc ce qui en découle le droit doit régir les simples comportements ; alors c'est une dérive et la société est donc malade, opposer la loi et l'état de droit à ce qui ne devrait être que la normalité, l'éducation ; la loi n'est pas faite pour remplacer le civisme, malheureusement ce n'est pas bien compris, ce n'est pas parce que la loi ne punit pas ou ne couvre pas un aspect ; comportements tendancieux ; qu'il faille s'arroger le droit de le faire ; en se cachant derrière cette idée: mais la loi ne l'interdit point! c'est effectivement très dangereux de détourner le sens, le fondement d'un état de droit ; d'avec ce qui relève de comportements voleurs et abusifs ; c'est en effet tragique.
Bonjour M. Docteur, il faudrait donc définir ce que sont la loi et le droit ; et bien sûr ce qui est de la responsabilité individuelle ; si la loi donc ce qui en découle le droit doit régir les simples comportements ; alors c'est une dérive et la société est donc malade, opposer la loi et l'état de droit à ce qui ne devrait être que la normalité, l'éducation ; la loi n'est pas faite pour remplacer le civisme, malheureusement ce n'est pas bien compris, ce n'est pas parce que la loi ne punit pas ou ne couvre pas un aspect ; comportements tendancieux ; qu'il faille s'arroger le droit de le faire ; en se cachant derrière cette idée: mais la loi ne l'interdit point! c'est effectivement très dangereux de détourner le sens, le fondement d'un état de droit ; d'avec ce qui relève de comportements voleurs et abusifs ; c'est en effet tragique.
Dernière édition:
Le légalisme est par définition l'obéissance à la loi. (j'ose espérer que nous n'en sommes pas loin)
Ça ne s'applique pas trop à ce que tu dénonces ici : un abus de droit. (un peu de wikitruc, ça donnera déjà une idée)
J'insiste sur cette notion, parce que certains n'ont pas compris sa portée.
Dans la pratique, Apple peut refuser le retour s'il ne remplit pas les conditions (voir lien Bompi ci-dessus) et en cas de litige dénoncer l'abus de droit.
Maintenant, tu t'attaques à l'usage fait d'un droit inscrit dans le code de la consommation, il ne faut pas t'étonner qu'on glisse sur le terrain juridique.
Bonjour
sur le fond plus que sur la forme je suis plutôt d'accord... ça sonne bien comme les choses qui ne sont pas autorisées mais qui ne sont pas interdites... dilemme moral, et chacun la sienne.
je n'ai qu'une chose à dire pour conclure :
"Ce qui explique le mieux comment le malhonnête homme, et quelquefois même le sot, réussissent presque toujours mieux, dans le monde, que l'honnête homme et l'homme d'esprit, à faire leur chemin, c'est que le malhonnête homme et le sot ont moins de peine à se mettre au courant et au ton du monde, qui, en général, n'est que malhonnêteté et sottise ; au lieu que l'honnête homme et l'homme sensé, ne pouvant pas entré si tôt en commerce avec le monde, perdent un temps précieux pour la fortune. Les uns sont des marchands qui sachant la langue du pays, vendent et s'approvisionnent tout de suite, tandis que les autres sont obligés d'apprendre la langue de leurs vendeurs et de leurs chalands."
à méditer
sur le fond plus que sur la forme je suis plutôt d'accord... ça sonne bien comme les choses qui ne sont pas autorisées mais qui ne sont pas interdites... dilemme moral, et chacun la sienne.
je n'ai qu'une chose à dire pour conclure :
"Ce qui explique le mieux comment le malhonnête homme, et quelquefois même le sot, réussissent presque toujours mieux, dans le monde, que l'honnête homme et l'homme d'esprit, à faire leur chemin, c'est que le malhonnête homme et le sot ont moins de peine à se mettre au courant et au ton du monde, qui, en général, n'est que malhonnêteté et sottise ; au lieu que l'honnête homme et l'homme sensé, ne pouvant pas entré si tôt en commerce avec le monde, perdent un temps précieux pour la fortune. Les uns sont des marchands qui sachant la langue du pays, vendent et s'approvisionnent tout de suite, tandis que les autres sont obligés d'apprendre la langue de leurs vendeurs et de leurs chalands."
à méditer
M
Mboum
Invité
Bonjour,
à ceci, il y a une réponse :
"La feinte a ses limites, le mensonge son terme ; l'allure du mystère a quelque chose qui le trahit ; l'excès des précautions est ce qui les déjoue, et, sous prétexte de s'entendre avec habileté, les coupables multiplient d'ordinaire les chances de leur perte, ils y courent."
L'on peut connaitre la langue des marchands ; et être si peu prompt à l'avarice et abscons à la malhonnêteté et aux quelques tricheries; rien n'empêchant l'autre ; comme si l'on était obligé d'être l'un ou l'autre.
à ceci, il y a une réponse :
"La feinte a ses limites, le mensonge son terme ; l'allure du mystère a quelque chose qui le trahit ; l'excès des précautions est ce qui les déjoue, et, sous prétexte de s'entendre avec habileté, les coupables multiplient d'ordinaire les chances de leur perte, ils y courent."
L'on peut connaitre la langue des marchands ; et être si peu prompt à l'avarice et abscons à la malhonnêteté et aux quelques tricheries; rien n'empêchant l'autre ; comme si l'on était obligé d'être l'un ou l'autre.
Dernière édition:
Encore une fois je ne parle pas d'abus de droit (je m'en contretorche, pour tout dire, même à force de revoir ça revenir à chaque fois) mais de moralité... Je n'aime pas la mentalité "petit malin", c'est tout.
L'abus de droit, c'est rester sur le domaine du juridique.
L'abus de droit, c'est rester sur le domaine du juridique.
Pour en venir à un penseur qui n'est pas que politique (en le nommant, mais sans le citer), je dirais comme Rousseau : il faut de bonnes lois pour rendre un peuple vertueux, mais dès que l'esprit de citoyenneté est mort, la république l'est aussi. C'est le cercle vertueux, qui n'a pas souvent tourné sur terre, contre le cercle vicieux, où les puissants écrasent les pauvres "armés du redoutable pouvoir des lois", où l'on paye pour que d'autres remplissent notre rôle de citoyens à notre place, et où chacun ne s'occupe plus que de ses affaires privés.
Je n'aime pas trop les signes qui me rappellent qu'on n'est pas dans le bon cercle.
Je n'aime pas trop les signes qui me rappellent qu'on n'est pas dans le bon cercle.
M
Mboum
Invité
Bonjour M. Docteur,
alors pourquoi ne le dites-vous point: "Le civisme désigne le respect du citoyen pour la collectivité dans laquelle il vit et de ses conventions, dont notamment sa loi. Le civisme implique donc la connaissance de ses droits comme de ses devoirs vis-à-vis de la société." source wikipedia. * la loi n'étant que le cadre des limites ; si il n' y avait que cela ; passons donc directement à une société à la "Judge Dredd" ; j'ai bien peur que "l'idée démocratique comme elle est comprise aujourd'hui" n'y mène inéluctablement.
Il y a bien une notion ou idée de "morale" commune qui dépasse le cas individuel ; et en ceci M. Arsenik "dilemme moral, et chacun la sienne." je dois vous exprimer mon désaccord sur ce point, en effet, pour revenir au sujet ; il est dangereux que la bigoterie et l'idée procédurière y citent, mais nous sommes forcé de constater que nous en sommes là ; c'est "politique" au sens étymologique ; cela ne l'est point dans le sens que l'on y prête aujourd'hui: un fiasco théâtrale ou l'affairisme à pignon sur rue.
alors pourquoi ne le dites-vous point: "Le civisme désigne le respect du citoyen pour la collectivité dans laquelle il vit et de ses conventions, dont notamment sa loi. Le civisme implique donc la connaissance de ses droits comme de ses devoirs vis-à-vis de la société." source wikipedia. * la loi n'étant que le cadre des limites ; si il n' y avait que cela ; passons donc directement à une société à la "Judge Dredd" ; j'ai bien peur que "l'idée démocratique comme elle est comprise aujourd'hui" n'y mène inéluctablement.
Il y a bien une notion ou idée de "morale" commune qui dépasse le cas individuel ; et en ceci M. Arsenik "dilemme moral, et chacun la sienne." je dois vous exprimer mon désaccord sur ce point, en effet, pour revenir au sujet ; il est dangereux que la bigoterie et l'idée procédurière y citent, mais nous sommes forcé de constater que nous en sommes là ; c'est "politique" au sens étymologique ; cela ne l'est point dans le sens que l'on y prête aujourd'hui: un fiasco théâtrale ou l'affairisme à pignon sur rue.
Bon. On va dire que, sauf dérapage incontrôlé, ce fil pourra aller jusqu'au post #100 mais pas au-delà.
Pour bien faire, on devrait faire en sorte que le Docteur, qui semble déprimé, ait le dernier mot (donc le dernier post).
Pour bien faire, on devrait faire en sorte que le Docteur, qui semble déprimé, ait le dernier mot (donc le dernier post).
Bon. On va dire que, sauf dérapage incontrôlé, ce fil pourra aller jusqu'au post #100 mais pas au-delà.
Pour bien faire, on devrait faire en sorte que le Docteur, qui semble déprimé, ait le dernier mot (donc le dernier post).
On va dire qu'il en a le droit mais est-ce bien moral?
Je me tâte. Si je réponds et que personne ne se ramène derrière, ça va donner raison, mais bon, j'ai du mal à me retenir.
Oui, là je suis déprimé, mais pour les mêmes raisons que tout le monde : parce que la connerie humaine me touche personnellement en ce moment et vient me pourrir ma vie à moi que j'ai.
Par contre, pour ce que vous en voyez là, je suis juste comme d'habitude et par rapport à ce qui ne me touche pas : lucide.
Oui, là je suis déprimé, mais pour les mêmes raisons que tout le monde : parce que la connerie humaine me touche personnellement en ce moment et vient me pourrir ma vie à moi que j'ai.
Par contre, pour ce que vous en voyez là, je suis juste comme d'habitude et par rapport à ce qui ne me touche pas : lucide.
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