Vos fou-rires les plus déments !!!!!

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Un thradaploum comme je les aime !

Je n'ai pas d'anecdote pour le moment, il va falloir que je creuse, mais continuez, ça fait un bien fou de rire rien qu'en imaginant les situations décrites.
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Yoko_Tsuno a dit:
Casse-toi connard !

Quelle vulgarité !!!

Sache, petite morue, qu'ici seuls les propos classieux sont tolérés.

Essaie donc de prendre exemple sur un type comme moi, au lieu de te conduire comme le fruit des amours interdits de Barbarella et Elisa.

Sur ce...File...
 
a héhé, héhé et demi...
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Non, pas du tout, j'ai pas édité !!!

Tu oserais mettre ma parole en doute ?
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Au cas ou ton message était sérieux, je te remercie de me faire remarquer les finesses du système d'édition de message.

Tu penses bien que tout ceci m'avait échappé...

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Roberto Vendez a dit:
Histoire de remettre ce tradada sur les rails...
On a un client, le pauvre, chaque fois qu'il vient ou presque on se bidonne.
La première fois, il pleuvait énormément (spécialité locale mondialement connue, merci Barbara !), et le type en question débarque avec un impeccable imper ceinturé ambiance Faucon Maltais, la classe.
Et puis on remarque, un peu surpris, qu'il a des bottes.
Des bottes de pluie. Jaunes.
Mon gamin en a des pareilles, en vert.
Tout le monde se retient de rire, et tandis que le client est dans le bureau à côté, je lance à voix basse :
"On dirait l'Ours Paddington !"
Quand il est revenu, on était cramoisis, et l'un de mes collègues demande l'air de rien :
"Celui qui a une étiquette autour du cou ???"
On a tous été pris de toux, on aurait dit un sanatorium !
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La fois suivante il bossait avec moi, il avait gardé son imper mais il avait des chaussures d'adulte, et il s'éloigne de quelques mètres, et quand il revient vers moi qui bossait sur des visuels, il s'exclame "Ah ben non ça c'est pas possible !"
Comme je faisais EXACTEMENT ce qu'il avait demandé depuis le début, un peu surpris je lui demande sans me retourner :
"C'est le cadrage ? Vous voulez un autre cadrage ?"
Pas de réponse.
Je me retourne. Il regardait le plafond, mains dans les poches.
"On va faire autrement..." dit-il d'une voix ferme.
Soudain je me rends compte qu'il a une oreillette. Un micro, excroissance dans le fil qui disparait dans l'imper.
Il téléphonait !
Je me retiens de pouffer, et mon collègue discrètement écroulé de rire en face de moi se met à siffloter... Inspecteur gadget !
Là je suis carrément sorti de la pièce avec ma tasse à café comme fallacieux prétexte à ma fuite précipitée... !

La troisième fois on a appris le prénom assez rare de sa femme.
Il a saisi le combiné du téléphone en s'exclamant :
"J'appelle Sixtine !"
Cette fois-là on est TOUS SORTI de la pièce !!!
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c'étais un jour comme d'habitude à mon boulot. à l'époque je bossais chez McCann-Erickson.
c'est d'ailleur là le problème, l'habitude.... l'habitude de toujours partir à la pause déjeuner avec le casque du balladisque sur le oreilles, musique à la con, sautillant de partout dans les couloirs systématiquent, heureux à l'idée d'aller retrouver mon "Pépichoc" à la boulangerie du coin
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.....
Donc comme à mon habitude, j'arrive de cette manière
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sur le corridor qui mène au plateaux d'ascenceurs, corridor etroit, toujours sombre car seuls ses extrémités sont allumées...; un peut comme la partie intermédiaire entre deux voitures de TGV;
Tout à coup je perçois le "Ting" d'arrivée d'un des six ascenceurs. Là ma promenade sautillante façon "Mary Poppins" se transforme en course éffrénée pour arriver à choper l'arrivant.... car c'est toujours un problème pour arriver à en avoir un.... surtout qu'on ne sais jamais lequel des 6 lorsqu'on en appel un, vas arriver... et surtout où il vas vous emmener.... (ah je vous jure les "transports" dans ces gros buildings de bureaux ! )...
Partis a toute vitesse je m'engage donc dans ce couloir et PAF plus rien.... arrêt sur image.
Juste en face dans la cage d'ascenceur ouverte je vois une dixaine de personnes interloqués...
....les yeux ouverts grands comme des tasses à café, me regardant un peut comme ça quoi --->
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moi je commence un lente glissade vers le sol, droit comme un "I" dans un bruit de doigt sur le fond d'un plat en pyrex comme dans la Pub "Paic citron" (faite par la boite d'ailleurs)
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le fin mot de l'histoire... c'est que ce couloir etroit comportait une porte coulissante en verre.... qui n'avais jamais été fermée, et donc depuis toujours rangée à l'interieur du mur.... aucun employé de l'agence n'en connaisant l'existance... jusqu'a ce que l'entreprise de nettoyage la découvre et décide de la nettoyer
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maitre nageur du Bar a dit:
Un truc qui passe pas, Grib' ?
Ah.
Ouais je sais : ce sont là des fous-rires "RécréA2©", je n'ai pas hélas souvent l'occasion d'avoir des fous-rires de la catégorie "Urban-Junk Trans-UnderHypeground Trashy-Mashy Over-Soap no-Fashion Cyber-Masterclass".

Aussi je me contente de choses à ma portée...
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j'ai rien dit moi....
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c'est juste que c'est pas gentil de se moquer de l'ours padington.... j'amais beaucoup et toujours d'ailleurs l'ours padington
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: D
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gribouille a dit:
moi je commence un lente glissade vers le sol, droit comme un "I" dans un bruit de doigt sur le fond d'un plat en pyrex comme dans la Pub "Paic citron" (faite par la boite d'ailleurs)
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Ouille !
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Qu'est-ce qui a le plus morflé, l'épaule, le nez ou l'amour propre ?
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