D
Lappel à une «Belgique française»
Un politicien francophone évoque une «association» avec la France.
Voilà que la France va compter des départements en plus. :rateau:
Franchement, pourquoi les élections ne sont pas invalidées pour que vous, belges, sortiez de cette crise?
C'est pas que je ne veux vous pas en France...
Décidément, notre pays vire à une dictature style "franquiste" !
Tu as des trucs à te reprocher ?... :siffle:
Qu'est-ce qui peut bien te donner à penser qu'il y a besoin d'avoir quelque chose à se reprocher pour devenir victime d'un état policier ?
Tu veux que je te parle des rafles qui ont eu lieu ici dernièrement et qui touchent les familles de militants ?...
toi aussi tu fais partie des 20/49% :rateau:http://strangemaps.wordpress.com/2007/12/04/214-the-blonde-map-of-europe/
Voilà voilà voilà... :siffle:
toi aussi tu fais partie des 20/49% :rateau:
C'est pas le moment, je pense... :siffle: Carla Bruni c'est pas une de ses exs ?:siffle: Sinon je crois qu'il se l'est fait fauchée par .... plus petit que luiOué: demande à l'Amok, je suis une vraie blonde.
Le vigneron pleure son ouvrier algérien
SOCIETE Cest un «vieil homme de la vieille droite», comme il dit, qui semble avoir subitement égaré ses certitudes. Un notable bourguignon qui porte beau la casquette Sherlock Holmes, vouvoie son épouse, mais se met à dire des jurons la voix gonflée de colère. Un employeur qui ne comprend pas pourquoi on lui a «enlevé» son salarié. Un monsieur qui pleure un ami. Michel Millet, riche propriétaire de vignes sur la côte chalonnaise, avait rencontré Benali Sahnoune en 2005, via une de ses connaissances parmi la communauté harki...
Métier. Millet est un ancien officier de larmée française en Algérie. Il en a conservé un vocable suranné aux accents plus paternalistes que colonialistes à légard de la communauté arabe. Benali Sahnoune, algérien, était alors clandestin en France, il navait pas de boulot. Millet la fait embaucher sur le domaine viticole de sa fille. Petit à petit, le travailleur clandestin a appris le métier de la vigne. Il a commencé par trier les sarments, puis se familiarisant, il a appris à les attacher, à ébourgeonner, à tailler «Cest un bon vigneron», dit Michel Millet. Mais, la semaine dernière, alors quil se rendait sur le domaine de Châtenoy-le-Royal (Saône-et-Loire), Benali Sahnoune a été arrêté sur la route par les gendarmes et emmené au centre de rétention administrative de Lyon. Il doit être expulsé dun jour à lautre vers lAlgérie. Michel Millet a dabord été en colère. Puis il a pleuré. Lhistoire de Benali Sahnoune se confond avec celle des milliers de clandestins expulsés chaque année. En 2002, il a fui le nord-ouest dAlger, région sinistrée par la guerre civile, laissant sur place femme et enfants, pour espérer trouver un travail en France. Il a rejoint Chalon-sur-Saône, où son père est installé depuis 1962, sa mère et ses frères et surs (français, eux) depuis une quinzaine dannées. Il sest vu refuser, comme la plupart des Algériens, le statut de réfugié. A quand même trouvé du boulot. Déclaré. Il pensait que cela plaiderait pour sa régularisation. Il sest trompé.
Lors de son arrestation, il a montré ses feuilles de paie, ses cotisations à la Mutuelle sociale agricole «Ils mont dit que ça ne servait à rien.» Benali Sahnoune est résigné. Michel Millet, son employeur, ny arrive pas. Benali Sahnoune sait que «cest comme ça». Michel Millet ne le savait pas. Cet homme de 73 ans vient de découvrir une France quil ne connaissait pas. Celle «des humiliations» et «du mépris». Comme sa fille, il a été convoqué chez les gendarmes. Il lui a été signifié quil pouvait être poursuivi pour «aide à lentrée, au séjour et à la circulation dun étranger en situation irrégulière». Le procureur na pas voulu donner suite. Mais Michel Millet nest pas dupe : «On est une famille de notables convenables, cela explique.»
Quelques jours après larrestation de Benali Sahnoune, il sest rendu avec Zerka et Amoulkeir, les deux surs de Benali, au centre de rétention administrative de laéroport de Lyon. Après deux heures de route, ils ont sonné au centre de rétention. On leur a demandé dattendre sous le vague Abribus qui fait office de salle dattente. Au bout de trois quarts dheure dans le froid, croyant avoir été oubliés, ils ont resonné. Les policiers sont sortis, leur ont fait comprendre que leur impatience était de mauvais aloi. Ils ont été sanctionnés dune privation de visite et sont repartis à Chalon. La colère au ventre. Avec un accent bourguignon comme on nen entend plus, le «r» roulant et traînant, Michel Millet peste contre «cette droite de cons».
Curieux trio. Lancien président local de la CGPME (le très droitiste syndicat des petits et moyens patrons), qui fréquente le ban et larrière-ban des notables chalonnais, a des gros mots pleins la bouche contre la politique dimmigration de la France, la politique tout court et ses représentants. A sa femme qui sinquiète de le voir sortir de ses gonds face à la presse, il répond : «Ne vous inquiétez pas Geneviève, je sais que je parle à un journal de gauche, je prends toutes les précautions dusage.» Les surs de Benali sourient. Parfois le taclent sans ménagement.
Curieux trio que ce monsieur aux allures de gentleman-farmer version bourguignonne de la IIIe République et ces deux jeunes femmes portant le voile et le verbe haut. Ils sont retournés ensemble mercredi au centre de rétention pour un dernier au revoir à Benali. Cette fois-ci, ils ont pu entrer. Ils lui ont apporté sa valise et quelques cadeaux pour la famille au bled. Ils ont droit à vingt minutes dentretien. Dans la salle aux murs blafards, personne narrive vraiment à parler. Michel Millet répète : «Cest ridicule tout ça.»
A.Gd.
Quand on n'a pas d'idée en France, on créer un taxe...
Quand vont-ils décider de faire greffer un laryngophone avec émetteur incorporé à l'ensemble des citoyens ?
La nouvelle Miss Belgique parle mal le néerlandais: scandale en Belgique
AFP - Lundi 17 décembre, 12h41
BRUXELLES (AFP) - Nouvelle illustration des tensions nationales en Belgique entre Flamands et francophones: Miss Belgique, une Wallonne élue ce week-end, ne parle pas bien le néerlandais, a relevé lundi avec indignation la presse flamande.
"Miss Belgique ne parle pas le néerlandais" titre ainsi le grand journal populaire flamand Het Laatste Nieuws, après l'élection d'Alizée Poulicek, originaire de la province de Liège (sud).
Le quotidien constaste que "la crise communautaire dans notre pays", qui dure désormais depuis plus de six mois, empêchant la formation d'un nouveau gouvernement, "s'insinue dans les secteurs les plus légers". "La Liégeoise, première Wallone à être élue miss Belgique depuis 2003, ne parle en effet pas le néerlandais. Et ça, ça ne passe pas bien", observe-t-il.
Cette blonde étudiante en langues romanes de 20 ans qui, outre le français, parle le tchèque et l'anglais, s'exprime en effet très malaisément en néerlandais.
La cérémonie se déroulait à Anvers, au coeur de la Flandre, et lorsque Mlle Poulicek a avoué ne pas comprendre une question posée en néerlandais, elle s'est attirée les huées des 4.000 spectateurs présents.
L'incident n'a pas empêché son élection par les téléspectateurs, mais lors de la conférence de presse qui a suivi, les journalistes flamands l'ont assaillie de questions mettant en évidence ses lacunes en néerlandais, langue maternelle de 60% des Belges.
Témoignant de l'impact de l'affaire, le journal de référence flamand De Standaard lui a consacré son "forum" internet, publié sur un tiers de page, où les lecteurs dans leur majorité réprouvent la méconnaissance du néerlandais de la nouvelle Miss Belgique.
Mlle Poulicek, qui avait déjà pris des cours de néerlandais avant son sacre, a promis de se perfectionner.
Thoune: massacre annoncé dans une école professionnelle
Une inscription a été retrouvée dans une école professionnelle à Thoune, annonçant un massacre pour jeudi. Même si le sérieux de la menace ne peut être vérifié, l'établissement et l'école de commerce voisine seront fermés dès mercredi à titre préventif.
Les cours reprendront normalement après les vacances de Noël. Cette décision a été prise par les deux directions de l'école professionnelle et de l'école de commerce qui logent dans le même bâtiment, a indiqué la police bernoise.
L'inscription "Amoklauf am 20.12.07" ("Massacre le 20.12.2007") a été retrouvée dans le bâtiment de l'école professionnelle. Les professeurs et les élèves ont été informés de la fermeture de leur établissement.