Condition Humaine

Posté par Fab'Fab
Là ça commence à ressembler à une trace de pneu...

Ouais on pourrait même dire que la vie de certain ressemble à une trace de pneu, elle est là mais on ne sais pas à quoi elle sert :D :rateau: :siffle:
 
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Réactions: al02
Si je saute les 25 passionnantes pages et que je reponds à la première question :
il n'y a aucun but à la vie.

Ce qui ne nous empêche pas de nous en donner à nous-même. Ou de s'inventer des dieux etc. Mais il ne faut pas confondre.
 
Si je saute les 25 passionnantes pages et que je reponds à la première question :
il n'y a aucun but à la vie.

Ce qui ne nous empêche pas de nous en donner à nous-même. Ou de s'inventer des dieux etc. Mais il ne faut pas confondre.

Feignasse va.
C'était tellement bien.

Relis moi tout ça ou je le dis à... Je le dis!

bobby a raison. :up:

Tiens, au hasard, je te renvoie aux posts 432, p. 22 et 447, p. 23 ;)

Mais il y a beaucoup d'autres posts de très haute tenue dans ce fil. :zen::cool:
 
bobby a raison. :up:

Tiens, au hasard, je te renvoie aux posts 432, p. 22 et 447, p. 23 ;)

Mais il y a beaucoup d'autres posts de très haute tenue dans ce fil. :zen::cool:
Mouais ...

Disons qu'il y a des sujets qui font débat et d'autres où je ne vois pas quel débat il peut y avoir. Ce sujet ressortit au second cas : on croit ou ne croit pas en Dieu, on croit ou non en une quelconque forme de providence etc. On est d'un côté, de l'autre, ou au milieu pour les indécis.
Mais de débat, il n'y en a pas : il est vain. Ici il ne s'agit que de convictions, indémontrables par essence.

Aussi intéressantes soient-elles, toutes les innombrables démonstrations de l'existence ou de la non-existence de Dieu, paraissent assez dérisoires, non ? Et Pascal, avec son pari, a finalement opté pour la bonne solution : ne pas chercher à convaincre.

Ce qui peut être intéressant est plutôt de débattre sur les notions ou termes eux-mêmes [but, vie, Dieu etc.] : là on peut débattre à l'infini sur le sens des mots.
 
Ne pas croire que Dieu existe,
Ne pas croire que Dieu n'existe pas,
Ne pas croire.

Puisque l'on parle de précision des termes, cela s'appelle agnosticisme, non indécision.

Mais je dis ça comme ça.
 
L'est pas indécis, l'agnostique ? Hé bin, je ne sais pas ce qu'il te faut :D !
 
Mouais ...

Disons qu'il y a des sujets qui font débat et d'autres où je ne vois pas quel débat il peut y avoir. Ce sujet ressortit au second cas : on croit ou ne croit pas en Dieu, on croit ou non en une quelconque forme de providence etc. On est d'un côté, de l'autre, ou au milieu pour les indécis.
Mais de débat, il n'y en a pas : il est vain. Ici il ne s'agit que de convictions, indémontrables par essence.

Aussi intéressantes soient-elles, toutes les innombrables démonstrations de l'existence ou de la non-existence de Dieu, paraissent assez dérisoires, non ? Et Pascal, avec son pari, a finalement opté pour la bonne solution : ne pas chercher à convaincre.

Ce qui peut être intéressant est plutôt de débattre sur les notions ou termes eux-mêmes [but, vie, Dieu etc.] : là on peut débattre à l'infini sur le sens des mots.

Là où tu as raison, c'est qu'on ne peut pas dialoguer là où il n'y a que des convictions.

Les convictions enferment chacun dans la certitude d'avoir raison. Dialogues de sourds.

Mais où peut-on alors dialoguer ? Où peut-on s'entendre ?
 
Là où tu as raison, c'est qu'on ne peut pas dialoguer là où il n'y a que des convictions.
À ceci près que le terme « conviction », désignant une certitude de l'esprit, ne me convient pas. Je lui préfère de beaucoup celui de « croyance », plus proche de la réalité d'un acte de foi conscient du doute. D'une manière générale, je me méfie des certitudes.
Par ailleurs, il n'y aurait pas de débat si l'on basait toute tentative de conversation sur des vérités factuelles, c'est-à-dire démontrables. On peut discuter des heures de l'existence ou non de Dieu, on peut se disputer aimablement sur le sens à donner à ce mot (et qui croirait avoir raison ferait un bel acte de foi…), mais, sauf à déplacer la discussion sur le terrain de la représentation du réel, il n'y a rien à dire sur le fait que deux et deux font quatre.
 
La condition humaine - philosopher sur la crotte, le soir.

(quelque chose me dit que je n'ai rien à foutre dans cette discution dans laquelle je tombe comme un poil de cul - bah...)