le thread que t'apprends des trucs quand tu le lis

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si si on suivait, t'inquiete pas pascal! ;) :D :p
tiens, moi j'ai parlé de ce thread a ma copine a moi aujourd'hui, qui m'a sorti un peu apres qu'elle se "saignait aux quatre veines" pour moi...
(c'est meme pas vrai, hein, c'est une gonzesse, faut toujours qu'elle exagere!! ;) )
et du coup elle me dit : "ben tiens, ca vient d'ou ça? t'as qu'a aller demander sur ton machin de l'internet, la! (ben oui c'est une gonzesse, les nouvelles technologies c'est pas son fort ;) )
alors comme moi chui un mec discipliné et que j'veux pas m'faire engueuler, je demande...
ben ouais...
bon, je file la retrouver, la douce en question, c'est pas l'tout d'battre sa mere (tiens encore une), j'ai une vie moi!!
interro orale surprise demain! :D
 
loustic a dit:
Bonjour
Rien ne vaut un bon bouquin et on a le choix !
Entre autres : La fin des haricots
et aussi : L'affaire est dans le sac
Par Colette Guillemard aux éditions Bartillat.
Etc, etc, etc. :D

Et j'ajouterai
- "La puce à l'oreille, origine des expressions populaires" de Claude Duneton, en poche
- "Robert historique de la langue française", 2 tomes, plus cher mais inépuisable
- "Le parler des métiers" de Pierre Perret, excellent et classé par métiers
 
faire un b½uf vient du groupe des six, Poulenc, Auric, Milhaud, Tailleferre, Honegger, Durey, qui, à l'entre-deux-guerres, habitués du b½uf sur le toit, s'y tapaient de temps en temps une petite improvisation. De là : « Allez, on va se faire un b½uf... »
 
bobbynountchak a dit:
EDIT : aaaaaaah mais ce serait pas le franc maçon qui t'aurait boule la?
ben c'est pas passqu'on est pas d'accord qu'il faut se chamailler les petiots... :hein: ;)
je ne boule rouge que très rarement, et ce n'est pas le cas ici

PS: pourquoi me qualifies tu de francs maçon (j'ai appris ça à une expo au musée saint pierre à lyon l'an dernier ;) )
 
boh j'ai dit ca comme ca, pour que tu te reconnaisses!!

t'as vu, ca a marche! ;)
 
Dans le temps, lorsque les guerriers normands (les vikings) perdaient une bataille, ils étaient passés au fil de l'épée, et se retrouvaient ensuite au "banquet d'Odin".

Il nous en est resté l'expression "On se passe un coup de fil, et on dine". :D :D :D

(librement adapté de René Goscinny, dans Astérix et les normands)
 
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Réactions: N°6
Pascal 77 a dit:
Ca s'rait un état lié à ton nombre de points disco que j'en serais pas étonné. Mais à mon avis, le DJ et Dos Jones sont deux entités totalement distinctes. :D

EDIT : D'ailleurs, Dos Jones connait aussi la s½ur du cousin du DJ ;)
Je confirme que je n'ai rien a voir avec l'individu susnommé
dj.gif
qui nous balance sa musique "Boum-Boum" dans les oreilles tellement fort que des fois j'ai du mal à lire ici... :D
 
Allez tiens...

Entendu récemment :
Fut un temps, les nobles se faisaient parfois trimballer en chaise à porteur.
Jusque là tout le monde suit je pense.
Quand ils s'arrêtaient pour la nuit histoire de faire une pause (en cas de long trajet), comme il n'y avait pas de garage, les gars chargés de porter la chaise la laissaient ou ils pouvaient et enlevaient les deux barres transversales pour éviter qu'un saligaud ne leur embarque pendant leur absence.
Et après, les gars en question, qu'est-ce qu'ils faisaient pour leur quartier libre?
Ben comme tout le monde, ils faisaient les cons une bonne partie de la nuit, allaient tester les bistrots du coin quoi, avec leurs barreaux de chaise sous le bras.

D'ou l'expression :
"Mener une vie de barreau de chaise"
 
bobbynountchak a dit:
D'ou l'expression :
"Mener une vie de barreau de chaise"

Si je puis me permettre, c'est "mener une vie de bâton de chaise"...

Effectivement, il faut se référer aux chaises à porteurs, qui étaient munies de bâtons par lesquels les porteurs transportaient les hautes dignités.
 
kaviar a dit:
Si je puis me permettre, c'est "mener une vie de bâton de chaise"...

Effectivement, il faut se référer aux chaises à porteurs, qui étaient munies de bâtons par lesquels les porteurs transportaient les hautes dignités.
J'ai entendu les deux.
Sans doute une déformation due au temps. :)

DocEvil a dit:
Pourquoi dit-on "merde" pour souhaiter le succès de quelqu'un ?

Et ça je sais pas.
Je vais tout de suite poser la question dans "Docevil vous répond", je reviens :D
 
DocEvil a dit:
Pourquoi dit-on "merde" pour souhaiter le succès de quelqu'un ?
c'est une corruption d'une ancienne formule de bénédiction 'Par la mere de dieu! ...ou d'exaltation, d'encouragement :'sainte marie mere de dieu, priez pour'.
c'est devenu 'merededieu', puis 'merdeuh' ainsi qu'il est attesté dans les dicts tres celebres du moine Fessepine, chapelain au monastère de Baisemignon, au seizieme siecle, en burgonde.
 
pour "merde" je sais que les comédiens se le disent tt le tps avant de monter sur scène ou bien ils disent aussi "brake a leg" mais jamais bonne chance en tous cas:) quant à l'origine.....il y a tellement de citations avec ce mot...
 
JULIE007 a dit:
pour "merde" je sais que les comédiens se le disent tt le tps avant de monter sur scène ou bien ils disent aussi "brake a leg" mais jamais bonne chance en tous cas:) quant à l'origine.....il y a tellement de citations avec ce mot...
Non! c'est ma version qui est la bonne...il n'y en a pas d'autres.
j'ai entre autres de mes qualifications, celle là de juronlogue.
CORDIALEMENT
 
DocEvil a dit:
Pourquoi dit-on "merde" pour souhaiter le succès de quelqu'un ?
C'est une "superstitition de planche", un truc de comédien, qui remplace un mot interdit, "chance".
Les comédiens sont gens superstitieux, comme les marins (les deux d'ailleurs cohabitaient souvent dans le passé, parce que l'habileté de ces derniers à manier les cordes - autre mot interdit - en faisait de magnifiques machinistes). Et comme d'autres corps de métier, ils pensent être marqués par la malchance.

Dans ce dédale de professions à superstition, on attribue la nécessité de ne pas parler de chance à celui qui va entrer en scène, et de remplacer ça par un "merde" bien senti, (les comédiens anglais disent : "Break your leg", "Casse-toi une jambe") à un leg de Cambronne, qui immacula l'interjection comme le remède miracle à la malchance des soldats.

La superstition ne serait pas complète sans rajouter qu'il ne faut en aucun cas que le comédien remercie le jeteur du "merde". Il vaut mieux dire "je le prends".


J'ai entre autres de mes qualifications, celle de supertitologue. :D
 
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