Lettres mortes

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Anonyme
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Que veux-tu, il était trop émoustillé par toutes les femmes de son blob pour avoir le temps de penser à l'orthographe :cool:
 
Depuis ces presque quatre heures que tu as écrit ce message en faisant une grosse faute d'accord, t'as pas eu envie de changer ? :D

J'ai changé de peau pour avoir le droit de faire des fautes, et, surtout, pour ne jamais avoir à me contenter en relisant mes posts.
:p
 
Comment peut-on changer à ce point en si peu de temps?
Comment peut-on devenir encore plus égoïste qu'on ne l'était?
Comment peut-on tout oublier pour passer si vite à autre chose?
Tu n'as donc pas de coeur?

Et ces soit-disantes valeurs?
Elles sont passées où?

Tu fais bien comme ça t'arrange...
Et tu penses bien ce qui t'arrange...
Comme ça, t'as rien à te reprocher...
Et ça me fait doucement sourire.


Mais ce qui me dérange, c'est pas tant ce que tu soit devenue.
C'est pour qui tu me fais passer auprès de tes amis, de mes amis et de ta famille (ah, à ce propos, ils vont bien hein, tu fais pas de soucis pour eux, même si eux s'en font pour toi).

Et le pire dans tout ça, c'est que ne t'en veut pas.
Ahhh, ce qu'on ferait pas pour ne pas assumer ses actes...
Rejetter la faute sur l'autre c'est tellement plus simple.


Plus les jours passent, et moins je regrette, mais ce soir ça a dépassé les limites de l'acceptable.

Tu es perdue ma pauvre...
Je te plains.

Bon vent.


A jamais.


Ce qui me manque le plus?
En tout cas pas toi...
 
Honnêtement, vous croyez que j’en ai quelque chose à secouer de l’avis de personnes que je ne connais pas ? Oui, parce que pour moi, deux CDB par-ci par là, une réponse dans un fil, ce n’est pas connaître l’autre.
Alors voyez-vous, quand vous m’envoyez un MP pour me dire que X ou Y est comme ceci ou comme cela, qu’il faut que je m’en méfie parce que je suis brune et que je vais me brûler les ailes, qu’untel est un connard psychopathe, que cette personne-là est toxico et qu’il n’est pas possible de se fier à elle, que cet énergumène-là se mêle de la vie des autres etc.. etc… je m’en tamponne le coquillard comme dirait les sudistes !

Sachez, ô grands sauvegardeurs de la morale, que vos messages ont sur moi, l’effet inverse. Plus vous enfoncerez une personne, plus elle m’intéressera. Et sachez, que jamais je n’ai été déçue par les personnes que j’ai découvertes et apprises à connaître.

Afin que vous ne perdiez plus votre temps à m’envoyer des petits mots, prenez-en notes Messieurs ! Et oui, Messieurs ! Jusqu’à maintenant ces messages pleins de bonnes intentions, je n’en doute pas, m’ont tous été adressés par des porteurs du gène XY.

J'ai l'air si faible et sans défense que vous vous souciez autant de moi ?...

PS : offrez-moi des tulipes ou des tournesols à la place, cela aura bcp plus d'impact sur moi et vous marquerez des points!
 
Un jour, un après-midi je me suis emporté à tel point que nous étions prêts à nous séparer.
Moi, non bien sûr, homme simple que je suis toujours : je trouvais dans cette conclusion quel que chose qui me mettait vraiment en danger. Qui faisait trembler l'édifice faible et quelconque bâti sur cette famille.

Oui, oui, j'étais conservateur et je le reste.

Tu m'as laissé revenir.

Ce jour là comme ce soir, de mon point de vue, j'étais "négligé", je n'avais pas d'existence face à ton planning, face auquel rien ni personne n'existait. C'est ce que je ressentais, ce que je n'arrivais pas à exprimer, ce qui provoquait en moi cette colère sourde puis bruyante.

Ce soir j'ai dominé ma colère, un peu, j'ai exprimé mais sans être pour autant compris. Le détail que tu as pointé n'est rien face à la douleur que je t'expliquais. La violence que tu as montrée n'est qu'un indice supplémentaire ; de quoi, d'abord ?

Peut-être ne sommes nous pas méchants ? Juste violents.




L'enfant cherche à s'endormir bercé par du Mozart.
Moi je serre les dents en espérant te retrouver et que nous oubliions cette violence.
Moi je suis fatigué, et ce n'est pas le moment de m'emmerder.
 
Honnêtement, vous croyez que j’en ai quelque chose à secouer de l’avis de personnes que je ne connais pas ? Oui, parce que pour moi, deux CDB par-ci par là, une réponse dans un fil, ce n’est pas connaître l’autre.
Alors voyez-vous, quand vous m’envoyez un MP pour me dire que X ou Y est comme ceci ou comme cela, qu’il faut que je m’en méfie parce que je suis brune et que je vais me brûler les ailes, qu’untel est un connard psychopathe, que cette personne-là est toxico et qu’il n’est pas possible de se fier à elle, que cet énergumène-là se mêle de la vie des autres etc.. etc… je m’en tamponne le coquillard comme dirait les sudistes !

Sachez, ô grands sauvegardeurs de la morale, que vos messages ont sur moi, l’effet inverse. Plus vous enfoncerez une personne, plus elle m’intéressera. Et sachez, que jamais je n’ai été déçue par les personnes que j’ai découvertes et apprises à connaître.

Afin que vous ne perdiez plus votre temps à m’envoyer des petits mots, prenez-en notes Messieurs ! Et oui, Messieurs ! Jusqu’à maintenant ces messages pleins de bonnes intentions, je n’en doute pas, m’ont tous été adressés par des porteurs du gène XY.

J'ai l'air si faible et sans défense que vous vous souciez autant de moi ?...

PS : offrez-moi des tulipes ou des tournesols à la place, cela aura bcp plus d'impact sur moi et vous marquerez des points!

Ô sublime colonnie de nases !!!

Sortez de chez vous et souriez à votre entourage...

Au lieu de défendre les cyber inconnus dont les écrits souvent ridicules, parfois grotesques mais toujours navrants, vous ont émus pour de très basses raisons...

Internet ne fait pas de bien, internet n'est pas ton ami, internet ne tient pas compagnie, internet ne remplace rien, internet ne corrige même pas les fautes d'orthographe... alors t'as qu'à voir....

La vie, est comme la vérité... ailleurs... hihihihihihi...
:siffle:
 
Chers futurs cambrioleurs,

Avant de venir chez moi, s'il vous plaît, attendez encore juste un peu. Disons, 48 heures, maximum.
Vous avez bien attendu des années (et je vous en sais gré), alors un ou deux jours de plus...

Quand j'y repense, quel imprudent ai-je été jusqu'à présent. Dix ou quinze ans de vie, de souvenirs, de travaux professionnels, stockés dans à peine quelques centimètres cube, le tout au même endroit...

J'ai pourtant fait consciencieusement des sauvegardes de tout ce qui est important sur des disques externes. Si un disque lâche (et c'est déjà arrivé), je peux tout retrouver. Mais tout est au même endroit, à part quelques copies des dossiers courants qui volent virtuellement dans le "nuage" internet.
Question de budget (acheter encore un disque en plus), de temps, d'organisation... d'inconscience.

Mais depuis quelques jours, chaque fois que je quitte mon domicile, une prémonition me hante : celle de mon appartement visité, pillé, vidé. Et tous mes biens numériques perdus à jamais.
Des années et des années de travail anéanties en quelques minutes.
Des gigas et des gigas de souvenirs évanouis en un instant.
Une vie entière à refaire.

Epouvantable. Impensable.

Quelques centaines d'euros en valeur marchande pour vous, mais un trésor en valeur affective et professionnelle pour moi.

Alors, avant de venir forcer ma porte, et d'emporter ce dont vous avez besoin, laissez-moi juste le temps de terminer la sauvegarde de toute ma vie numérique sur ce gros disque dur que je m'empresserai de placer en lieu sûr, loin, très loin de chez moi.

Une fois cette précaution prise, c'est à peine si je vous en voudrai de me délester de quelques appareils certes chers, mais remplaçables.

Bien cordialement,

F.

PS : en partant, pensez à refermer derrière vous, pour ne pas laisser s'échapper les chats. :zen:
 
Samedi. Réveil doux, le soleil se glisse par quelques fentes et vient réchauffer ma joue. Une nuit de sommeil réparateur comme il ne m'en a plus été donné depuis bien longtemps.
Sentiment d'être bien, ni plus, ni moins. Quelques minutes encore à profiter de la douceur de la couette avant de me lever, quand soudain, je me souviens.
J'ai rêvé de Vous. Un moment de vie quotidienne partagé, rien d'extraordinaire. Je travaillais avec toi, relisais tes documents, m'occupais de la paperasse. Tu m'aidais à réviser ma branche faible pour ce foutu bac que je n'ai jamais passé. Tu avais su me convaincre de le faire par correspondance apparemment. Toi, littéraire jusqu'au bout des doigts m'expliquais les rudiments de l'explication de texte et dissertation. Tout avait l'air si simple.
Moment simple, moment vrai comme je les aime. Malheureusement, ce n'était qu'un songe.
Si ta rétine fatigue, ici, elle pourra se reposer. Et le souvenir de la douceur de ta main dans le creux de mes reins ne serait pas qu'une illusion.
 
Salut, vieux.

Tu doutes, hein ? Je pense que tu as raison. Aujourd’hui, c’est gueule de bois. Encore. Le matin en ruines, et tout le bordel. Mais c’est vrai que celle-là, y fallait la voir venir. La dernière fois, déjà, tu avais dérouillé comme il faut. Sauf que c’est toi qui jouais, même à brasser de l’air pendant des mois. Tu n’as jamais été capable d’être un ami correct, et tu as fait semblant jusqu’à la rupture, épuisé. Je ne t'en veux pas pour ça.

Tu t’es relevé assez vite, somme toute, car elle a fini par arriver, l’amie, la vraie. Du moins, c'est ce que tu me disais. Tu es tout de suite reparti avec elle, bien étonné de voir comment tout était plus simple, soudain. De la spontanéité, une étonnante compatibilité, au service d’un vrai partage. Tout ce que tu t’es tué à attendre avec l’autre, pendant presque un an. Là où tu dépensais une énergie hallucinante à faire semblant, tu avais enfin trouvé celle avec qui en fabriquer. L’amitié, quoi, le truc trop top. Elle ne te laisse même pas le temps d’y penser, tellement on se fend la gueule. Cette fois, c’est vrai, tu ne savais pas. A côté de ça, tu pouvais aller chasser, sans grande conviction, et encore moins de résultat. Et pour cause, celle que tu cherchais, elle était là, juste à côté, déguisée en camarade. Je te l'avais soufflé, pourtant. Toi, tu étais tellement certain de ce qu’il y avait à tes côtés que tu regardais dans toutes les directions, sauf celle-là.

Jusqu’à vendredi soir. Alors là, t’as rien compris. Sans crier gare, elle a complètement changé, et tu lui as emboîté le pas, par jeu, parce que tu en avais envie, et surtout parce que vous aviez bu. Tu as quand même pris garde à ne pas l’emmener sur des terrains qu’elle aurait pu regretter. Ah ouais, tu as trop la classe, mec, même à deux grammes. Après ça, tu es allé te coucher.

Comment tu fais pour te réveiller à neuf heures un samedi ? Ah oui, tu es barbouillé. Sauf que là, ça part pas avec le Perrier. En repensant la soirée, tu te dis qu’elle a marché sur des œufs, que cet épisode va sans doute l’incommoder, à moins qu’elle ait pété un plomb. Il suffit juste d’en parler, et vous repartirez comme en 40. Ouais, c’est ça. N’empêche, tu as toujours mal au bide. Et tu ne comprends pas pourquoi.

Oui, elle est désolée. Elle a besoin de toi, mais elle l’aime, l’autre. Tu le sais, ça, aucun problème. C’est comme ça que ça fonctionne depuis le début. N’empêche, elle est désolée. Mais de quoi, putain ? Allez, au lieu de regarder vos pieds, allez donc faire semblant en société. Une expérience inédite, frustrante, que la distance imposée. Et tu as toujours mal au bide.

Et alors vieux, t’es dur de la feuille ? Il faut encore t’expliquer. Quand elle te dit qu’elle est désolée, elle essaie de te faire comprendre qu’elle n’arrive pas à être ton amie. Comme l’autre fois, sauf que les rôles sont inversés. Le prends pas mal, mais je trouve ça assez cocasse. Et quand elle ajoute qu’elle comprendrait si tu veux t’éloigner un peu, elle t’annonce qu’il faut qu’elle le fasse. Eh ouais, tu vas perdre ta pote, ton flotteur. Y’a du roulis dans l’air, je préfère te prévenir.

Nan, tu devrais rester assis, j’ai pas fini. Tu n’as toujours pas dormi, cette nuit, et tu as toujours mal au ventre. A ton avis, c’est juste une histoire de bouée en plastique ? Eh nan. Ce à quoi tu t’accroches, ce n’est pas à votre amitié, mais c’est à Elle, maintenant. Tout a changé. Tu y étais solidement arrimé, mais elle était piégée. Le temps que tu le réalises, elle a disparu, la pote. Ce qu’il en reste, tu n’y a pas droit, c’est comme ça.

Voilà d’où vient cette joyeuse confusion, l’ami. Vous avez ouvert la boîte de Pandore, c’est tout. J’espère que tu sauras l’entendre, car maintenant, tu dois faire un choix. Tu peux essayer de t’agripper, mais sans flotteur, tu risques surtout de la faire sombrer avec toi. C’est qu’elle a déjà bien du mal à rester à flot, la petite. Tu ferais mieux d’y aller tout seul. Encore une fois, tu finiras bien par remonter. Ça va prendre un peu de temps, mais j’essaierai de t’aider, comme d’habitude. Et profites-en pour travailler ton discernement, tiens. Si tu pouvais éviter de me resservir la même une troisième fois, j’en serais soulagé. Ça commence à saouler, là. Allez, allonge-toi, et doute.

Bien à toi, vieux, et bon courage à vous deux.
 
Tu n'arrives pas à dormir la nuit ? T'es-tu déjà demandé pourquoi ?
Tu as tenu 15 ans avec elle ? Moi 19. Je gagne. Surveilles tes propos, ils deviennent de pire en pire avec l'âge. Tu viens d'ailleurs de franchir une limite encore jamais atteinte. Jamais elle n'a commis de tels actes envers moi. Jamais. Lever la main, clair. Mais jamais de cette façon. Comment oses-tu aller si loin ?

Ce soir, j'ai honte de porter ton nom.


À jeudi
 
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Réactions: Craquounette
le clic du début t'a mis un clac sur la fin.

m.brelet
 
Salut vielle branche !
Ca va toi ?


Moué bof.

Ah bon qu'est ce qu'il y a ?

Je sais pas trop exactement. Pleins de petites choses, de la fatigue, des déceptions, un trop plein aussi.

Trop plein de quoi ?

Trop plein d'imbéciles, trop plein de combats, trop plein de nuisible, trop plein de malhonnêtes. Je suis un peu las.

Bah c'est un peu idiot de se laisser atteindre par ces tristes non ?

Oui sans doutes. Mais ils sont tellement omniprésent et partout, que je sais pas comment faire pour éviter de trop les cotoyer… Et je ne sais surtout pas comment ne pas être atteint par la bêtise.
Puis j'en ai un peu marre d'être chez les parents aussi.

Pourtant toi qui sors peu quand ça va pas, on peut pas dire que tu sois si renfermé en ce moment…

Non, c'est vrai. C'est justement une bouffée d'oxygène de voir mes amis. Et p'tet qu'un jour je tomberai sur ce que je cherche grâce à ceux là ;)
Ca, ça serait vachement cool.

J'ai cru comprendre que t'avais un plan c.. ça fait pas du bien ?

Moué… Vite fait quoi. C'est rigolo au début, puis en fait je n'y vois que les emmerdes qui vont avec. Faire encore des bornes dans cette région d'abrutis juste pour ça, ne pas dormir chez moi, ne pas avoir mes affaires. Tout ça pour une nuit. Sur le moment, c'est sympa, mais ça passe très vite. Et puis avant tout, ça ne me ressemble pas vraiment je crois.
Tu vois le truc ?

Ouais je crois. C'est bizarre hein, à priori on se dit que c'est des emmerdes d'évités, et puis en fait s'en est d'autres.
Mais qu'est ce qu'il te faudrait alors pour aller mieux ?


Des projets.
Un putain d'appart, ou ce que je rêve d'y faire, de comment le meubler par exemple puisse enfin prendre forme.
Un flirt aussi. Mais un vrai tu vois. Pas du genre pour faire semblant. Quelque chose qui donne envie de tout donner, sans se piller ni se faire piller.
J'suis pas en train de te parler du grand amour et ces choses là. Je crois que maintenant celui là est derrière moi. En tout cas plus j'avance et plus j'en ai la sensation. Tout ce qui était facile, simple et naturel avec Elle, ne l'est pas avec les autres depuis.
Bref. Un truc sain, où on joue pas avec l'autre. Après que ça marche ou pas, c'est une question de feeling.

T'as vraiment tourné la page de l'autre saloperie ?

Oui je crois. J'y repense parfois. Mais autant la page à été tournée la concernant, autant les blessures ne sont peut être pas complètement cicatrisées. Mais bon, tu sais bien ce qui s'est passé, et t'imagines le merdier qu'elle m'a collé dans la tronche.

Et ton voyage en Nouvelle-Zélande ?

Ah celui là, il aura lieu. Un rêve depuis tout petit, ça me ferai vraiment mal de ne pas pouvoir le réaliser alors que l'argument financier qui m'empêchait jusque là de l'imaginer n'est plus.
Mais comme pour beaucoup de choses, je navigue un peu dans le brouillard. C'est vers novembre, donc encore loin. Et puis les réservations ne seront qu'en septembre. Du coup, j'ai un peu du mal à le matérialiser, et à réaliser vraiment. Quand j'aurais mon billet d'avion, je pense que je ressentirai vraiment le truc.

Bon, on se met au boulot ?

Ben pas grand chose pour aujourd'hui visiblement… J'vais aller me fumer une clope, tu viens ?

Je poste un truc sur macgé et j'arrive.
 
Je te croyais partie et tu étais juste cachée, enfouie quelque part depuis de nombreuses années. Tu te planquais, tu attendais le bon moment pour réapparaître, pour sortir ton grand jeu. Voilà, c’est fait.
Les hommes en blanc, les médecins gantés, les piqûres ne me manquaient pas tu sais. J’étais tranquille et peinard sans toi. Je t’avais carrément oubliée. Grave erreur.

Encore une raison de plus de déposer les armes. La lutte à deux sera moins lourde même si ce n’est pas ce que je veux.

That’s life.
 
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Réactions: LeConcombreMaske
Ma chère,

Merci.

Merci pour Les Mains d'Elsa. Ces mots ont résonné longtemps.
Merci pour les je t'aime. Ils ont été entendu.
Merci de croire en mon talent. On en tituberai presque.

Tu as bu comme toujours.
Tout est faussé, alcoolisé et venimeux.
Il est trop tard désormais pour te demander d'arrêter.
Alors continue. Toi et ton steack.

Le végétarien affectif, ton fils.

ps : les cinquante euros n'étaient pas nécessaire. Paie-toi plutôt une bouteille d'Evian.
 
Salut C…o

ah ouais, merdre, faut pas le dire… bon bah salut alors…
Je ne vais pas parler de toi. Tu ne voudrais pas, tu es susceptible de lire en plus. Pourtant, tu ne le ferais pas, en théorie.
je voulais juste te remercier, te remercier de m'avoir remis en selle, même si c'était toi qui était "en selle".
voilà, c'est tout. Après tu peux t'imaginer bien des choses j'ai toujours aimé (et ici encore plus) que les gens s'imaginent des choses. L'auto-fiction des autres, c'est très lucratif pour certaines vacances intimes.

voilà, merci.
ah t'as tort au fait ! Quand je dis "j'aime le cul des filles dans les 501", c'est pas "j'aime ton cul et en plus dans ce jean" (même si j'aime ton cul), c'est vraiment "j'aime le cul des filles dans les 501" car de surcroit ça fait juge de paix… on sait où sont les culs qu'on veut flatter… voilà… si tu t'étais pas barrée aussi vite, t'aurais pu "l'entendre"… t'inquiêtes, certaines ont été contentes de voir ton ombre diminuer…

ceci dit, je resterais un de tes fans, ton travail m'émeut. Comme celui de ces belles personnes avec qui nous travaillons, grâce à toi, tous les deux.

bécot jeune femme !
 
Très Cher O.,


Je voulais te remercier pour l'autre soir. Soirée simple, à discuter de tout et rien à la fois.

J'adore ces moments en ta compagnie, parce qu'il n'y a ni tabous, ni ambiguïté. Juste le plaisir de papoter, de partager, d'échanger des points de vue, des humeurs et des idées.

Alors comme je l'ai p'tet pas assez dit, je le dis ici, comme ça tu le liras sûrement : Merci.
J'ai lu que ta journée n'allait pas être des plus agréable, au moins tu sauras que j'ai une petite pensée pour toi, et ton frère.

Et pis on se retrouve quand tu rentres par ici, pour une autre soirée sympa comme celle là.


En attendant, embrasses les pour moi ;)
 
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Réactions: teo et mado
Salut,

tu es blonde et ça me fait bizarre, tu es vendéenne et c'est pire encore, tu es froide et en même temps enjouée, c'est un vrai casse-tête. Tu aimes mes photos mais a peur de mon regard…

Bon, ok… euh, n'empêche, on baise ?

la bise xo

alèm
 
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Réactions: CarodeDakar
Salut toi,

C'était bien nan, cette balade dans ce verger qui n'existe plus.
J'ai vachement aimé ta façon de m'expliquer comment ces pommiers pouvaient donner des cerises. Et naïvement, j'y ai cru. Puisque je crois toujours ce que tu me dis.
Peu de gens m'impressionnent. Mais toi.
C'est vrai, quoi. Faut quand même y'aller pour m'intimider.

A ce soir. Si je suis capable de passer un coup de fil.
 
Salut poulette.
C'est bien, t'as eu l'audace de le passer ce coup de fil.
La prochaine fois, évite de boire quatre bières avant.
Tu verras, tu diras moins de conneries.
Tu verras, tu ne passeras plus tes dimanche à te tordre le bide de douleur, sans savoir si t'es malade des excès de breuvage ou de langage.
T'as du bol, jusqu'ici personne ne s'est rendu compte à quel point t'es cinglée.
Méfie-toi, ça va peut-être pas durer.

Du calme, ça va bien se passer.
 
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Réactions: LeConcombreMaske