Pour les profs

  • Créateur du sujet Créateur du sujet Lamar
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Merci pour la précision. J'ai effectué des recherches depuis, mais elles sont restées vaines. Apparemment, le format utilisé par Apple est (surprise) très fermé. Il n'est pas possible de lire ces iBook sur d'autres supports, comme un Mac, un PC, une tablette XY, au moyen d'une "liseuse".

Merci quand même, et bonne continuation à MacG et à cette partie du forum, dont j'apprécie l'esprit. :)
 
Apparemment, le format utilisé par Apple est (surprise) très fermé. Il n'est pas possible de lire ces iBook sur d'autres supports, comme un Mac, un PC, une tablette XY, au moyen d'une "liseuse".

Ben … Quand on sait que ce logiciel a pour objectif premier d'assurer la promo des iPad dans les milieux de l'enseignement, ça n'a rien de surprenant, l'objectif d'Apple n'est certainement pas d'aider à la diffusion des produits concurrents de sa tablette en mettant ses propres outils à leur disposition ! :siffle:
 
Pour ceux que ça pourrait intéresser, concernant les eBooks : il existe un logiciel gratuit et multiplateformes, Sigil, qui permet de créer des eBooks au format ePub. Il est relativement simple à utiliser.

Sa principale restriction est qu'à l'heure actuelle, il ne propose de créer que des books au format ePub2. Ces ePub2 ne prennent malheureusement pas en compte les fichiers multimédias. Les développeurs travailleraient actuellement pour rendre possible la création de eBooks au format ePub3, qui peuvent intégrer des fichiers audio/vidéo ainsi que des mises en page complexes.

Les fichiers au format ePub ainsi créés sont ensuite faciles à lire sur PC/Mac au moyen de Calibre par exemple, logiciel également gratuit, mais aussi sur tablettes (Kindle, iPad ou autre).

Pour l'année scolaire prochaine, peut-être... :)
 
Soit on utilise IBA, on se marre avec, c'est facile, beau et joli, MAIS ce n'est que pour Apple.

Soit on se fait c.. grave avec des sigil et autres trucs "presque faciles à utiliser" et on fait de la merde (ou peu s'en faut, du texte brut mis en page), mais lisible par tous.

Dans le premier cas, on est pieds et poings liés livrés à l'arbitraire Cupertinien (que ceux qui ont encore le fondement irrité par la perte des fichiers "domain" d'iweb me suivent!). Exemple récent: parce que j'ai eu la "bêtise" de vouloir classer mon manuel svt seconde dans "textbook" (ce qu'il est), ce dernier dans l'ITS ne se retrouve dispo Qu'aux USA, Canada, Australie et UK... alors qu'ile est écrit en français pour des secondes!

Dans le second cas, on est si emmerdé par les limites des soft et leur "ergonomie", ainsi que leurs possibilités limites, qu'en fait on ne fait rien.

J'ai choisi de faire quelque chose. Toutefois:
- je commence avec Pages pour faire mes documents.
- j'en tire un pdf pour le monde entier
- j'en tire un ibook via IBA, en complétant le doc pages.

On peut aussi, dans le cadre scolaire, utiliser keynote: les présentations réalisées, avec videos, effets et autres, peuvent être exportées en format film quicktime "interactif" (un clic avance le film comme la présentation). C'est une solution qui peut être très performante! (pas autant que l'intégration de keynotes avec lien "objet" dans une ebook iba, mais c'est déjà pas mal!)
 
Je l'ai sans doute déjà demandé, mais savez-vous ce qu'il en est de la possibilité d'un site qui s'est arrogé un nom que vous utilisez déjà de vous chercher des noises si, lui, a pensé à le déposer.

Ca fait des années que j'ai crée un espace page perso Free (gratuit, donc) pour un site qui utilise le nom d'un gros machin de philo-en-ligne-pour-les-petits-napprenants. Jusqu'ici je ne l'avais utilisé qu'épisodiquement, mais comme je viens d'être viré à coup de pompe dans le fondement (repère philosophique, "fondement") par Apple de mon site privé MobileME je reviens vers mon site Free.

Ils peuvent me faire quoi pour avoir osé trouver le nom avant eux ? Me faire fouetter sur la place publique avec les œuvres complètes de Philippe M.?:afraid: Me foutre au trou pour m'aider à continuer mes expériences d'éthologie ratesques ?:zen: M'obliger à changer mon nom en jesuisunvilaincopieur.free (slogan : "pourtant j'étais prems, meurde !")?:casse: Rien du tout ?:style: Ils vont devoir me couvrir de sous ou me filer une agrég gratos ?:up: (peu crédible:mouais:) ...

Mouais ...
 
Pour déjà avoir une idée de la sauce avec laquelle ils vont te déguster, il faudrait connaître la réponse à la question suivante : bien que tu n'aies pas déposé ce nom, es-tu en mesure de prouver que son utilisation par tes soins est antérieure à leur dépôt.

Si la réponse à cette question est "oui", et si tu es prêt à aller en justice pour ça, je pense qu'un bon avocat spécialisé dans cette branche du droit pourrait faire reconnaître tes droits, et même peut-être faire invalider leur dépôt, mais dans ce cadre, la meilleure défense étant l'attaque, tes chances seraient sûrement meilleures si c'était toi qui portait plainte contre eux, car dans ce genre de contexte, mieux vaut être plaignant que défendeur !
 
Non, sans rire ? Je risque vraiment quelque chose ?
C'est juste le nom du site avec le .free derrière qui est le même.
A la limite avec le .free derrière le nom en bannière, ils ne me casseront pas les youks (faudrait être gonflé, mais je sais que malheureusement, les gens gonflés, ça court tellement les rues que j'ai parfois l'impression de vivre dans une remake énervé du prisonnier — vous savez, la grosse bouboule...).
Il faudrait que j'aille demander à Free la date de la création de mon espace page perso et que je cherche quand ils ont déposé le leur.
Personnellement, je veux surtout qu'on me foute la paix et que je ne sois pas obligé de me refaire une adresse en cours d'année.
Déjà, je suis en train de ramer avec SandVox pour obtenir une présentation qui me convienne à peu près. C'est la décision d'Apple de couper l'export depuis Pages vers iWeb qui a fini de me décider de lâcher iWeb. Ca devenait vraiment trop chiant... Ca et Antidote qui n'a jamais vraiment marché dans iWeb.
J'ai essayé RapidWeaver. Avec Stack, ça semblait pouvoir être pas mal mais :
- pas de rangement par ordre alphabétique
- je ne trouve pas de thèmes qui me plaise vraiment
- pas de menu hiérarchique (trop cool, ça)...
 
Dernière édition:
Non, sans rire ? Je risque vraiment quelque chose ?
C'est juste le nom du site avec le .free derrière qui est le même.

Ils réfléchissent actuellement pour savoir si tu seras roué, ou s'ils se contenteront d'une simple exécution par pendaison ! :siffle: :o

Bon, sans rire (enfin, pas trop fort, au moins) : tu mets en ligne un site dont, nom de domaine mis à part, le nom est le même que le leur, mais qui présente dix fois plus d'intérêt que le leur. Tu penses qu'ils vont réagir comment ? :hein:

;)
 
Et une société doit toujours s'attendre à ce qu'un particulier se couche devant sa "puissance".
Le combat judiciaire peut valoir le coup, mais il ne suffit pas d'être dans son bon droit pour gagner, il faut aussi avoir les moyens de le faire comprendre au juge et ça c'est une autre paire de manche.
A doit de voir si le jeu en vaut la chandelle.
J'avoue être assez pessimiste sur les actions en justice des petits contre les gros (même si tu n'es pas si petit et qu'ils ne sont pas si gros).
 
Mais moi je ne joue pas, je suis juste emmerdé avec cette histoire...
Je ne veux pas contester quoi que ce soit, juste faire mon truc tranquillement... Je m'en fous des autres, même si j'ai été étonné qu'ils trouvent ça tout seuls..

---------- Nouveau message ajouté à 13h24 ---------- Le message précédent a été envoyé à 13h10 ----------

Bon, je crois que je vais devoir trouver un nouveau nom. Reste à savoir le même. En plus je cumule le "i" qui risque de foutre Apple sur le dos et le gros machin qui se colle en face...

---------- Nouveau message ajouté à 13h34 ---------- Le message précédent a été envoyé à 13h24 ----------

Je réalise que c'est un vrai casse-tête, d'ailleurs.
Si on veut se faire son petit site dans son coin, comment être sûr qu'il n'entre pas en conflit avec quelque nom que ce soit.
Je ne suis pas dans une démarche où je cherche à être connu, mais plutôt, au contraire qu'on me foute la paix. Pendant des années j'ai fait un site purement et simplement privé, ce qui m'évitait les emmerdements (mais dissuadait les élèves qui détestent avoir à taper le moindre mot de passe pour le boulot).
Je bosse pour mes besoins locaux et comptent bien m'y cantonner, je n'ai rien à foutre d'être visible sur Google ou quoi que ce soit de ce genre, je m'en passerai plutôt.
Quelle stratégie ? Faire avec son propre nom ? un nom tellement générique que personne ne puisse vous le réclamer ?

---------- Nouveau message ajouté à 15h13 ---------- Le message précédent a été envoyé à 13h34 ----------

Bon, j'ai changé le nom pour quelque chose de bien générique mais avec une mise en forme qui me convient.
Reste l'adresse du site qui reste avec le sujet de discorde possible... Je ne sais pas si ça suffit...
 
Salut à tous les profs du coin. J'ai rédigé une lettre pour des collègues qui souhaitent passer au cloud sans trop savoir comment s'y prendre pour s'organiser. Je vous en fais profiter et je suis preneur de toute astuce ou commentaire constructif.

Ceci est une lettre destinée aux collègues souhaitant une organisation plus solide de leurs fichiers informatiques, plus facile à exploiter en cours et sans plus se soucier par la suite de problèmes de compatibilités d'applications, de format de fichier, de formatage de clef USB, etc.
Ces conseils sont calibrés pour OS X/iOS mais sont transposables assez facilement sous Windows et sous Linux. D'ailleurs, je travaille en classe sur Windows XP.

Prérequis
1. Installer le dossier Dropbox (Cloud serveur - sauvegarde et partage)
2. Installer le dossier Skydrive (Cloud productif - éditer les projets dans des applications web)
3. Installer le dossier Google Drive (Cloud productif et collaboratif)
4. Configurer iCloud (Cloud transparent - un “tunnel” entre appareils Apple) - spécifique à OS X/iOS

Répartition des dossiers et des fichiers

Dropbox
1. Dans le dossier Dropbox, créer des répertoires équivalents à ceux de la “maison” d’OS X :
- Documents
- Images
- Musique
- Vidéos
On peut ajouter un répertoire "Partages" pour y réunir les dossiers partagés avec des collègues, des amis, des groupes de travail, des élèves...
2. Dans chacun de ces répertoires, créer deux sous-répertoires :
- Médias
- Projets
3. Dans le répertoire Médias, créer et organiser des dossiers par catégories
- Personnel
- Professionnel
etc.
4. Dans le répertoire Projets, créer et organiser des dossiers par applications
- LibreOffice
- iWork
etc.

Les médias sont les fichiers non éditables aux formats standards : documents en .pdf, images en .png ou en .jpg, sons en .mp3, vidéos en .mpeg, etc.
Les projets sont des fichiers éditables au format de l’application qui sert à les fabriquer : documents en .docx ou .odt, images en .psd, etc.

Les fichiers-projets dépendent de leur application. Les ouvrir avec d’autres applications même réputées compatibles provoque trop souvent des conflits : polices manquantes, tabulations décalées, images mal intégrées, etc.

Les fichiers-médias sont universels : consultables sur n’importe quel poste, sous n’importe quel système, et manipulables depuis Aperçu, ils pèsent moins lourds et risquent moins d'être corrompus.

Un projet terminé doit donc être exporté en fichier-média puis rangé dans le répertoire "Médias".
En cours, on se sert du média et non du projet : un texte mis en page dans Pages (.pages) doit être consulté en PDF (.pdf). Ouvrir un fichier éditable pour une simple consultation, envoyer un fichier éditable à une personne qui n’a pas besoin de l’éditer comporte des risques complications pour l’utilisateur et de dommages pour le projet.

Skydrive
Je conseille de réserver le répertoire Skydrive pour y ranger les projets Microsoft Office ou d'autres applications Microsoft.
Skydrive est un système de Cloud productif qui fournit des outils d’édition en ligne. On pourra retoucher une feuille Excel ou un texte Word depuis le net.

Google Drive
Je conseille de réserver Google Drive pour les projets Google Docs.
Les documents sont produits et stockés sur le net, les projets sont néanmoins transférés automatiquement dans le dossier physique synchronisé qu’on a installé sur l’ordinateur.

iCloud
Le dossier physique est présent sur l'ordinateur mais reste caché à l'utilisateur qui n’y accède pas lui-même. Ce sont les applications compatibles iCloud qui organisent ce répertoire.
Les projets sont accessibles depuis le lanceur de l’application, concrétisant ainsi le paradigme du fichier-projet qui appartient à son application.
Le projet finalisé doit être exporté sous la forme d'un fichier-média dans le bon répertoire de la Dropbox.

Les Bibliothèques-médias intégrées
Dans OS X et iOS, les médias sont regroupés dans des bibliothèque-médias intégrées (= qui comprend son système de fichier, ses métadonnées et son lecteur adapté dans une interface unifiée);
Sur OS X, c'est iTunes qui joue le rôle de bibliothèque média intégrée.
Dans iOS, iTunes a été éclaté en plusieurs bibliothèques
- Musique
- Vidéos
- Photos
- Podcasts
- iBooks : pour les PDF et les ePub (livres électroniques)
- iTunes U : pour les cours universitaires
Synchro des contenus depuis iTunes (en filaire ou en Wifi) et synchro dans le nuage des signets par iCloud. Penser à activer la synchro iCloud pour ces applications sur iOS et sur OS X (prise en charge à partir de OS X 10.7 et bien meilleure sur OS X 10.8).

Conseil : sur iOS, on peut regrouper toutes les bibliothèques-médias dans un seul dossier qu'on peut d'ailleurs glisser dans le dock.

Simplifier son “workflow”
Workflow = flux de travail. La manière dont on produit des documents.
On peut le rationaliser en limitant le nombre d’applications à partir desquelles on produit des documents ; de la sorte, on saura dans quel dossier du répertoire Projets il faudra rechercher son travail.
- UN éditeur de texte pour écrire sans se soucier de mise en page (TextEdit, Byword...)
- UN traitement de texte pour la mise en page (Word, LibreOffice Writer, Pages...)
- UN logiciel de PréAO (PowerPoint, Keynote, Google Drive Presentation, etc.).
- UN logiciel de dessin matriciel (BMP, JPG... : Photoshop, Pixelmator, Gimp...)
- UN logiciel de dessin vectoriel (SVG : Illustrator, TouchDraw...)
etc.

Remarque : Keynote est un excellent logiciel de PréAO qui présente un énorme avantage : on peut exporter son projet finalisé sous la forme d'un média vidéo QuickTime.

Hiérarchiser ses médias
Pour les cours, le mieux est de regrouper tous ses média par séquence dans un dossier Dropbox. À l’intérieur on place les fiches d’activités et le cours en PDF puis, dans des sous-dossiers, les “supports” à diffuser (images, sons, vidéos...) et les “ressources” qui ont servi à préparer/enrichir la séquence (articles scientifiques, séquences de" collègues...).

Sur Mac, tous les médias (pdf, jpg, mp3, etc.) sont lisibles depuis le module "Coup d'œil" intégré au Finder. Il suffit de sélectionner un fichier-média, puis d'appuyer sur la barre d'espace. Il n'est plus nécessaire d'ouvrir aucune application pendant le cours. La manipulation est plus fluide et plus fiable.

Astuce : standardiser la nomenclature des fichiers-médias.

exemple : a_france aires urbaines_carte.png
"a" pour la leçon A
"france aires urbaines" pour le sujet du document
"carte" pour la nature du document.

De la sorte, les fichiers seront regroupés par leçon mais tous accessibles dans le même dossier pendant toute la séquence. On évite ainsi de naviguer dans le Finder pendant les cours.

Quelques applications pour le prof d’histoire-géo sur iOS/OS X
iStudiez Pro pour gérer l’emploi du temps
Evernote pour prendre des notes et organiser toutes ses idées
Bento pour créer des bases de données simplement (base d’élèves par exemple)
ByWord pour rédiger un texte sans se soucier de mise en page
MindNode pour faire des cartes mentales et préparer une séquence, une synthèse, etc.
Pixelmator pour le dessin matriciel et la retouche d’image, à bas coût.
TouchDraw pour le dessin vectoriel (croquis, schémas, organigramme, plans...)
TimeLine 3D (iOS)/Easy Timeline (OS X) pour réaliser des frises chronologiques, animables en 3D sur vidéoprojecteur.
Ulysses : un logiciel à part. C’est un gestionnaire de projet d’écriture et un traitement de texte sémantique. On définit le statut de chaque élément (titre, document, repère du programme) et on configure un gabarit d’export qui générera un pdf automatiquement mis en forme. On ouvre un projet pour une séquence et on crée des onglets qui peuvent correspondre aux leçon par exemples. C’est une méthode de travail radicalement différente, qui demande un jour de prise en main pour être vraiment opérationnel, mais dont on ne peut plus sa passer par la suite.

Voilà quelques trucs qui m’ont changé la vie.
Bises à tous et bon travail.
 
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Réactions: Cratès
Bonjour à tous,

j'ai une petite question à vous poser. Ma femme utilise actuellement un site internet "fait maison", sur lequel elle peut :
- créer des exercices (questions-réponses, textes à trous, choix multiples)
- donner ces exercices en devoir à ses élèves, avec contrôle des résultats, et impression d'une feuille pour les parents si les minimas ne sont pas remplis

Il arrive qu'en plus d'exercices créés par elle, elle entre sur son site des exercices qui proviennent :
- de livres scolaires
- d'autres sites (français facile, le français en ligne par exemple)

Je précise qu'elle mentionne toujours la source des exercices sur le site et qu'ils ne sont utilisables que par ses élèves, c'est-à-dire ceux de sa classes, s'ils sont connectés au site. Les exercices sont invisibles pour un visiteur.

Selon vous, est-ce que cette utilisation d'exercices enfreint les droits d'auteurs ? Merci d'avance pour vos réponses/conseils.
 
Selon vous, est-ce que cette utilisation d'exercices enfreint les droits d'auteurs ? Merci d'avance pour vos réponses/conseils.

D'une façon générale, oui, mais en pratique ça dépend car il est possible que certains sites appliquent des dispositions similaires aux licence GNU dans le domaine du logiciel. Cela dit, le fait que la diffusion d'œuvres de l'esprit soit limitée à certains bénéficiaires (ses élèves, dans le cas que tu évoques) n'en constitue pas moins une violation des droits d'auteur le cas échéant.
 
Quid des extraits de textes ?