Ton confinement 2.0 se passe-t-il bien ?

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Regardons les points positifs de ce confinement, plutôt que vous braquer sur ses aspects négatifs. Et ça ira mieux. Profitez de l'instant T !
Plus présent pour vos proches, plus de temps pour entretenir votre habitation et le summum : vous pouvez boire, faire des descente plus rapide qu'à vélo.
Vous n'avez plus à rentrez chez oui, puisque vous y êtes !

Pour ma part mes parents, enfin, s'occupe de moi même si vu leur âge, c'est moi qui entretien leur mémoire ;)
 
Pour les courses , pas de limite de temps ;)
C'est logique :
  • pour la course (à pied), c'est une heure
  • pour les courses comme il y en a plusieurs, c'est plusieurs heures et comme le nombre n'est pas précisé…

Et sinon, si certains manquent d'espace et hésitent à lire "Au bord de l'eau" (qui effectivement pourrait s'appeler aussi "Au vin qui déborde", vous pouvez lie "Nuages" de Juan José Saer (éditions Le Tripode). Ça se passe en Argentine, pays d'origine de Saer, en 1804 à part l'introduction. Le narrateur relate son séjour en Argentine comme médecin dans un "asile" plus humain qu'à l'habitude en cette période et surtout son voyage pour convoyer 5 malades de Santa Fe à Buenos Aires le long du Parana, ou plus exactement dans la grande plaine argentine à l'ouest du Parana. Outre quelques personnages assez croquignolesques (parmi les malades ou parmi les autres) dont une malade, religieuse nymphomane mais pour la plus grande gloire de Jésus-Christ, il y a surtout comme presque toujours chez Saer le questionnement sur le rapport qu'on a au monde, la réalité du monde et la sienne. Personnellement, ses livres me procurent toujours un grand plaisir même si je ne suis pas sûr que ça convienne à tout le monde : l'écriture est simple, ce n'est pas ça qui peut poser problème mais plutôt, pour certains, le gauchissement de ce qui pourrait être un roman d'aventure vers un questionnement métaphysique, sans grandes phrases ni mots ronflants, c'est juste qu'on sent bien que le sujet est là. L'éditeur a rajouté en post-face une petit texte de Saer expliquant l'origine de son livre mais finissant par une pirouette encore plus parlante que le reste et qui finit par : "Peut-être que ces raisons, qui, mises en ordre et par écrit, paraissent si importantes, sont en réalité secondaires, tandis que les véritables, elles, à l'abri de tout discours, continuent d'être - surtout pour moi - inconnues."
 
C'est logique :
  • pour les courses comme il y en a plusieurs, c'est plusieurs heures et comme le nombre n'est pas précisé…
Dans la limite de 24 heures toutefois, du moins sur l'attestation gérée par l'application sur iPhone.
 
Oui mais déménager en Ardèche n'est pas une corvée .... insurmontable :D

J'ai failli le faire il y a 15 ans (Picardie > Ardèche) et puis cela ne s'est pas fait et s'est conclu il y a 5 ans par un déménagement Picardie > Alsace ...... ah les enfants, impossible de les laisser à 600 kilomètres de soi. :)
 
Oui mais déménager en Ardèche n'est pas une corvée .... insurmontable :D

J'ai failli le faire il y a 15 ans (Picardie > Ardèche) et puis cela ne s'est pas fait et s'est conclu il y a 5 ans par un déménagement Picardie > Alsace ...... ah les enfants, impossible de les laisser à 600 kilomètres de soi. :)
De mémoire je crois que notre amis quitte l'Ardèche :(
 
boninmi est descendu de son nid d'aigle de l'Ardèche (qu'il trouvait trop en pente) à Grenoble (qui est dans un trou sans être un trou) où il se retrouve confiné. Faut-il lui souhaiter de remonter cette pente descendante ? On de mettre le cap plus au sud ?
 
boninmi est descendu de son nid d'aigle de l'Ardèche (qu'il trouvait trop en pente) à Grenoble (qui est dans un trou sans être un trou) où il se retrouve confiné. Faut-il lui souhaiter de remonter cette pente descendante ? On de mettre le cap plus au sud ?
In fine, quand nous ne serons plus con, nous espérons rejoindre une maison de plain pied dans la Drôme, dans un mois.
 
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