Un fantôme dans iMovie !

Patrick L'Eponge

Membre actif
19 Février 2006
230
8
Paris
Chers amis de MacGé,

comme j'aimerais reprendre un montage effectué auparavant sur iMovie 5, j'ai mis les mains dans la poubelle... Je retrouve ainsi un des clips originaux, affichant à la pesée "960Mo" et qui dans l'aperçu de lecture dure 1 min 20.

Quand je le déplace vers les clips de mon projet, il ne dure plus qu'une seconde et trois images!
Comment est-ce possible?

Amicalement,
Patrick
 
iMovie consigne tous les fichiers dans son fichier de projet. Il faut faire ctrl + clik sur le fichier > afficher le contenu du paquet > media... tous les dv sont dedans...
À moins que je n'ai pas ompris "je mets les mains dans la poubelle"... Dans ce cas il aurait fallu être plus explicite :rolleyes:
 
Cher Samalaplaya,
je suis très touché que tu sois allé cherché ma question qui descendait vers le fond du tableau depuis deux jours. C'était vraiment essentiel pour moi, je viens de faire la manoeuvre et en effet je vois les clips en vrai.

Je vais pouvoir décortiquer le montage pour savoir exactement ce que j'ai fait!

Le but est d'aller plus tard trouver un monteur (je ne sais pas encore lequel, la mienne est en vacances en ce moment) pour qu'il réplique sous FCP et avec une machine puissante les 3 min 30 du film sans trop perdre la qualité HD mini DV du tournage (pour un export en Beta ou HD cam). Ce doit déjà être assez ennuyeux à un monteur de refaire le montage demandé, mais en plus si je n'avais pas su lui expliquer...

Ce désir de recommencer le montage est apparu quand j'ai compris que mon sous-titrage par iMovie avait dû altérer l'image et qu'une fois sur grand écran cela serait encore pire. Il y a aussi le rêve que le festival de Venise prenne cette semaine le court (pas mal d'italiens l'avait apprécié au Marché du Film de Cannes), ce qui exigerait un kinescopage en urgence... A défaut, cela me donne la motivation pour tout reprendre et préparer au moins une Beta pour une projection dans une salle parisienne.

Du fond du coeur, merci beaucoup,
Patrick