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C'est un vrai poisson....
 
Marie, 13 ans, plus forte que Fourniret

Tribunal de Charleville-Mezieres, hier. (photo Reuters)
Procès. Hier, la jeune fille a raconté comment sa fuite a permis l’arrestation de l’accusé.

Elle tient à prendre le prénom de la Vierge Marie qui l’a sauvée, croit-elle, de Michel Fourniret. Encore mineure, elle refuse les images de son doux visage à la peau noire mais veut témoigner devant tout le monde, contrairement à son kidnappeur. Marie attend à la barre que l’accusé en ait fini avec ses exigences de procès à huis clos et visse ses yeux dans les siens, tel un défi.

L’air penaud et toujours hirsute, Michel Fourniret se lève alors comme pour parler mais, interrompu par l’avocat général qui dénonce ses multiples «manipulations et chantage depuis quatre ans», se rassied sans un mot. L’accusé écoute, les yeux mi-clos, la gamine qui lui a échappé voilà cinq ans et a provoqué son arrestation.

Supermarché. Née au Congo le 10 mai 1990, réfugiée du Burundi en Belgique pour fuir le génocide, Marie porte ses cheveux crépus attachés en un gros chignon, une saharienne beige, un chapelet autour du poignet, un cœur et une croix entrelacés en pendentif. Elle n’a pas peur de raconter en détail sa mauvaise rencontre avec cet homme en camionnette blanche à Ciney (Belgique) le 26 juin 2003.

«J’avais 13 ans, j’étais en dernière année d’études secondaires, j’allais au supermarché Trafic acheter une carte. Il marchait vers moi et m’a demandé le chemin du Mont de la Salle. Il disait qu’il allait livrer, ce qui est courant. Je lui ai montré mais, avec la végétation, il était impossible de voir. Il disait qu’il ne comprenait pas ce que je racontais, que ce serait plus facile si je l’accompagnais. J’ai refusé : "Je ne peux pas." Il continue à me parler en marchant vers sa voiture, garée plus loin, pour me montrer un papier indiquant qu’il va bien au Mont de la Salle. Il insiste : "Tu peux me montrer, ce serait plus facile. Tu n’as pas à avoir peur de moi, je suis père de famille et professeur de dessin."» Elle résiste : «Je ne peux pas, je n’ai pas le droit de monter.» Il la dispute : «Ce n’est pas correct de ne pas faire confiance aux gens, de quoi as-tu peur?» Elle hésite : «J’avais un dilemme, entre l’aider et me méfier. J’ai reçu une éducation catholique pratiquante et ne pas rendre service va à l’encontre de ce que je crois.»

Marie finit par monter à bord. Il démarre, passe devant le Mont de la Salle, accélère. Elle s’en inquiète. Il rétorque qu’il l’emmène à Dinant pour la punir, «parce que tu ne fais pas confiance aux adultes». Elle implore la Vierge en silence : «J’ai une formule "Marie, passe devant" que je répète, je prie dans mon cœur. Il roule très vite.» Elle lui dit : «Si vous croyiez en Dieu, vous ne feriez pas ce que vous êtes en train de faire.»

«Je priais très fort.» A la barre, Marie triture son chapelet et Michel Fourniret écoute religieusement : «Je me suis mise à prier à haute voix de plus en plus fort. Je regardais les routes qu’on prenait. Voyant ça, il m’a demandé de m’asseoir par terre. J’ai dit "non"». Lui : «Assieds-toi par terre sinon je te frappe.» Elle : «Il m’a menacée de la main, je me suis assise par terre. Je pleurais et priais très fort, je criais presque. Il s’est arrêté dans un parking. Il a sorti un lien en cuir : "Donne-moi tes mains." "Non". "Donne-moi tes mains ou je te frappe." Il est sorti de la voiture, a ouvert d’un coup ma portière, et m’a tirée par le tee-shirt jusqu’à l’arrière de la camionnette. Il m’a attaché les pieds d’abord puis les mains, je me débattais, je criais : "Pourquoi vous faites ça ?" Il m’a répondu : "Tu dois me donner du plaisir. Si tu ne me donnes pas de plaisir, tu ne rentreras pas."»

Il promet de la ramener si elle fait l’amour avec lui mais «avec un sourire pas rassurant». Elle en doute. Elle refuse, hurle. «Il a mis sa main sur ma gorge, a serré et m’a menacée : "Tais-toi ou je te tue."» Il réussit à la ligoter. «Quand je pouvais plus bouger, il a touché ma poitrine sur ma peau et il a dit : "Ça pousse."» Elle lui lance : «Vous faites partie de la bande à Dutroux ?» Le kidnappeur répond : «Je suis pire.» Fourniret reprend la route. «J’ai prié à pleine gorge. J’ai vu dans la camionnette aménagée des cartes de France, des Pays-Bas et de Belgique. J’ai pensé que c’était fini pour moi. J’ai repensé à toutes les choses pas correctes que j’avais faites et à mes parents qui nous ont évité de mourir au Burundi. Au moindre mouvement, j’avais mal. Puis les liens se sont relâchés, j’ai utilisé les pieds pour les enlever et les dents pour ceux des mains. J’ai vu un bouton sur la porte coulissante "Appuyez ici pour ouvrir". Je l’ai ouverte sans fracas. Il roulait trop vite, j’ai attendu. Il s’est arrêté à un carrefour et j’ai sauté. J’ai couru dans tous les sens, affolée. J’ai vu "Ciney 23 km" et une voiture arriver.»

Stéphanie Janton a recueilli la jeune fille puis a cherché la camionnette blanche : «Tu te concentres sur l’homme et moi sur la plaque», a-t-elle dit à Marie. Elle a relevé le numéro d’immatriculation du C25 qui a conduit les policiers à Michel Fourniret. Marie qui «incarne une pureté sobre» aux yeux du «chasseur de vierges» sait ce à quoi elle a échappé, par miracle, grâce à une lettre de 2005 de l’accusé à son fils Sélim : «A la fille de Ciney, je lui aurais arraché les yeux et les membres, vivante, avec une infinie jouissance…»

Source libé.



Putain la gamine quoi... quelle force !
 
Pour 24.000 dollars (15.000 euros), une agence de voyage new-yorkaise propose aux fans de "Sex and the City" de vivre dans la peau des héroïnes de la série télévisée : dépenser des sommes astronomiques en chaussures et sacs de luxe, se faire dorloter dans les plus beaux spas de la ville et déguster des Cosmopolitan dans les bars et boîtes de nuit de la série.


L'Indonésie a demandé à ses fournisseurs d'accès à internet de fermer l'accès au site YouTube, sur lequel peut être vu le film hostile au Coran du député néerlandais d'extrême-droite Geert Wilders.
 
Moi aussi j'ai une petite merveille de film.
Avec en premier rôle un type nommé Max Mosley.
Vous connaissez ? :D
Le lien pour la vidéo est tout en haut de l'article, après la photo du beau gosse. ;)







Prévenez les fans de F1, ils vont adorer le virage du patron cracheur.... :D:D
 
«Mosquito» : le répulsif sonore anti-jeunes
On devient franchement cons en France ! :mad:

il a été rebaptisé en 2006 « Beethoven » par la société de distribution de systèmes de sécurité IBP-France, pour des raisons de marketing.

Quel humour : comme chacun sait, Beethoven était atteint d'absurdité. :eek:

En revanche, la Belgique demeure totalement opposée à ce procédé discriminatoire selon ses élus qui se mobilisent pour que l’Union européenne interdise l’utilisation des «Beethoven».
Comme quoi les belges sont moins crétins que nous.
 
«Mosquito» : le répulsif sonore anti-jeunes
On devient franchement cons en France ! :mad:



Quel humour : comme chacun sait, Beethoven était atteint d'absurdité. :eek:


Comme quoi les belges sont moins crétins que nous.
Eh bien moi qui entend les grésillement des tubes fluorescents, des tubes cathodiques, des transformateurs même de basse tension et l'ensemble des appareils anti-moustiques sonores... vais souffrir alors :casse::affraid::sick:

Au lieu de traiter les gens comme des animaux sauvages... qu'ils traitent par les moyens d'éducation, en amont...
A ce compte là, on peut aussi faire un appareil anti-vieux pour qu'ils arrêtent d'emmerder le monde en se comportant comme des vieux PittBulls hargneux sans compter les odeurs et les auréoles qu'ils laissent sur les sièges dans les transports en communs ?
Et puis on pourrait faire des brouilleurs qui ferait planter l'electronique des avions quand ils volent trop près sur les agglomérations se situant dans le giron des aéroports... des mini tasers qui donnerait un sourire électrique aux caissières qui tirent la gueule, un mini lance roquettes guidage laser qui équiperaient les vélos contre les automobilistes qui se croient au commandes d'un char Abraham's...

nana mais vont pas bien

Alors qu'il suffit en toute circonstances de diffuser bien fort un enregistrement de Céline Dion pour obtenir les mêmes effets :D :D
 
Alors que le Vélib' est annoncé à Londres courant 2010, ce sont plus de 160 000 utilisateurs parisiens qui, en huit mois, ont fait l'expérience de ce nouveau mode de déplacement écologique et pratique. Mais le succès engendre des dérives. Sur les 15 000 vélos mis en circulation depuis le lancement du service en juillet 2007, presque 10 % du parc total auraient d'ores et déjà été remplacés. Sept cents auraient été volés et autant seraient hors d'usage. Un phénomène que la Ville de Paris et la société de gestion privée Somupi, filiale de JCDecaux qui gère Vélib', veulent endiguer en créant un fichier des personnes à risque.
 
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