Kant se souvient certainement de cet essai dans la Critique du jugement (1790) où lon trouve une analyse plus organique et plus profonde du sublime défini comme « ce qui est absolument grand », cest à dire dune grandeur qui ne supporte aucune comparaison. Pour le philosophe, ces choses terribles contemplées en toute sécurité sont sublimes car elles grandissent l'énergie de l'âme. Ces manifestations climatiques confrontent l'homme à la nature et cétéra...
bref . Un écrit que se réapproprieront les romantiques.
mais c'est une autre histoire.
On est légerement Hs là.
Non
Pendant qu'on y est, on pourrait aussi parler du génie