Aidez moi à empêcher un switch sur PC

Vous prenez le problème à l'envers.

- Il faut demander "les raisons du changement".

L'homogénéité n'est pas une raison, mais un état.

- Les raisons d'un passage sous windows seraient, par exemple, l'appartenance a un domaine NT pour l'authentification et la gestion centralisé des comptes.
- L'utilisation de logiciel / matériels dédiés et spécifiques ou le support n'est assuré que sous windows.
- Un support techniques qui n'a aucune connaissance des macs.


Contre ces points, facilement mesurable, aucun chance de faire valoir le droit de concerver un mac. Tout simplement car ce n'est pas une question de cout.

Maintenant, si il n'y a strictement AUCUNE contrainte, et si ce n'est qu'une question de PRIX d'achat, alors il sera assez facile de démontrer par A + B qu'un mac ne va pas couter plus cher qu'un PC dans le cas présent.

Il suffit d'y inclure le prix de la licence CS a renouveller, de la formation de l'utilisateur, et du prix réèl de la machine.

Un Imac 27" gavé de ram, potable a mon avis pour un graphiste, coutera globalement aussi cher qu'un PC a caractéritique équivalente (sauf si la société est prete a acheter les composant rue mongalet et se monter le pc elle même avec tout les soucis qui suivent).
 
Tes réflexions sont tout à fait pertinentes, elamapi. Mais les raisons du changement ont été déjà en grande partie précisées (je pense notamment au post 39) : l'idée qu'un Mac coûte plus cher à l'achat ; la méconnaissance du Mac par le service informatique ; le coût de deux contrats de maintenance ; le désir de "garder le contrôle"...

"(...) la DSI n'ayant pas forcément peur d'un environnement hétérogène, mais d'un environnement qu'elle ne connait pas et le mac reste une bête étrange pour eux, ils se disent donc qu'en me passant sur PC ils "reprendraient le contrôle" en quelque sorte. De plus ils ont deux contrats de maintenance (un pour l'ensemble du parc PC et l'autre pour mon poste seul) et donc voudraient limiter le coûts à ce niveau.".

Si l'on fait donc abstraction du contrat de maintenance, je crois que la vraie difficulté a été largement analysée : elle est psychoculturelle. Quelle est l'aptitude des décideurs dans cette affaire à revenir sur une décision, à reconnaître l'existence d'alternatives à leurs choix initiaux, à tolérer la différence, à dépasser leurs préjugés ?
 
Vous prenez le problème à l'envers.

- Il faut demander "les raisons du changement".

L'homogénéité n'est pas une raison, mais un état.

- Les raisons d'un passage sous windows seraient, par exemple, l'appartenance a un domaine NT pour l'authentification et la gestion centralisé des comptes.
- L'utilisation de logiciel / matériels dédiés et spécifiques ou le support n'est assuré que sous windows.
- Un support techniques qui n'a aucune connaissance des macs.


Contre ces points, facilement mesurable, aucun chance de faire valoir le droit de concerver un mac. Tout simplement car ce n'est pas une question de cout.

Maintenant, si il n'y a strictement AUCUNE contrainte, et si ce n'est qu'une question de PRIX d'achat, alors il sera assez facile de démontrer par A + B qu'un mac ne va pas couter plus cher qu'un PC dans le cas présent.

Il suffit d'y inclure le prix de la licence CS a renouveller, de la formation de l'utilisateur, et du prix réèl de la machine.

Un Imac 27" gavé de ram, potable a mon avis pour un graphiste, coutera globalement aussi cher qu'un PC a caractéritique équivalente (sauf si la société est prete a acheter les composant rue mongalet et se monter le pc elle même avec tout les soucis qui suivent).

Même réponse que Cratès …
 
Ce que j'ajouterai c'est la DSI est "Microsoft certified" et la différence les gène. Cette différence pourrait être contagieuse et ils ne veulent pas entendre : "Oui, lui, il a Mac, moi aussi j'en veux un. Ras le bol de Zindows..."
Et puis si y'a moins de problèmes, comment ils vont justifier leur place ?...