Ces questions que l'on s'est posées un jour

tout ca est est affaire de budget !
imaginons Mary avec un contrat de recherche neurosciences au céhaineheiress qui prend fin
là , avec 1478 pages d'hypotheses et démonstrations, daltonienne ou avec une conjonctivite ou aveugle elle voit rouge
:D
 
tout ca est est affaire de budget !
imaginons Mary avec un contrat de recherche neurosciences au céhaineheiress qui prend fin
là , avec 1478 pages d'hypotheses et démonstrations, daltonienne ou avec une conjonctivite ou aveugle elle voit rouge
:D

Eh ben non, la pauvre Mary,
Elle ne peut même pas (voir rouge)

Imaginons là, cette pauvre Mary
Elle n'a jamais vu de budget
Mais elle a vu tout ce qui se passait dans la tête d'un comptable calculant des budgets
(ce qui, je te l'accorde, frise le film d'épouvante)
Donc, elle sait ce que sont les fréquences des ondes électro-magnétiques qui lient érotiquement les comptables avec leur comptabilité
Mais est-ce pour ça qu'elle pourra éprouver
Ce frisson
De plaisir
Tellement particulier au comptable ?
 
humm
un comptable ne voit jamais le rouge
Parfois il peut voir les comptes dits " en rouge"
( mais c'est toujours imprimé dans la même typo et couleur qu'un solde positif)

Quant aux frissons zé emois des comptables , franchement c'est plus ce que c'était
Ah c'était autre chose du temps, révolu, des plans comptables d'avant la reforme de 1999.
Ah c'était grand, certains étaient en extase devant un compte de tiers , là c'était l'apothéose , l'évaouissement, l'apoplexie parfois

si c'était en plus les comptes d'une boutique de lingerie fine, là c'était le nirvana , le frisson sur -comment dire?- une abstraction érotisée par la seule force du pouvoir des chiffres de vente de bas 20 deniers, alors ceux de 7 deniers....
 
humm
un comptable ne voit jamais le rouge
Parfois il peut voir les comptes dits " en rouge"
( mais c'est toujours imprimé dans la même typo et couleur qu'un solde positif)

Quant aux frissons zé emois des comptables , franchement c'est plus ce que c'était
Ah c'était autre chose du temps, révolu, des plans comptables d'avant la reforme de 1999.
Ah c'était grand, certains étaient en extase devant un compte de tiers , là c'était l'apothéose , l'évaouissement, l'apoplexie parfois

si c'était en plus les comptes d'une boutique de lingerie fine, là c'était le nirvana , le frisson sur -comment dire?- une abstraction érotisée par la seule force du pouvoir des chiffres de vente de bas 20 deniers, alors ceux de 7 deniers....

Bon d'accord,
Il y a des hauts et des bas dans la libido des comptables
Je suis obligé d'en convenir :heu:
 
Bon d'accord,
Il y a des hauts et des bas dans la libido des comptables
Je suis obligé d'en convenir :heu:
Absolument
ce qui donna lieux à de hauts débats
et moultes communications savantes de haute tenue ( affrivolante)
"compte de tiers et surmoi, étude comparée" reste un incontournable
( aux PUF, épuisé)