A défaut de vacances, je me contanterai d'un RTT
pour que ce week-end soit quelque peu prolongé:
Un abbé souhaitait se rendre à Vannes,
Afin de revoir sa ville natale,
Et raviver ses souvenirs d'enfant,
Où il jouait là haut sur le versant.
Mais la chose n'était pas banale,
Sans véhicule: le sien était en panne.
"Mais je ne peux y aller à pied
Et risquer de tout rater,
Quelqu'un a-t'il un véhicule à me prêter?
Car à Vannes il me faut aller."
"L'abbé v'la mon vélo" cria quelqu'un.
"Et moi j'ai une moto" entendit-il au loin.
"J'vous prête une auto" lança le garagiste du coin.
"Hey! y a s'car abbé!" lui montra son voisin.
"Un car? Mais c'est fort bien,
Partons maint'nant. Qui me rejoint?"
"Allons-y, profitons-en", criaient les paroissiens
A l'ecclésiastique qui souhaitait emmener les siens.
Nos compagnons arrivent enfin à destination.
Sur la corniche on se préparait.
Chacun vaquait à son occupation.
Les uns, pailles et bois rassemblaient,
D'autres, affinaient l'organisation.
Quand l'astre du jour disparu, tout était prêt.
Les crépitements du bois lançant le tempo,
Les festivités commencèrent aussitôt.
Au rythme des cornemuses, des violons et même des pipeaux
Pour sur, personne n'en aurait marre tôt.
Partir juste deux ou trois jours, pas plus longtemps.
Faire un petit tour et au soleil couchant,
Des flammes, tous autour, entonner les chants
Et se souvenir toujours du feu de la Saint Jean
Après deux jours et trois nuits de folie assouvit
Chacun, fatigué mais ravis, est reparti chez lui.
Mais t'as fort à croire sans aucun problème
Qu'on pourra les y revoir dès l'année prochaine.
Heu voila!
Je crois que j'ai omis une règle mais je ne me souvient plus laquelle.
pour que ce week-end soit quelque peu prolongé:
Un abbé souhaitait se rendre à Vannes,
Afin de revoir sa ville natale,
Et raviver ses souvenirs d'enfant,
Où il jouait là haut sur le versant.
Mais la chose n'était pas banale,
Sans véhicule: le sien était en panne.
"Mais je ne peux y aller à pied
Et risquer de tout rater,
Quelqu'un a-t'il un véhicule à me prêter?
Car à Vannes il me faut aller."
"L'abbé v'la mon vélo" cria quelqu'un.
"Et moi j'ai une moto" entendit-il au loin.
"J'vous prête une auto" lança le garagiste du coin.
"Hey! y a s'car abbé!" lui montra son voisin.
"Un car? Mais c'est fort bien,
Partons maint'nant. Qui me rejoint?"
"Allons-y, profitons-en", criaient les paroissiens
A l'ecclésiastique qui souhaitait emmener les siens.
Nos compagnons arrivent enfin à destination.
Sur la corniche on se préparait.
Chacun vaquait à son occupation.
Les uns, pailles et bois rassemblaient,
D'autres, affinaient l'organisation.
Quand l'astre du jour disparu, tout était prêt.
Les crépitements du bois lançant le tempo,
Les festivités commencèrent aussitôt.
Au rythme des cornemuses, des violons et même des pipeaux
Pour sur, personne n'en aurait marre tôt.
Partir juste deux ou trois jours, pas plus longtemps.
Faire un petit tour et au soleil couchant,
Des flammes, tous autour, entonner les chants
Et se souvenir toujours du feu de la Saint Jean
Après deux jours et trois nuits de folie assouvit
Chacun, fatigué mais ravis, est reparti chez lui.
Mais t'as fort à croire sans aucun problème
Qu'on pourra les y revoir dès l'année prochaine.
Heu voila!
Je crois que j'ai omis une règle mais je ne me souvient plus laquelle.