et avec la tête ?
- Créateur du sujet aricosec
- Date de début
- Statut
Avant, yavait des gens merveilleux
Des gens qui chassaient les sorcières,
et, les Mamie Wata aussi.
Les moustiques ne leur échappaient pas.
Les temps y sont ainsi passés,
Et iI a fallu sadapter,
Les moustiquaires furent inventées,
cest ainsi que le temps passait.
Ce nétait pas mirobolant,
Mais mon Dieu que ce fut troublant,
Vous fûtes, Monsieur, un malotru
Qui me mit votre main au ©
Chassant tel un mousquetaire,
Ce quil restait de dignité
Vous me dites « ah mon cher amour,
Jamais je ne vous oublierai »
Je sais Monsieur, jai un peu faim
Quauriez-vous à me proposer ?
Jai du jambon, et du fromage,
Et un restant de mortadelle.
Tout ça pour dire que de nos jours
Quand ya plus délectricité ;
Lesprit divague, enfin sévade
On en ferait sa tasse de thé.
Des gens qui chassaient les sorcières,
et, les Mamie Wata aussi.
Les moustiques ne leur échappaient pas.
Les temps y sont ainsi passés,
Et iI a fallu sadapter,
Les moustiquaires furent inventées,
cest ainsi que le temps passait.
Ce nétait pas mirobolant,
Mais mon Dieu que ce fut troublant,
Vous fûtes, Monsieur, un malotru
Qui me mit votre main au ©
Chassant tel un mousquetaire,
Ce quil restait de dignité
Vous me dites « ah mon cher amour,
Jamais je ne vous oublierai »
Je sais Monsieur, jai un peu faim
Quauriez-vous à me proposer ?
Jai du jambon, et du fromage,
Et un restant de mortadelle.
Tout ça pour dire que de nos jours
Quand ya plus délectricité ;
Lesprit divague, enfin sévade
On en ferait sa tasse de thé.
bebert a dit:Je constate que l'on me cite souvent dans ce thread !
Pour éviter ça, cite-toi toi-même
Luc G a dit:
"Moi je suis pas du tout
tout juste quelques gouttes de sang le long du bras du mousquetaires.
Ce malotru avait déjà soudoyé l'infirmière.
Elle lui apporta une moustiquaire, pour que moi petit moustique, je ne vienne plus le piquer.
Alors....je quittai la chambre et me dirigeai vers la sonette qui nous cassait les oreilles.
Ginette,se précipitait dans le couloir en criant : "elles est morte Adèle".
J'arrive même pas à pondre un truc correct.
comment voulez-vous que je vous écrive un truc mirobolant ?
Je ne suis pas à la hauteur pendant une panne de courant, je ne vois rien, ni ma plume, ni mon clavier".
Un «truc» reçu par mail :
Enfin, des trucs très recherches dans la littérature :
Lettre de George Sand à Alfred de Musset.
Cher ami,
Je suis tout émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre jour que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir ainsi
vous dévoiler, sans artifice, mon âme
toute nue, daignez me faire visite,
nous causerons et en amis franchement
je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde, comme la plus étroite
amitié, en un mot : la meilleure épouse
dont vous puissiez rêver. Puisque votre
âme est libre, pensez que l'abandon ou je
vis est bien long, bien dur et souvent bien
insupportable. Mon chagrin est trop
gros. Accourrez bien vite et venez me le
faire oublier. A vous je veux me sou-
mettre entièrement.
Votre poupée
Musset s'empressa de répondre :
Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un cur
Que pour vous adorer forma le Créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots :
Vous saurez quel remède apporter à mes maux
Romantique n'est-ce pas ? Maintenant relisez la lettre de Georges Sand une ligne sur 2... et les premiers mots de chaque ligne de celle de Musset.
Tout ceci est authentique, comme quoi ils se marraient bien au XIXe siècle !
Enfin, des trucs très recherches dans la littérature :
Lettre de George Sand à Alfred de Musset.
Cher ami,
Je suis tout émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre jour que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir ainsi
vous dévoiler, sans artifice, mon âme
toute nue, daignez me faire visite,
nous causerons et en amis franchement
je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde, comme la plus étroite
amitié, en un mot : la meilleure épouse
dont vous puissiez rêver. Puisque votre
âme est libre, pensez que l'abandon ou je
vis est bien long, bien dur et souvent bien
insupportable. Mon chagrin est trop
gros. Accourrez bien vite et venez me le
faire oublier. A vous je veux me sou-
mettre entièrement.
Votre poupée
Musset s'empressa de répondre :
Quand je mets à vos pieds un éternel hommage,
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un cur
Que pour vous adorer forma le Créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots :
Vous saurez quel remède apporter à mes maux
Romantique n'est-ce pas ? Maintenant relisez la lettre de Georges Sand une ligne sur 2... et les premiers mots de chaque ligne de celle de Musset.
Tout ceci est authentique, comme quoi ils se marraient bien au XIXe siècle !
Excellent, Legritch (bien que ce ne soit pas le sujet dans ce fil
), je connaissais les frasques des auteurs, mais je n'ai jamais lu leur correspondance
Dans un tout autre genre, il me semble bien qu'il y a de quoi dans la correspondance de Flaubert, mais il ne faisait pas trop dans le marivaudage, lui, c'était plus "direct", il me semble
Dans un tout autre genre, il me semble bien qu'il y a de quoi dans la correspondance de Flaubert, mais il ne faisait pas trop dans le marivaudage, lui, c'était plus "direct", il me semble
Le thème : Panne d'électricité
Les mots : malotru, mousquetaire, mirobolant, moustiquaire, mortadelle
Disons, pour samedi soir
--------------------------
Les aventures de Claude, François et Mike.
Aujourd'hui : Panique au sex-shop !
Préambule : trois compères, stars des médias. Claude : animateur radio, François : présentateur télé et Mike : journaliste dans la presse écrite surnommés les trois mousquetaires par le public se retrouvent régulièrement pour raconter leurs histoire de cul.
Mercredi 8 octobre 2003 au matin, dans une rue "chaude" de la capitale.
Claude passait devant un sex-shop en chuchotant : "ouais super ! Rien de tel qu'un petit strip-tease pour se mettre de bonne humeur pour la journée !"
Le vendeur criait : "Venez ! Entrez voir nos films, nos danseurs ! (Bla bla bla, etc.)"
"Glups, oui bon ça va, je suis pas sourd !" répondit Claude.
"Qu'est-ce qui vous plairait ? Salle ou cabine ?
-Euh, hem , cabine.
-Qui choisissez vous ? Aujourd'hui nous avons Brigitt Grossmich, Roberta Bonnbez, Jessifer Chaudduc, Marco Mortadelle et Jean Latrique.
-Ben, euh, Brigitt Grochmiss ?
-C'est 5 euros le jeton de 2 minutes.
-OK, euh, 20 minutes, ça fait combien ?
-50 euros.
-D'ac., euh d'accord, voilà.
-Cabine n°13. Au fond à gauche, puis deux fois à droite !"
Claude se dirigea rapidement vers sa cabine. Il inséra fébrilement son jeton dans la fente, ce qui provoqua l'ouverture immédiate du rideau Au milieu de la pièce, sous une moustiquaire commençait à se trémousser une jeune femme bien en chair.
À cet instant précis Claude entendit des voix qui ne lui étaient pas inconnues. C'était François et Mike qui étaient entrés dans des cabines proches de la sienne.
"Ouais super Mike ! On va s'éclater à matter ces super gonzesses !"
-Tu m'étonnes François, c'est hyper jouissif de les voir gigoter !"
Claude stupéfait, marmonna "Quelle bande de vicieux ! Les rois de la drague qu'ils se disent ! Pfff ! Faut pas qu'il me voient ici ! J'aurais l'air de quoi ? Moi, meilleur séducteur 2003, élu par des auditeurs !"
Soudain, une panne de courant plongea dans l'obscurité, la totalité du sex-shop.
"Eh mais qu'est-ce que c'est que ce bordel !" cria François. "Je viens à peine de mettre un jeton et je vois déjà plus rien !"
"Pareil pour moi" rétorqua Mike. "Ça pue l'arnaque ce truc !".
Profitant de cette aubaine, Claude tenta de sortir de ce lieu compromettant. Il avança prudemment vers la sortie, évitant d'approcher l'endroit d'où provenaient les gémissements de ses potes. "Vite, vite, il faut que je me tire d'ici avant que le courant ne revienne !" Pensa-t-il. Il passa une porte espérant que ce fut une sortie de secours. Mais la pièce où il venait d'entrer était également plongée dans le noir. Fort heureusement, il y avait au fond un panneau lumineux "Sortie de secours" l'incitant a avancer plus vite. Malheureusement il se prit les pieds dans quelque chose de mou qui le fit trébucher.
"Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Espèce de malotru ! Enlevez vos sales pattes de là !! Au secouuuuuurs !"
Le pauvre Claude fut pris au piège de la douillette Brigitt ! La lutte fut brève, à peine quelques secondes et il se trouva complètement coincé entre les miches et la moustiquaire, ne pouvant plus bouger. C'est à ce moment précis que l'électricité revint. Les lumières éclairèrent à nouveau toute la pièce.
"Eh mais, c'est Claude !!!" s'exclama François, sortant de son étui sa petite caméra.
"Mouahahahahahaha !!! C'est le scoop du siècle !" Cria Mike, se saisissant de son gros stylo.
Ils ne pouvaient pas laisser filer un sujet aussi mirobolant !
Les mots : malotru, mousquetaire, mirobolant, moustiquaire, mortadelle
Disons, pour samedi soir
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Les aventures de Claude, François et Mike.
Aujourd'hui : Panique au sex-shop !
Préambule : trois compères, stars des médias. Claude : animateur radio, François : présentateur télé et Mike : journaliste dans la presse écrite surnommés les trois mousquetaires par le public se retrouvent régulièrement pour raconter leurs histoire de cul.
Mercredi 8 octobre 2003 au matin, dans une rue "chaude" de la capitale.
Claude passait devant un sex-shop en chuchotant : "ouais super ! Rien de tel qu'un petit strip-tease pour se mettre de bonne humeur pour la journée !"
Le vendeur criait : "Venez ! Entrez voir nos films, nos danseurs ! (Bla bla bla, etc.)"
"Glups, oui bon ça va, je suis pas sourd !" répondit Claude.
"Qu'est-ce qui vous plairait ? Salle ou cabine ?
-Euh, hem , cabine.
-Qui choisissez vous ? Aujourd'hui nous avons Brigitt Grossmich, Roberta Bonnbez, Jessifer Chaudduc, Marco Mortadelle et Jean Latrique.
-Ben, euh, Brigitt Grochmiss ?
-C'est 5 euros le jeton de 2 minutes.
-OK, euh, 20 minutes, ça fait combien ?
-50 euros.
-D'ac., euh d'accord, voilà.
-Cabine n°13. Au fond à gauche, puis deux fois à droite !"
Claude se dirigea rapidement vers sa cabine. Il inséra fébrilement son jeton dans la fente, ce qui provoqua l'ouverture immédiate du rideau Au milieu de la pièce, sous une moustiquaire commençait à se trémousser une jeune femme bien en chair.
À cet instant précis Claude entendit des voix qui ne lui étaient pas inconnues. C'était François et Mike qui étaient entrés dans des cabines proches de la sienne.
"Ouais super Mike ! On va s'éclater à matter ces super gonzesses !"
-Tu m'étonnes François, c'est hyper jouissif de les voir gigoter !"
Claude stupéfait, marmonna "Quelle bande de vicieux ! Les rois de la drague qu'ils se disent ! Pfff ! Faut pas qu'il me voient ici ! J'aurais l'air de quoi ? Moi, meilleur séducteur 2003, élu par des auditeurs !"
Soudain, une panne de courant plongea dans l'obscurité, la totalité du sex-shop.
"Eh mais qu'est-ce que c'est que ce bordel !" cria François. "Je viens à peine de mettre un jeton et je vois déjà plus rien !"
"Pareil pour moi" rétorqua Mike. "Ça pue l'arnaque ce truc !".
Profitant de cette aubaine, Claude tenta de sortir de ce lieu compromettant. Il avança prudemment vers la sortie, évitant d'approcher l'endroit d'où provenaient les gémissements de ses potes. "Vite, vite, il faut que je me tire d'ici avant que le courant ne revienne !" Pensa-t-il. Il passa une porte espérant que ce fut une sortie de secours. Mais la pièce où il venait d'entrer était également plongée dans le noir. Fort heureusement, il y avait au fond un panneau lumineux "Sortie de secours" l'incitant a avancer plus vite. Malheureusement il se prit les pieds dans quelque chose de mou qui le fit trébucher.
"Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Espèce de malotru ! Enlevez vos sales pattes de là !! Au secouuuuuurs !"
Le pauvre Claude fut pris au piège de la douillette Brigitt ! La lutte fut brève, à peine quelques secondes et il se trouva complètement coincé entre les miches et la moustiquaire, ne pouvant plus bouger. C'est à ce moment précis que l'électricité revint. Les lumières éclairèrent à nouveau toute la pièce.
"Eh mais, c'est Claude !!!" s'exclama François, sortant de son étui sa petite caméra.
"Mouahahahahahaha !!! C'est le scoop du siècle !" Cria Mike, se saisissant de son gros stylo.
Ils ne pouvaient pas laisser filer un sujet aussi mirobolant !
ça fait plaisir de te revoir par ici, Bebert
En plus, il n'a même pas demandé de délai
À propos, une tite question, juste en passant : c'est autobiographique ?
En plus, il n'a même pas demandé de délai
À propos, une tite question, juste en passant : c'est autobiographique ?
theme : panne d'electricité
__les mots obligatoires
_malotru,mousquetaire,mirobolant,moustiquaire,mortadelle
-----------------
Ô lumiere de ma vie,qui savait tant m'aimer
pourquoi donc aujourdhui,ne veut tu plus pécher
pourquoi me traite tu,de viellard MALOTRU
quand d'un geste distrait,je caresse ton cul
.
cet acte amoureux,au temps des MOUSQUETAIRES
etait même charmant,les femmes en étaient fieres
meme un vieux spadassin,avait droit au cuissage
et d'un seul coup de rein,partait a l'abordage
.
dans l'alcove d'ebats,derriere la MOUSTIQUAIRE
leurs mains de fiers gaulois,etaient a leur affaire
ne s'embarassaient pas de vains preliminaires
ils étaient au combat,et c'était une guerre
.
les femmes n'attendaient pas,d'exploits MIROBOLANTS
elles étaient en emoi,et n'avait pas le temps
et plutot que d'attendre,l'exploit imaginaire
un petit coup bien fait,elles partaient pour cythere
.
hélas maintenant,toi qui n'a plus vingt ans
tu crois encore au fées,et au prince charmant
mais quand les soirs de panne,aux lueurs de chandelles
ton corps me parait ,comme une MORTADELLE
.
comment veut tu vraiment ,attirer le desir
et voir d'un seul coup ,s'eriger mon desir
non vois tu ne pense plus, a te prendre un amant
tu as aussi subit,les outrages du temps
.
je tiens a souligner que ce n'est pas autobiographique
mais simplement inspiré de la chanson d'AZNAVOUR
__les mots obligatoires
_malotru,mousquetaire,mirobolant,moustiquaire,mortadelle
-----------------
Ô lumiere de ma vie,qui savait tant m'aimer
pourquoi donc aujourdhui,ne veut tu plus pécher
pourquoi me traite tu,de viellard MALOTRU
quand d'un geste distrait,je caresse ton cul
.
cet acte amoureux,au temps des MOUSQUETAIRES
etait même charmant,les femmes en étaient fieres
meme un vieux spadassin,avait droit au cuissage
et d'un seul coup de rein,partait a l'abordage
.
dans l'alcove d'ebats,derriere la MOUSTIQUAIRE
leurs mains de fiers gaulois,etaient a leur affaire
ne s'embarassaient pas de vains preliminaires
ils étaient au combat,et c'était une guerre
.
les femmes n'attendaient pas,d'exploits MIROBOLANTS
elles étaient en emoi,et n'avait pas le temps
et plutot que d'attendre,l'exploit imaginaire
un petit coup bien fait,elles partaient pour cythere
.
hélas maintenant,toi qui n'a plus vingt ans
tu crois encore au fées,et au prince charmant
mais quand les soirs de panne,aux lueurs de chandelles
ton corps me parait ,comme une MORTADELLE
.
comment veut tu vraiment ,attirer le desir
et voir d'un seul coup ,s'eriger mon desir
non vois tu ne pense plus, a te prendre un amant
tu as aussi subit,les outrages du temps
.
je tiens a souligner que ce n'est pas autobiographique
mais simplement inspiré de la chanson d'AZNAVOUR
Grâce à Bebert, je me cultive
Moi, qui pour les séries télé, en étais resté quasiment à Thierry la Fronde.
Quant au Arico, je veux bien croire que ça soit basé sur Aznavour, mais ça m'a quand même l'air très personnalisé : on se demande comment il a pu "inventer" tout ça
Moi, qui pour les séries télé, en étais resté quasiment à Thierry la Fronde.
Quant au Arico, je veux bien croire que ça soit basé sur Aznavour, mais ça m'a quand même l'air très personnalisé : on se demande comment il a pu "inventer" tout ça
.bebert a dit:Mais bien sûr !
PS : je dois préciser que mon texte n'est pas autobiographique mais simplement inspiré d'une série télé (Sex in the city) et d'une parodie radiophonique de celle-ci (Sex in the kiki).
c'est toi qui a commencé dans les basses pensées,ce fut tres dur pour moi de chercher egaler ton texte,pour a defaut d'erection,monter sur le podium
.
non lucg,c'est pas vrai
aricosec a dit:.
c'est toi qui a commencé dans les basses pensées,ce fut tres dur pour moi de chercher egaler ton texte,pour a defaut d'erection,monter sur le podium
.
non lucg,c'est pas vrai
Le problème, c'est de savoir qu'est-ce qui n'est pas vrai
aricosec a dit:"en tout cas BEBERT ,pour les délais ça n'a pas marché"
.
On va pas en faire un fromage !
- Statut
