[Covid-19] Le Coronavirus ?

Si c'est une infirmière polonaise, c'est une gâterie qu'il faut demander et pas un bonbon, enfin.

Il me semble qu'il était fait référence à un type spécifique de "bonbons" qui chez certains hommes peuvent justement faciliter la gâterie en question (entre autres). :)


Je passe sur les stéréotypes épouvantablement sexistes de ton post !... :rage:

;)
 
J'ai toujours aimé le cross-thread, c'est plus marrant. Sinon, je n'avais pas un truc marrant sous la main pour rebondir sur The Big, The Viagra et la Fake news; mais l'infirmière en uniforme et les bonbons oui.
 
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J'ai toujours aimé le cross-thread, c'est plus marrant. Sinon, je n'avais pas un truc marrant sous la main pour rebondir sur TheBig, The Viagra et la Fake news; mais l'infirmière en uniforme et les bonbons oui.

Quand je serai éligible à la vaccination anti-COVID-19, je ne serai pas contre une infirmière polonaise pour m'administrer ma dose... :hungry:
 
Jamais trop compris ce fantasme de l’infirmière. Pour moi c’est une tordue au charmant sourire qui me poursuit avec une seringue grosse comme un clystère. Ça ne m’a jamais donné d’autre envie que de m’enfuir très loin de la demoiselle.
Il faut lire le message de l'épisode vaccinal de Lio :coucou: ; sinon pour d'autres c'est les clowns ou les poupées; il faudrait revoir votre filmographie, certainement un traumatisme qui remonte à l'enfance.
 
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certainement un traumatisme qui remonte à l'enfance

Ne pas baver devant une infirmière comme un animal en rut ne me semble pas le signe d’un traumatisme. Simplement, je déteste les piqûres. C’est encore pire avec les prises de sang. Bref, une femme qui a profession de les administrer ça ne parle pas vraiment à ma libido.

J’ai grandi avec le cinéma gore, les Jason, Freddy et autres morts vivants. Plus ça pissait le sang et plus je me marrais. Par contre, je ferme toujours les yeux dès qu’apparaît une aiguille à l’écran et qu’elle va piquer quelqu’un (je sais bien que c’est du cinéma).

Ce n’est même pas en rapport avec la douleur. Je me suis déjà blessé, coupé, enfoncé une aiguille a coudre dans un doigt en mode Fakir. Ça ne me fait rien. La vue de mon sang m’est plutôt plaisante ; un beau rouge. Curieusement, je n’ai aucun problème à me faire recoudre (ça m’est arrivé quelque fois). Par contre, la piqûre de l’anesthésie est toujours un mauvais moment.
 
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Ne pas baver devant une infirmière comme un animal en rut ne me semble pas le signe d’un traumatisme. Simplement, je déteste les piqûres. C’est encore pire avec les prises de sang. Bref, une femme qui a profession de les administrer ça ne parle pas vraiment à ma libido.

J’ai grandi avec le cinéma gore, les Jason, Freddy et autres morts vivants. Plus ça pissait le sang et plus je me marrais. Par contre, je ferme toujours les yeux dès qu’apparaît une aiguille à l’écran et qu’elle va piquer quelqu’un (je sais bien que c’est du cinéma).

Ce n’est même pas en rapport avec la douleur. Je me suis déjà blessé, coupé, enfoncé une aiguille a coudre dans un doigt en mode Fakir. Ça ne me fait rien. La vue de mon sang m’est plutôt plaisante ; un beau rouge. Curieusement, je n’ai aucun problème à me faire recoudre (ça m’est arrivé quelque fois). Par contre, la piqûre de l’anesthésie est toujours un mauvais moment.

J'ai été recousu sans anesthésie une fois, et je n'ai vraiment pas aimé.
Par contre, je n'ai jamais eu le moindre problème avec les piqûres.

Sinon, dans un monde évidement fantasmé, l'ambiance "doctoresses et infirmières" me renvoie plutôt à l'humour troupier des "sexy comedies".
Ces films généralement tournés en Italie dans les années 70, et dont l'une des stars fut l'actrice française Edwige Fenech.
Certes, à l'exception des sous-vêtements des demoiselles, ces films ne faisaient pas dans la dentelle.
Mais ces productions gentiments lourdingues possédaient un charme à la fois naïf et politiquement incorrect qui peut sembler rafraîchissant aujourd'hui.
La Toubib du Régiment (1976), par exemple, ne méritait certes pas d'Oscar, mais permettait tout au moins de considérer avec le sourire l'armée, le monde médical, le sexe, etc... :)
De même pour La Toubib Prend du Galon (1978), etc...


Une affiche de "La Toubib du Régiment" :


xht1.jpg



En ces temps difficiles de COVID-19, chacun trouve comme il peut ses espaces de régression ou de dérision, ses échappatoires... :)
 
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Ne pas baver devant une infirmière comme un animal en rut ne me semble pas le signe d’un traumatisme. Simplement, je déteste les piqûres. C’est encore pire avec les prises de sang. Bref, une femme qui a profession de les administrer ça ne parle pas vraiment à ma libido.

J’ai grandi avec le cinéma gore, les Jason, Freddy et autres morts vivants. Plus ça pissait le sang et plus je me marrais. Par contre, je ferme toujours les yeux dès qu’apparaît une aiguille à l’écran et qu’elle va piquer quelqu’un (je sais bien que c’est du cinéma).

Ce n’est même pas en rapport avec la douleur. Je me suis déjà blessé, coupé, enfoncé une aiguille a coudre dans un doigt en mode Fakir. Ça ne me fait rien. La vue de mon sang m’est plutôt plaisante ; un beau rouge. Curieusement, je n’ai aucun problème à me faire recoudre (ça m’est arrivé quelque fois). Par contre, la piqûre de l’anesthésie est toujours un mauvais moment.
C'était de l'humour, pas un interrogatoire. Mais nous avons cependant compris: la piqûre c'est non; tout sauf la piqûre. La piqûre je dis non. Sinon les clowns quelqu'un?
 
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Jamais trop compris ce fantasme de l’infirmière.
Quand j'avais 14 ans, je me fais une crise d'appendicite, direction l'hosto. :wtf:
Une jolie infirmière arrive dans la chambre avec du savon et un rasoir et me dit : "le chirurgien n'aime pas les poils". :cat:
Moi glups, comment ÇA va-t-il réagir ? :muted: :shy: :sorry:
Mais quelques minutes auparavant on m'avait fait prendre un petit comprimé... :wacky:
Tout s'est bien passé, ça devait être un calmant ! :zen:

PS: l'histoire avec "c'est bon vous pouvez lacher, ça tient tout seul" est une légende !
 
Quand j'avais 14 ans, je me fais une crise d'appendicite, direction l'hosto. :wtf:
Une jolie infirmière arrive dans la chambre avec du savon et un rasoir et me dit : "le chirurgien n'aime pas les poils". :cat:
Moi glups, comment ÇA va-t-il réagir ? :muted: :shy: :sorry:
Mais quelques minutes auparavant on m'avait fait prendre un petit comprimé... :wacky:
Tout s'est bien passé, ça devait être un calmant ! :zen:

PS: l'histoire avec "c'est bon vous pouvez lacher, ça tient tout seul" est une légende !
:woot: ... Après l'opération d'une hernie inguinale, et consécutivement à un problème d'anesthésie locale, j'ai eu un blocage urinaire et j'ai du me faire "sonder" ... argh ! o_O

Quand l'infirmière m'a annoncé qu'elle allait chercher le matos pour me sonder, le stress et la crainte ont fait que, tel un petit escargot effarouché et tremblant rentrant dans sa coquille, "il" avait pratiquement disparu ! :woot: ... Et j'entends encore la voix de l'infirmière me dire : "Mais monsieur, détendez-vous ... ça va aller !" ... J'avoue que je n'ai pas aimé le petit sourire narquois qu'elle affichait le lendemain matin quand elle est passée me voir ! :bigtears:

Le pauvre ... "il" a du être traumatisé ! :hilarious:
 
Le plus drôle de l'étude (si l'on peut dire), c'est qu'elle en conclue que le risque est quasi identique qu'on soit vacciné au Pfizer (4 cas par million) ou à l'AZ (5 cas par million). Mais ça on ne l'a lu ni entendu nulle part dans les médias mainstream !

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Astrazeneca est une entreprise british, l'étude aussi
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