En attendant de se revoir sur le portfolio

Heureusement parce que 50, là, ça n'aurait pas été possible...
 
Ce qui est incroyable avec les yeux c'est les détails !

hospitalisé, je me souviens avoir eu un examen fond d'oeil chaque matin. Cela durait de longues minutes. Mais je me souviens que ce que je voyais de mon œil était absolument magnifique
 
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Réactions: Human-Fly
melon.jpg

Des poules se seraient régalées d'un melon gâté.
Là, des lombrics aux musaraignes ce sera noël avant l'heure et pour moi nada…


:bored:
 
Dernière édition:
Ou comment faire de l'alcool de melon... :vomit:
:dead:
 
Deux photos ratées, (flash qui ne se déclenche pas), une photo réussie et vendue en tant que telle, un peu de mélange et voilà le résultat... :snaphappy: :artist: :wacky: :cool:

 
ma petite fille, 14 ans, artiste en herbe
Si j'étais son prof d'arts pla… Je lui causerai de paréidolies. Je l'inviterai à reproduire cette mise en scène d'objet sur objet – encore et encore jusqu'à épuisement du sujet. J'ajouterai au sujet d'exercices de la documentation sur Lavier [ses séries d'objets sur objets], Titus-Carmel [son travail d'épuisement du modèle] et Arcimboldo [ses peintures paréidoliques].

Et en repartant de son cliché, voici monsieur content

IMG_0552+.jpg

et monsieur pas content

IMG_0551+.jpg



(au boulot la pitchoune !)
;)
 
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Réactions: SirDeck
Je me rappelle avoir lu le récit d'un ancien typographe qui riait de ses bêtises d'apprenti quand son chef hurlait dans l'atelier à l'attention des rouleurs d'encre « ça bouche dans le 14 ! » Exclamation qui m'est restée. Et chaque fois qu'une contreforme disparait sous l'encre, je la ressors. Ça bouche dans le 14 ! :D ;) :p
 
Je ne sais pas ce que ça donnait sur place en vrai, mais en photo je préfère cette version à la version finie
Moi aussi j'aimais bien comme ça, ce n'est que vendredi que j'ai découvert la version finie...
D'un autre côté, le brut se conserverait moins bien, je me suis renseigné.
 
Médor est un chasseur ! Tout petit déjà, il faisait des sauts de cabri dans les prés pour déloger les musaraignes. Une fois la bête flairée, il creusait et creusait encore. Repartant souvent bredouille, la truffe pleine de terre, tout content d'avoir éventré la verdure, Médor s'entraînait. Et ses proies grossissaient à mesure qu'il grandissait.

Je vous fais l'historique du bestiau car le mois dernier, trois dimanche d'affilés, le long du fleuve il a fait mouche ! Pendant que les pêcheurs lançaient leurs lignes depuis les berges, lui flairait la piste des herbivores. Au menu de ses sorties, on avait rat musqué ou lièvre.

ratmusque.jpg

:cool: