et avec la tête ? v2

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Ce sujet est fermé.
:up: :up: :up:
Joli thème bebert ! ;) :zen: :cool:
 
Voici le nouveau thème :une bouteille à la mer
Les cinq mots :impossible,pâtisson,erreur,oublier,montagne
.
au pied du mur de son mépris
sans relache j'ai mis une echelle
et chaque jour comme un defi
,en voulant conquérir ma belle
je suis parti a sa conquete
faisant mille choses IMPOSSIBLES
le chevalier faisant sa quête
avec l'amour comme seule bible
je n'aurai pas droit a l'ERREUR
,car pour conquérir pucelle
pour etre son amant de coeur
il faut ausi lui dire qu'elle
est un ange du firmament
et qu'elle enflamme tout tes sens
qu'une MONTAGNE assuremment
ne peut arreter ton elan
ils me traitent de PATISSON
tout mes amis pauvres ignorants
et s'ils n'osent pas dirent con!
c'est qu'ils sont jaloux en même temps
non je ne pourrais pas t'OUBLIER
même si parfois je m'eloigne
je serais ton aricobref
tu seras ma berthe aux grand pieds

.
"et pepin le sec sauva sa berthounette"
:zen:
 
repêchons là
bouteil-mer.gif
 
une bouteille à la mère

Je me souviens, étant petit enfant, devoir aller quotidiennement quérir chez l'épicier une bouteille de rhum pour contenter le foie absorbant de ma mère. Impossible d'y échapper, la moindre erreur sur la marque (du nez-gros-tas, sinon rien) me valait une cuisante raclée. Oublier mon devoir de chaque jour ramenait sans coup férir une montagne de remontrances, insultes, coups, j'en passe et des moins bons... Puis, enfin libre de mes devoirs de fils, je la laissais devant son poste de télé noir et blanc, surmonté d'un napperon jauni pas la fumée de ses infâmes cigarettes où trônait un pâtisson (ou une coloquinte, je ne sais plus très bien) qui, à l'entendre, était le portrait craché de mon père... Alors je m'envolais dans la cage d'escalier, pour aller dans la rue passer la journée à vendre des cartes postales (et aussi des crayons).
 
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Réactions: macmarco
guytantakul a dit:
une bouteille à la mère

Je me souviens, étant petit enfant, devoir aller quotidiennement quérir chez l'épicier une bouteille de rhum pour contenter le foie absorbant de ma mère. Impossible d'y échapper, la moindre erreur sur la marque (du nez-gros-tas, sinon rien) me valait une cuisante raclée. Oublier mon devoir de chaque jour ramenait sans coup férir une montagne de remontrances, insultes, coups, j'en passe et des moins bons... Puis, enfin libre de mes devoirs de fils, je la laissais devant son poste de télé noir et blanc, surmonté d'un napperon jauni pas la fumée de ses infâmes cigarettes où trônait un pâtisson (ou une coloquinte, je ne sais plus très bien) qui, à l'entendre, était le portrait craché de mon père... Alors je m'envolais dans la cage d'escalier, pour aller dans la rue passer la journée à vendre des cartes postales (et aussi des crayons).
Joli, guytan ! :up: :up: :up:
:cool:
 
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Réactions: guytantakul
- ILS SONT LÀ, JE LES AI VUS !
- Qui ça "ils" ? Qu'est-ce que tu as vu ?
- Hey! Graindefolie, tu ne serais pas encore en train de crier au loup des fois ?
- Mais non, je viens de les voir. Les mutants nous envahissent. Mettons-nous tous à l'abri.
- mets-toi bien une fois pour toute dans ce qui te sert de tête que les mutants n'existent pas.
- Y a cinq minutes, j'étais près de la mer. Une vague l'a poussé presque jusqu'a moi. J'ai roulé jusqu'ici pour vous prévenir. Et si vous ne me croyez pas, suivez moi, je vais vous les montrer ...


- Oh! Ce soleil qui m'ébloui.
- Et ça, on dirait du sable ?
- Que m'est-il arrivé ?
- Oooh! ma tête, et mon pied qui beigne encore dans l'eau
- Où suis-je ? Sur une plage, sans aucun doute mais où ?
- Apparemment entière, et mon contenu aussi.
- Après tant et tant d'années, retrouver mes racines ...
- Cela parait impossible et pourtant...



- Siliciens, siliciennes voyez par vous mêmes, je ne mentais pas.
- AAAaaaaaah! quelle horreur ! Mais qu'allons nous faire ?
- Repoussons-le à l'eau !
- Attachons-le!
- Brulons-le!
- NON! Arrêtez cette hystérie! Retirons-nous tranquillement, ne le réveillons pas. Graindesel vas chercher Graindesagesse, lui seul saura nous dire que faire et pendant ce temps surveillons-le...


- Heu! Bonjour! Non, non, ne partez pas, je ne vous veux pas de mal.
- Heu! Bon.. bonjour, vous êtes un ...
- Non Graindebonsens ce n'est pas ce que Graindefolie veux nous faire croire.
- Ah! Graindesagesse, te voila, alors expliques nous.
- Hé bien, hum! je dirai que ..., attendez, je ne voudrai pas faire d'erreur, laissez moi l'observer...,humm! moui! on dirait bien...
Toc, toc, hummm! moui ce doit être ça... Scrrriiitch, scrrriiiiiiiitch ...


- Ah! aah!... ahr!... arrr!... arrêtez! Vous me chatouillez.
- Oh! pardon! Hum, dites-moi seriez-vous ce que les Hommes appellent une Bouteilledeverre ?
- Si! bien bien sur, et je m'appelle Bulliverre
- Bienvenue en Silicie, Bulliverre. Je me souviens qu'un étranger qui s'appelait El Graingo m'avait expliqué, un jour, que les Hommes l'utilisait lui et ses frères avec Soudes et Potasses du Royaume d'Alcali afin de vous faire naître. Il nous en avait fait toute une montagne au sujet des hommes. Mais à l'époque personne n'avait cru ses histoires et il est reparti un beau matin, on a plus jamais entendu parlé de lui depuis ... Et vous voila, ici; votre présence prouvant la véracité de ses contes mais, dites nous, d'où venez-vous Bulliverre ?

- Oooh! Ca c'est une très longue histoire. J'ai passée une grande partie de ma vie couchée dans divers endroits sombres, plus ou moins secs. Parfois un Homme me prenait dans ses mains, me regardait, me caressait, puis me reposait sur mon lit. Un jour je fut exposée debout à la vue de tous et entourée de mes s½urs. Un Homme nous a emporté chez lui, il nous a déposé dans une petite pièce... ... brrrrrrrr! j'en tremble encore de froid. Peu de temps après il m'a sorti de là en compagnie de quelques plats dont un certain Mr Pâtisson, tient un sacré farceur celui là, toujour le mot pour rire. Enfin bref, on a tous revus la lumière en pleine mer, le voyage semblait prometteur, tous exposés aux douces bises du vent et au balancement des vagues. C'est alors que le cauchemar à commencé. J'ai vue l'Homme mordre et avaler mes compagnons de voyages et au moment ou il allait me faire subir le même sort, une forte vague l'a déséquilibrée. M'entrainant dans sa chute et emportée par le mouvement, je suis passée par dessus bord.
- Oubliée de l'Homme, emportée par les courants, épuisée par le temps, j'ai échouée cette nuit et me suis endormie.

- Voila. Heu! Graindesagesse, c'est cela non ?

- Oui! c'est mon nom.
- Me permettrez-vous de rester parmis vous quelque temps, afin de reprendre des forces avant de repartir ?
- Mais certainement, faites comme chez vous, d'ailleurs je profiterai de votre présence pour vous demander ... ... ... ...




... ... ...J'arrête là mon récit, ce n'est pas que je sois à court d'idées, bien au contraire, mais je ne voudrai pas que "Bulliverre chez les Siliciens" devienne une "Histoire sans fin" et risquer l'eau verre d'Oz (ou dose, c'est vous qui voyez)
:)
 
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Réactions: inconnu(e)
Cillian a dit:
Merci macmarco :)
J'espère que tu aura le temps de nous illustrer un beau texte. ;)
;)
J'y compte bien, avec deux semaines de délai, ça devrait le faire... :up:
Par contre, pour l'instant, j'ai pas trop d'idées...
 
encore CILLIAN qui va gagner,c'est injuste,c'est trop injuste :o :( :mad:

:zen:
 
Cillian... :zen: Tout plein de charme cette jolie histoire... elle sort des sentiers battus.
;) :up:
 
La première semaine entamée, faisons un petit point :

aricosec a écrit en premier.
guytantakul a écrit le texte le plus court.
cillian a écrit le texte le plus long.

Nan, j'déconne, je ne me fierais pas à ces simples critères. :p :D
Merci à vous trois pour vos textes ! :zen:

J'attend avec impatience d'autres histoires ! :zen: :up:
 
bebert a dit:
La première semaine entamée, faisons un petit point :

aricosec a écrit en premier.
guytantakul a écrit le texte le plus court.
cillian a écrit le texte le plus long.

Nan, j'déconne, je ne me fierais pas à ces simples critères. :p :D
Merci à vous trois pour vos textes ! :zen:

J'attend avec impatience d'autres histoires ! :zen: :up:

Lentement mais surement :rose: !!!
 
Voilà 12 ans que tu m’a laissé : lâche comme tu l’a toujours été !

Je te hais.

Tu m’abandonnes, seul.



Croyais-tu que je ne pourrai pas te remplacer ? Etait-ce un défi ? Quelle erreur ! Moi, je n’ai jamais eu besoin de personne, et surtout pas de toi ! C’est toi, faible, qui avais besoin des autres ! Faible ! Oh, que tu étais fragile le jour où tu m’as quitté…



Pensais-tu que j’allai déplacer des montagnes pour que tu restes ? Rien n’est impossible pour moi ! J’ai toujours tout fait pour toi ! A moi le travail, l’effort ! Et toi : à paresser avec les gosses, à préparer ta tambouille infâme : ta dégoûtante soupe de pâtisson ! Infâme, comme cette odeur ce jour-là…



Alors, tu me laisse me débrouiller avec les chiards sur le dos : et je m’en suis sorti ! Garce ! A quoi pensais-tu ce jour-là ? A eux, c’est sûr ! Pas une pensée pour moi : ingrate ! Eux, qui t’on fait souffrir : c’est eux qui t’on fait partir ! Eux que je maudis autant que toi ! Comme je t’ai haï en te regardant ce jour-là…



Comme je t’ai haï !



(Oh mon Dieu ! Que tu me manques !

POURQUOI ES-TU MORTE ?!

Pourquoi n’ai-je pas su te dire comme je t’aimais !)
 
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Réactions: macmarco et lumai
Gabi a dit:
Voilà 12 ans que tu m�a laissé : lâche comme tu l�a toujours été !

Je te hais.

Tu m�abandonnes, seul.



Croyais-tu que je ne pourrai pas te remplacer ? Etait-ce un défi ? Quelle erreur ! Moi, je n�ai jamais eu besoin de personne, et surtout pas de toi ! C�est toi, faible, qui avais besoin des autres ! Faible ! Oh, que tu étais fragile le jour où tu m�as quitté�



Pensais-tu que j�allai déplacer des montagnes pour que tu restes ? Rien n�est impossible pour moi ! J�ai toujours tout fait pour toi ! A moi le travail, l�effort ! Et toi : à paresser avec les gosses, à préparer ta tambouille infâme : ta dégoûtante soupe de pâtisson ! Infâme, comme cette odeur ce jour-là�



Alors, tu me laisse me débrouiller avec les chiards sur le dos : et je m�en suis sorti ! Garce ! A quoi pensais-tu ce jour-là ? A eux, c�est sûr ! Pas une pensée pour moi : ingrate ! Eux, qui t�on fait souffrir : c�est eux qui t�on fait partir ! Eux que je maudis autant que toi ! Comme je t�ai haï en te regardant ce jour-là�



Comme je t�ai haï !



(Oh mon Dieu ! Que tu me manques !

POURQUOI ES-TU MORTE ?!

Pourquoi n�ai-je pas su te dire comme je t�aimais !)
Super, Gabi ! :up: :up: :up:
Vraiment pas mécontent de t'avoir indiqué le chemin jusqu'ici ! ;) :cool:
:zen:
 
Statut
Ce sujet est fermé.