La compatibilité est "variable" en fonction de la complexité des documents.
Pages lit sans problème les fichiers au format Word, mais la réciproque, c'est-à-dire la lecture de fichiers Word générés par Pages n'est pas aussi " réciproque", tout comme cela arrive entre fichiers Word de versions différentes de Word. Il y a souvent quelques petits détails qui ne collent pas et qui ne sont pas forcément rédhibitoires.
Mais, la compatibilité ne se limite pas à la lecture de fichier au format Word par un programme ou par un autre.
Les principaux défauts sont généralement assez faciles à corriger, mais peuvent demander du temps.
Ainsi, un document simple, ne contenant que du texte, de 100 pages dans Pages, enregistrés par Pages au format Word (.doc) et ouvert ensuite par Pages est strictement le même. Dans Word, le nombre de pages n'est plus le même. La raison (hypothèse pas tout à fait gratuite) tient sans doute à l'interprétation de la pagination par Word, et peut-être aussi du traitement des polices de caractère. D'une façon générale, on peut penser que la différence dans la notion de style entre les deux programmes entre en compte dans la mesure où les données de l'un ne sont pas interprétés de la même manière par l'autre.
Dans un document plus complexe contenant des images ou des graphiques, mon expérience est que ça devient parfois très compliqué, et que la reprise dans Word peut être très lourde.
Il en est de même dans Pages. Lorsqu'on veut transposer un contenu Word dans Pages, cela ne se fait pas sans "douleur". On retrouve à peu près les mêmes problèmes touchant à la pagination en général.
Bien évidemment, je ne parle que de documents censés être "compatibles" par défaut. Les documents en structure multi-fichiers que permet Word ne sont directement utilisable dans Pages. Il faut ruser.
Tant que l'on reste dans la simplicité, pas trop de pages, pas trop d'illustrations, le passage de l'un à l'autre se fera sans dommage majeur, et les corrections seront minimes. Avec des documents longs, très illustrés, comprenant des signes mathématiques, les surprises peuvent être désagréables.
Lorsqu'il s'agit de lettres et courrier, pas de problèmes majeurs
Lorsqu'il s'agit d'un document de 300 pages dont un quart comportant des illustrations, alors, attention à la "casse"
Pages lit sans problème les fichiers au format Word, mais la réciproque, c'est-à-dire la lecture de fichiers Word générés par Pages n'est pas aussi " réciproque", tout comme cela arrive entre fichiers Word de versions différentes de Word. Il y a souvent quelques petits détails qui ne collent pas et qui ne sont pas forcément rédhibitoires.
Mais, la compatibilité ne se limite pas à la lecture de fichier au format Word par un programme ou par un autre.
Les principaux défauts sont généralement assez faciles à corriger, mais peuvent demander du temps.
Ainsi, un document simple, ne contenant que du texte, de 100 pages dans Pages, enregistrés par Pages au format Word (.doc) et ouvert ensuite par Pages est strictement le même. Dans Word, le nombre de pages n'est plus le même. La raison (hypothèse pas tout à fait gratuite) tient sans doute à l'interprétation de la pagination par Word, et peut-être aussi du traitement des polices de caractère. D'une façon générale, on peut penser que la différence dans la notion de style entre les deux programmes entre en compte dans la mesure où les données de l'un ne sont pas interprétés de la même manière par l'autre.
Dans un document plus complexe contenant des images ou des graphiques, mon expérience est que ça devient parfois très compliqué, et que la reprise dans Word peut être très lourde.
Il en est de même dans Pages. Lorsqu'on veut transposer un contenu Word dans Pages, cela ne se fait pas sans "douleur". On retrouve à peu près les mêmes problèmes touchant à la pagination en général.
Bien évidemment, je ne parle que de documents censés être "compatibles" par défaut. Les documents en structure multi-fichiers que permet Word ne sont directement utilisable dans Pages. Il faut ruser.
Tant que l'on reste dans la simplicité, pas trop de pages, pas trop d'illustrations, le passage de l'un à l'autre se fera sans dommage majeur, et les corrections seront minimes. Avec des documents longs, très illustrés, comprenant des signes mathématiques, les surprises peuvent être désagréables.
Lorsqu'il s'agit de lettres et courrier, pas de problèmes majeurs
Lorsqu'il s'agit d'un document de 300 pages dont un quart comportant des illustrations, alors, attention à la "casse"