et avec la tête ?

Statut
Ce sujet est fermé.
up.gif
fécilitations & félicité
wink.gif
 
que c'est beau la vie
love.gif
love.gif

zen.gif
 
voili, j'ai réussi à corriger les fautes sans perdre l'image
smile.gif
wink.gif


merci à vous tous
smile.gif

zen.gif
 
bureau.jpg
La tête vide, complètement, s'en était absurde.
Dans mon cabinet de travail, au milieu d'un joyeux bric à brac, j'essaye de me remémorer des images pour servir de toiles de fond à mes fantasmes.
En fait je rentre chez les gens par effraction selon l'inspiration du moment, juste avec mes images.
Je visite des salles de bains et j'inventorie le contenu des armoires.
Je mets mon nez partout, captant les parfums et les textures d'une vie.
Mes fantasmes se conforment à des scénarios bien ciblés. Je fouille une commode
et je vole un ensemble culotte soutien-gorge. L'odeur des sous-vêtements a quelque chose de sensuel.
La mémoire est capable de te jouer des tours extraordinaires.
Ce parcours dans les étoffes me permet de dessiner des détails impudiques.
Ces petits détails commencent à s'accumuler et remplissent ma banque d'images.
Des lits défaits. Des draps repoussés.Un oreiller froissé.
Sensations tactiles.
Une odeur de chaleur à peine enfouie.
Un vêtement jeté au pied du lit.
Un grand désordre.
Ma tête est trop pleine.
Je me lève. Je marche. Je tremble.
Mais j'éprouve un besoin obsessionnel de bouger.
Je me fais peur à force de piller sans peur des univers intimes.
J'écoute ma tête. J'écoute les bruits qui arrivent de l'extérieur.
Je retourne sur mes pas.
Je retrouve mon bureau.
Chasse à grands coups de balais mes peurs.
Sur mon bureau, il y a une photo. Un portrait d'elle qui pose.
Un retour à la vie.
Nous sommes dans une toute petite chambre. Sur une commode une lampe à l'abat-jour brûlé, des babioles, un pot de crème hydratante ouvert.
Les hirondelles n'en finissent pas de voler. traces noires dans le ciel d'azur.
Une larme.
Je me retourne. Elle est là sur le lit, couchée sur le ventre, elle lit.
Elle porte des jean's et rien au dessus. Les épaules rondes et chaudes, des cheveux courts, mèches folles sur son front.
Nous sommes au cœur de l'été.
Elle est appuyée sur ses coudes le menton dans de ses mains.
Elle me regarde. Son regard ne triche pas.
J'ai le cœur qui bat la chamade.
J'ai envie de lui dire…
Elle parlera avant moi.
"Toi qui est là, prend le pot de crème et fais moi ce massage que tu m'avais promis !!!"
Je ne lésinai pas sur la tendresse.
C'est cette photo mon retour à la vie .
 
Fredoupsy a dit:
voili, j'ai réussi à corriger les fautes sans perdre l'image
smile.gif
wink.gif


merci à vous tous
smile.gif

zen.gif

Dis donc fredo chérie
love.gif
, tu m'aurais pas piquer une signature
wink.gif
laugh.gif


cat.gif
 
Debout, seule, fixant les doux ruissellements sur ses cuisses nues, Cass’ – comme tout le monde l’appelle – prend le temps de s’étonner et de s’émouvoir. Elle trouve son corps lourds et difficilement le robinet de la douche. Un monde carrelé, figé, lui tourne autour tandis qu’une vapeur émane de sa peau et avec elle, tous ses problèmes. Elle peut goûter au bonheur, félicité temporaire ou sans retour ? Cass’ s’en fout. Son attention se tourne vers ses mains, ses doigts et ses cuisses qu’elle en un doux massage, remontant ; diluant ainsi, puis répartissant, les rigoles de plaisirs, mémoires mêlées de deux désirs. Une brise glacée joue avec un battant de la fenêtre et la caresse. Elle s’abandonne au rire devant ses seins tendus et à la douceur aussi. Sous la pluie d’eau chaude le parcours léger, infini, de la pulpe de ses doigts n’en fini pas de la faire frissonner. La rumeur du disque qu’elle a choisi se fait plus distincte.
Alors tous ses sens spiralent sur la texture de ses seins ; une image fugace, d’elle-même sensuelle « Je suis bien, je suis belle » achève de l’enflammer. Cass’ grandit de plaisir, elle se tend et se contracte en même temps. Ses pieds, sur leur pointe, glissent aux limites du bac. Sa nuque glisse doucement sur le carrelage. Elle profite de la variété de ses surfaces : douces, souples, dures, à nues ou enveloppées. Elle suit le rythme de Jaco à la basse. Teen Town. En elle le plaisir, soudain, enfle… jusqu’à la submerger ; jusqu’à la crampe.
IMG_1052.jpg
 
Nephou a dit:
Debout, seule, fixant les doux ruissellements sur ses cuisses nues, Cass’ – comme tout le monde l’appelle – prend le temps de s’étonner et de s’émouvoir. Elle trouve son corps lourds et difficilement le robinet de la douche. Un monde carrelé, figé, lui tourne autour tandis qu’une vapeur émane de sa peau et avec elle, tous ses problèmes. Elle peut goûter au bonheur, félicité temporaire ou sans retour ? Cass’ s’en fout. Son attention se tourne vers ses mains, ses doigts et ses cuisses qu’elle en un doux massage, remontant ; diluant ainsi, puis répartissant, les rigoles de plaisirs, mémoires mêlées de deux désirs. Une brise glacée joue avec un battant de la fenêtre et la caresse. Elle s’abandonne au rire devant ses seins tendus et à la douceur aussi. Sous la pluie d’eau chaude le parcours léger, infini, de la pulpe de ses doigts n’en fini pas de la faire frissonner. La rumeur du disque qu’elle a choisi se fait plus distincte.
Alors tous ses sens spiralent sur la texture de ses seins ; une image fugace, d’elle-même sensuelle « Je suis bien, je suis belle » achève de l’enflammer. Cass’ grandit de plaisir, elle se tend et se contracte en même temps. Ses pieds, sur leur pointe, glissent aux limites du bac. Sa nuque glisse doucement sur le carrelage. Elle profite de la variété de ses surfaces : douces, souples, dures, à nues ou enveloppées. Elle suit le rythme de Jaco à la basse. Teen Town. En elle le plaisir, soudain, enfle… jusqu’à la submerger ; jusqu’à la crampe.
IMG_1052.jpg

je ne pouvais que te citer à nouveau… ces mots… ce mot … 
zen.gif
love.gif
up.gif
 
AH ! AH ah ! ça y est je l'ai pris ,grace a NEPHOU
c'est y pas du torride ça
ooo.gif
ooo.gif
up.gif

laugh.gif
zen.gif
 
Statut
Ce sujet est fermé.