Le choix de la différence,
Les mots à uiliser,bonheur,caresse,inconnu,séparation,ailleurs
.
l'autocar etait bondé,les passagers qui étaient monté en catastrophe dés l'ouverture
des portes,avaient sauté sur les places assises,le chauffeur n'avait meme pas esquissé
un geste,affalé sur son siege,fumant un cigarillos qui empestait,il attendait que le
guignol qui jouait les guide de touristes ait placé le reste des clients sur les strapontins.
c'est qu'ils venaient de loin,certains avait déja parcouru plus de 200 bornes dans une
betaillére,ont leurs avaient promis un avenir meilleur AILLEURS et c'etait
pour ça qu'ils avaient entrepris ce voyage.
une femme qui tenait son bébé sur ses genoux ,cherchant vainement une totote
dans son sac,pour boucler le bec a son moutard qui braillait,voulant se lever
pour chercher dans le hamac a valise,posa le chiare sur les genoux du quidam voisin
un espece de gigolo a pattes.comme si il n'attendait que ça, l'asticot se mis a pisser
sur l'ostrogo,furieux celui ci failli balancer l'heritier par la fenetre,il se retint a temps
s'apercevant qu'elle etait fermé.
le moutard,debarrassé du trop plein affichait un sourire de BONHEUR,ayant rejoint
le giron de la mere,il se mis a ronfler,non sans avoir emis un pet de confiance.
au fond du car,deux gros bonhommes cassait la croute,l'un d'eux croquait a belles dents
dans un oignon.et de l'autre main se grattait les valseuses.
quand il rotaitsa voisine,genre grenouille de benitier,semblait verdir,c'est que l'haleine
du coco degageait un fumet a vous boussiller la couche d'ozone.
l'ostrogo a pattes,furieux de l'injure subit,se tourna vers la donzelle qui l'accompagnai
en realité,c'etait plutot son fond de commerce,on lui avait dit que ça manquait
dans le nord les bonnes gagneuses,il lui mis un revers de chevaliere de façon a eliminer
le sourire narquois qui s'esquissai sur les levres de sa moitié,"....allait bien voir
qui etait le maitre",ce joli maquillage rouge sur sa joue,fit plaisir a juanita,
avec la tarte pris la veille,ça ferait le pendant,son maquillage serait equilibré.
ce soir son jules lui ferait une petite CARESSE,et tout serait oublié.
dans l'allée du bus,le clown guide,presentait le paysage,comme si il etair dans une visite
de touriste,tout ces gens qui avaient depensé leurs pauvres economies pour chercher
du boulot ailleurs,l'ecoutaient cependant,un moment de repos dans leurs dures vies,
un brusque sursaut du car,fit bouler le [censuré] dans la travée,un péone assis eu
un geste pour retenir la masse,mais reconnaissant celui qui lui avait engourdi son blé,
retira promptement sa main,un petit "Olé",s"echappa des levres des passagers.
le bus stoppé net,la porte s'ouvrit,un INCONNU portant une carabine fit irruption
tout les passagers d'un seul bloc attrapérent les nuages,c'est qu'ils avaient l'habitude
dans ce coin,le pays etait divisé en trois parties,les pauvres,qui serait pauvres toujours,
les pauvres bandits qui pillaient les autres pour devenir riches,et les riches qui
pillaient les pauvres pour le rester.(tout le monde a compris ou je r'commence
)
el bandido,le chef des pillards,d'une baffe au vieux peone assis,envoya bouler
son sombrero dans la main de son lieutenant,"tout les bijoux et argents dans ce bitos,
tonna t'il d'une voix forte,comme piqués par une guepe les passagers se debarrasserent
de ce qu'il y avait dans leurs poches,d'une main preste,le chef empoigna le chapeau
du glaude,ses yeux faillirent sortirent de leurs orbitres,"de quoi,de quoi"(en fait il avait dit
"maqué !,maqué ! ",)j'ai traduit pour les unijambistes qui pourrrait me lirent.
de quoi" repetat il,dix pesos et un bouton de braguette,vous vous foutez de moi !
le gigolo,voulant briller au yeux de juanita hurla,"mais general,nous avons deja tout donné
pour ce voyage.....,il ne termina pas,le mec lui envoya un chargeur dans le buffet,
"d'abord je ne suis pas general,criat il honnetement,ses yeux deshabillait la juanita,
qui restait petrifié devant la cervelle de son mec qui ornait le sol.
tout les desperados ,voyant qu'il n'y avait rien a tirer d'autres,sortirent du car
le chef en passant devant le chauffeur,engourdi la recette,et balança juanita
sur son cheval,ils disparurent dans un nuage de poussiere( c'est beau.. HEIN !)
le car ayant repris sa route,quelques heures aprés,nous arrivames en vue
de la ville,maisons clonées et grandes cheminées,c'etait pour eux l'eldorado
mais moi je savais que ce ne serait pas l'eden.
je me promettait que la SEPARATION avec la douce france,serait de courte durée
...
et me voila ....