Retour dans l'avion alors que les premiers parachutistes viennent de sauter.
« Arrête de
gigoter ta main devant moi comme ça Rico, on se croirait dans La Cage aux Folles ! Si tu veux me foutre un vrai pain, tu devrais faire un stage chez Rocky Balboa ! ». Bebert sortit un flingue de sa poche.
« Et toi Abba Zabba, garde tes mains sur le manche si tu veux pas que je t'empale dessus ! »
« Si je demande un délai c'est pas parce que j'ai la
trouille de mon premier saut, c'est parce que le type qu'on va capturer c'est mon père (Arfff !) »
« Je ne vous laisserais jamais lui faire la peau ! J'ai saboté ton parachute. J'en ai fait des rubans (hihihi). Tu vas avoir de drôle de
sensations quand tu vas vouloir l'actionner .»
« Bon je vous laisse entre hommes. Faut vite que je rattrape les autres avant qu'il ne commettent l'irréparable. N'astiquez pas trop le manche même si c'est pour vous envoyer en l'air ! Mouah ah ah ah ah ! »
Les tenant en respect, Bebert recula et sauta dans le vide. Avec cette nuit sans lune, ce ne sera pas du
gâteau pour les retrouver. Par chance, Bebert atterrissait dans un champ, non loin d'une voie de
chemin de fer. Longeant la voie ferrée, il aperçut LucG pendu dans un arbre.
« Mouah ah ah ah ah ! Un de moins à neutraliser !»
« Qu'est-ce tu fous Bébert, arrête de faire ton péteux, libère moi ! » Fit LucG.
« Récite le dictionnaire d'abord, après je verrai ce que j'peux faire ! ».
Fuyant seul dans la nuit, Bébert se mit à la recherche du reste du commando.
Va-t-il réussir à sauver son père ? Ou prendre le premier Omnibus venu ?
Vous le saurez dans le prochain épisode de « Qui veut la peau de Roger TheBig ? »