et avec la tête ? v2

Statut
Ce sujet est fermé.
ça quand je dit une connerie on n'me loupe pas :mad:

et pourtant je l'ai relu deux fois,:eek:
il est vrai que germaine s'occupait de mon hibou a moi,:o
c'est dure de bien lire dans ces conditions ;)
_
c'est donc mon mien de culpa :( :(
:D
 
Bonjour à tous.
Vous avez bien bossé.

+ guytantakul 18/07/05
En vacances, pourvu qu'il ne tombe pas sur le chef du GIGN !!!

+ WebOliver 21/07/05
A genoux devant sa belle.

+ Aricosec 21/07/05
Le cri du hibou, à cause des cailloux ?

+ PoorMonsteR 21/07/05
Un vrai scénario

+ TibomonG4 24/07/05
Il ne prêche pas dans le désert

+ Nephou 27/07/05
Apaisant et réconfortant

+ Hache-Hache 28/07/05
Une chevauchée fantastique

J'ai demandé à mon petit chien Loustic quel était son joujou préféré,
il m'a répondu : Ouah ! Ce qui veut dire : Tous !

Bon ! Mais encore ?
Finalement il a reconnu qu'il aimerait au réveil, plutôt que la voiix de son maître (un emmerdeur de première), celle de...
Nephou.

:up: :up: :up:

Bravo à tous les participants.!
Nephou à toi la direction des opératons.
:zen:
 
Et pendant que j'y suis, même si ça n'a intéressé personne :( je vais vous dire les noms des personnes cachées dans mon texte.

mado, aricosec, macmarco, sofiping, loustic, Pierrou, Gilbertus, Guytantakul et WebO.

La bande de joyeux drilles, tous plus bringuezingues les uns que les autres, avait décidé de faire un casse. Ça s'était décidé chez Mado, le bistrot où ils se réunissaient tous les soirs. Gilbert avait lancé négligemment :
- "Et si on s'faisait la banque de la rue Jean Moulin ?".
Herman, dit le Hibou à cause de ses grandes lunettes, avait tout de suite répliqué de son accent teuton :
- "Et bourguoi bas, mais on n'endre gomment ?".
- "Par les caves, elles communiquent. Mon pote Fernand m'a r'filé tous les plans de l'immeuble. Il faudra juste percer un mur ou deux. On entre dans une petite salle et là : Bingo ! Au moins 200 petits coffiots rien que pour nous !".
Marcel, qui se faisait appeler Harry par snobisme, en lâcha sa tasse de caoua.
- "200 coffres à ouvrir ? Mais vous êtes félés !".
- "Tais-toi Harrycosec, tu vas nous filer la scoumoune", répliqua Gilbert.
- "J'm'appelle Harry, par Harrycosec ! C'est pas de ma faute si je suis maigre".
Sophie éclata de rire :
- "T'énerves pas Marcel, c'est pas bon pour ton teint".
Guy, la main posée négligement sur le genou de Sophie, tapota sur la table :
- "Ho, cool, les mecs. C'est du sérieux, là. Moi j'vous propose de ramener un chalumeau et un marteau-piqueur. Y'a tout ce qu'il faut dans ma boîte, pas de problème".
Marco, ancien flic viré pour divers trafics et qui l'avait blouclé jusque-là, demanda d'un air doucereux :
- "Et on va trouver quoi dans tes coffres, Gilbert, si la maison Royco ne se radine pas avant ?".
Gilbert, évervé par la remarque, répliqua :
- "Nous fait pas tout un mic-mac Marco avec tes anciens copains. T'es plus à Paname. L'immeuble va bientôt être démoli, donc on sera peinards. Y'a aucune raison qu'ils débarquent si on y va en douceur, et surtout, s'ils ne sont pas prévenus. Y'en a qui se sont retrouvés avec une
pierre ou un bloc de ciment aux pieds dans la Loire pour moins que ça".
La fin de la phrase, dite sur un ton rageur, calma aussitôt Marco qui la mit tout de suite en sourdine.
Gilbert reprit la parole :
- "On peut trouver d'tout : du fric, de l'or, des bons du Trésor, des cailloux. De tout j'vous dis !".
Herman précisa :
- "Brenez uniguement les bierres brécieuses et l'or, za ze revourgue blus vazilement".
Sophie, surnommée La nunuche par toute l'équipe, répliqua :
- "Et si c'est du plaqué, comment vous voyez la différence ?"
Gilbert éclata de rire :
- "Pour toi Sophie, pingouins et manchots c'est pareil ! T'es vraiment trop nunuche. Tu crois qu'les gus qui planquent leur fric à la banque mettent des bijoux en plaqué dans leurs coffres ?".
- "Oh ça va Gilbert, tu sais qu't'es soûlant quand tu m'prends pour une gourde ?".
Plié de rire, Guy tenta, culotté comme il était, une dernière question :
- "Et si Harry a raison, malgré tout. On est des p'tits pour ce genre de truc".
Gilbert le regarda, un sourire goguenard aux lèvres. C'était un drôle de loustic le Guy, toujours à changer d'avis comme de chemise : un coup oui un coup non, un coup blanc un coup noir.
- "On improvisera ma poule, et j'vais m'prendre un petit joujou avant de partir".
Il avait dit ça d'un air assuré, mais en fait, il n'était vraiment pas sûr de se servir de son "joujou" comme il disait. Il avait trouvé un vieux Makarov sur le web au hasard de ses pérégrinations et l'avait acheté sur un coup de tête. Mais quant à s'en servir, c'était une autre paire de manches.
La banque étant fermée le week-end, ils se réunirent tous le samedi matin dans la cave de l'immeuble, soit Gilbert, Marco, Sophie, Guy et Marcel. Herman, qui s'était fait serrer la veille pour une histoire de proxénétisme, était absent.
Gilbert prit les choses en main tout de suite.
- "Guy, tu connais l'matos alors tu commences avec le marteau-piqueur. J'te file un coup de paluche dès qu'tu fatigues. Guy et Harry - hé, me r'garde pas avec tes yeux de merlants frits Marcel, aujourd'hui j'suis d'bonne humeur - donc, Guy et Harry vous déblayez tout c'qu'on va creuser. Toi Sophie, tu fais l'pet et tu t'occupes de la bouffe et d'la boisson. Tu viendras nous essuyer la tronche de temps en temps. Avec tout c'qui va voler comme poussière là-'dans on va vite être déguisés".
Guy, en attrapant le marteau-piqueur, demanda :
- "J'attaque par où, Gilbert ?".
- "Te prends pas l'chou. Ce mur-là est aussi grand que celui d'la salle des coffres. Tape dans l'tas".
Guy attaqua le mur pendant que Gilbert s'allumait une cigarette. Il eut en même temps une sensation bizarre. Quelque chose n'allait pas.
- "Où est passé Marcel ?".
Le son de sa voix fut couvert par le bruit du marteau-piqueur.
Personne n'entendit non plus le bruit lancinant des voitures de police qui approchaient.

Voili, voilou, et merci aux (involontaires) participants :D ;)
 
  • J’aime
Réactions: Human-Fly
TibomonG4 a dit:
Bravo Nephou :up: Comme tu dis, ici il fait frais et c'est bien agréable ;) :)
.
:up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: .........gasp !
-
voila ce que ça donne un pépé qui clique sur un vieux clavier,la touche reste coincé ! :(
-
excusez,je voulais pas en mettre autant,ne rêve pas NEPHOU :mad:
 
« Ici entre... » sera le thème de la prochaine session

la liste des courses sera la suivante:
  1. gentleman
  2. toiture
  3. conserver
  4. mousse
  5. ravin

et les mots à employer dans cet ordre :modo:

le délai sera fixé par moi-même à la ligne suivante


le vendredi 5 août 2005si le vendredi est bien le cinq et si le délai n'est pas trop court. Il faudra sinon attendre le 22 que je rentre de Bretagne
 
Nephou a dit:
« Ici entre... » sera le thème de la prochaine session

la liste des courses sera la suivante:
  1. gentleman
  2. toiture
  3. conserver
  4. mousse
  5. ravin

et les mots à employer dans cet ordre :modo:

le délai sera fixé par moi-même à la ligne suivante


le vendredi 5 août 2005si le vendredi est bien le cinq et si le délai n'est pas trop court. Il faudra sinon attendre le 22 que je rentre de Bretagne
Formidable ! Vendredi est bien le 5 août !!!
Les courses ne se feront pas à Carchan mais au marché (un vrai avec des vendeurs qui gueulent...).
:) :) :)
 
Au lieu d'écouter sa maman
Qui le voyait en gentleman

Il ne pensait qu'à la biture
Et il tomba de la toiture

Non, ils ne vont pas l'inhumer
Ses copains veulent le conserver

Réunis pour une dernière mousse
Ils s'en envoient une bonne secousse

Le Panthéon attendra bien
Les voilà tous dans le ravin

Pas candidat cette fois. Dix lignes en vitesse avant de partir pour l'Aveyron :confused:
:) :) :)
:zen: :zen:
:)
 
les vacances n'excusent pas tout,LUMAI et LOUSTIC (carton jaune):mad:

-
« Ici entre... » sera le thème de la prochaine session,vendredi 5 aout
__
la liste des courses sera la suivante:,gentleman,toiture,conserver,mousse,ravin
-
entre ici, disait la belle au GENTLEMAN
qui passait doucement, habillée d'insolence
et tout auréolé d'une lumiere diaphane
que deversait la clarté rayonnante.
le port s'assoupissait,bercé d'un doux ressac
la lune se mirait sur le faît des TOITURES
un marin s'endormait au fond de son hamac
on entendait claquer au loin quelques voilures
mais sur le quai pourtant,y vivent d'autres hommes
qui sillonnent les mers,issus de flibustiers
essayant ardemment de CONSERVER en sommes
une libertée digne d'un vieux boucanier
c'est dans un vieux bistrot,ouvert au petit jour
que j'ai croisé antan ,ce fier terre neuva
qui des mers ici bas,en avait fait le tour
et se noyait pourtant dans quelque ratafia (1)
j'avais en ce temps là,les espoirs d'un MOUSSE
d'aventures insolites ,de grandes decouvertes
l'envie au coeur rivée de la grande secousse
surgissant de la mer,enfin l'ile deserte
les ans m'ont obligés a entendre raison
il me faut oublier ces rêves incertains
mais il me restera encore cette passion
que j'ai et que j'aurais pour la vie de marin
sans peur il ont franchis 40 rugissants
et franchi tout les pieges,que pose le malin
si il leur faut mourir ils y vont en chantant
ils epousent la mer,se moquant du RAVIN (2)

-
-(1) qu'ils assurent tous prendre a l'inssu de leur plein gré
-(2) le ravin ou il pourrait tomber,avec un abus consequent de ratafia.
"mais toujours a l'inssu de leur plein gré "
 
"Entre ici comme un gentleman, Jean-Louis, et ressors-en de même." Cette petite phrase sybilline prononcée par François, le videur, une main posée sur son épaule, n'étonna pas Jean-Louis qui crut à une boutade. François avait l'habitude de taquiner un peu les clients.
Ce n'était pas, loin de là, la première fois qu'il venait dans cette boîte de strip. Non pas pour chercher une aventure ou tromper sa femme (il était même venu une fois avec elle), mais l'endroit lui plaisait. L'ambiance y était feutrée malgré tout. Tout le gratin de Paris se réunissait régulièrement ici, donc pas de voyoux, pas d'esclandres entre les clients. La décoration bois et cuir rassurait et la toiture en verre qui laissait passer quelques rayons de lune le laissait souvent rêveur. Pourtant, ce soir, en s'asseyant à sa table, son regard fut immédiatement attiré par la splendide créature qui se déhanchait, nue, sur la piste et il faillit tomber de sa chaise. Son c½ur battait à tout rompre et il essayait de conserver un semblant de calme. Il regardait, presque sans la voir, sa femme se frotter langoureusement à un jeune bellâtre habillé en mousse. Il ne comprenait plus et le temps qui passait trop vite à son gré n'arrangeait pas son état. Son c½ur battait de plus en plus vite et il ressentit une douleur aiguë. Il se sentit glisser de sa chaise et eut l'impression de tomber dans un ravin sans fond tellement sa chute lui parut longue.
Avant que son c½ur ne s'arrête définitivement, il repensa à la phrase du videur : "Entre ici comme un gentleman, Jean-Louis, et ressors-en de même".
 
Statut
Ce sujet est fermé.