C'est cela la critique constructive !Néanmoins, je vois que tu n'as pas encore d'Apple Watch
Retardataire, va
Non, je n'ai pas, et n'aurai pas d'Apple Watch. Pour faire quoi ? Elle ne m'est actuellement d'aucune utilité. Et dans quelques temps, elle en aura encore moins. Si le besoin se fait sentir d'un bracelet de santé à porter en quelques occasions, mon iPhone fera l'affaire pour enregistrer ce qu'il faut.
Je suis toujours curieux d'électronique et d'informatique. Mais ma limite d'intérêt s'arrête à la nécessité et à la gadgetisation.
Si j'avais les moyens de m'intéresser à l'art, en matière d'horlogerie, ce n'est sûrement pas une montre au design Apple Watch qui me séduirait. Lorsqu'une technologie disparait dans la massification informe du besoin créé hors de toute nécessité, c'est un peu comme si elle n'existait plus.
Comme quoi même la noblesse du mot "innovation" ne recouvre pas nécessairement une grande noblesse dans les produits "innovants" de grande consommation. Qui n'ont pas d'autre but que faire du fric à tout prix, non pas pour le profit des utilisateurs mais essentiellement pour celui des vendeurs. C'est ce qu'on appelle le commerce, très enjolivé par des attitudes marketing tutoyant la génie. Car, soyons un peu critique que diable ! L'Apple Watch, comme produit n'a rien de génial. Mais la manière dont Apple a su l'imposer et la vendre en prétendant que les quelques grammes de silicium et de métaux rares étaient assemblés avec une rare et exceptionnelle science pour en faire un objet de luxe indispensable, mérite le respect !