Bon, à la demande générale ... De Mado, je précise : C'est une machine à provoquer les questions ! :o
Et avec la tête [V.3]
- Créateur du sujet aricosec
- Date de début
- Statut
J'aimais bien chachotteries
Y'avait une notion de chuchotements..
Réveillez Pascal !
Qu'il réveille sa machine à remonter dans le temps, c'était bien ça Pascal ? Pas à provoquer les questions ! Qu'elle rende à mes mots la part de saugrenu dont je les avais privés.
Sur mon carnet, tout est si simple, deux coups de gomme et le souffle de la voix réapparait, fluette sous la moustache…
Mais les chuchottements, les chachotteries, sur le balcon baigné de lune.
Seul toi, tu nous les rendras.
Allez
Machines de Vernes et Méliès, magiciens tous deux tendus vers la Lune.
Une seule machine suffira aujourd'hui à me combler, celle de Pascal, qui sait, celle surtout qui saura me porter d'un trait, sans regrêt vers une terrasse ensoleillée où, je partagerai en plus de la bière, en plus du sourire échangé pour cette mousse accrochée à la moustache, en plus, en plus, je partagerai le silence de son ombre.
Je voudrais rayer ce rêve de mon carnet d'impossible.
Je me contenterai de le souligner.
Une seule machine suffira aujourd'hui à me combler, celle de Pascal, qui sait, celle surtout qui saura me porter d'un trait, sans regrêt vers une terrasse ensoleillée où, je partagerai en plus de la bière, en plus du sourire échangé pour cette mousse accrochée à la moustache, en plus, en plus, je partagerai le silence de son ombre.
Je voudrais rayer ce rêve de mon carnet d'impossible.
Je me contenterai de le souligner.
Bon, cest bien beau tout ça
mais à travers ces mots votre pensée chemina comme celle de Pierre Méchain. Créant une confusion telle que le que le débutant en ces lieux ne cernât aucun sens à votre propos cranté. Votre clavier fût le cantre qui servit à tisser les histoire que vous mouchâtes, plutôt que couchâtes, sur le papier quil crénât, démiurge.
Oui, démiurge, toi qui mouchetas ces forums que nous touchâmes du doigt de notre félicité avant quelle ne s'étiole en danse saugrenue.
Je tadresse ma lune.
Oui, démiurge, toi qui mouchetas ces forums que nous touchâmes du doigt de notre félicité avant quelle ne s'étiole en danse saugrenue.
Je tadresse ma lune.
D'aucuns disent qu'il a été créé mais qu'il n'existe pas.
Saugrenue comme idée...
Enfin rien n'est moins sûr, mine de rien son nez surplombe rien moins qu'une moustache que rien ne saurait raser.
Rien n'y fait, toutes les lames du monde ne sauraient raser une telle toison à la source rien moins qu'en partie rhinologique.
Rien qu'une fois on lui demanda de tailler dans le vif tant la chose devenait longue et traînante, au point que rien ni personne ne pouvait marcher l'air de rien en regardant la lune sans s'emmeler dans la monstruosité poilue.
La chose aurait été poilante, d'ailleurs, si le maître barbier qui cultivait son poil dans le main avec une jalousie maladive, n'en vînt un jour, l'air de rien, à jalouser le poilu artifice.
Un soir ou aucun bruit ne résonnait, il décida qu'il était temps d'en finir. Non, rien de rien, rien ni personne, qu'il ait un nom ou non, non de nom, ne l'empêcherait de couper cette chose qui à défaut de ne pas être capillaire méritait d'être rétractée au troisième passage de la lame.
L'âme pleine de rien moins qu'une idée fixe, il dessina sa machine sur son carnet de rien à faire. Une lame, deux lames, dix lames, cent lames pour la robe d'une femme ? Chine serait son nom. Sans nom pas d'existence et sans existence, on est rien. Demain Chine verra sa moustache.
Le jour J à l'heure H, rien ne saurait empêcher la rencontre pour mettre fin à l'avancée capillaire débridée.
Chine vînt à la rencontre mais occupée à suivre le chemin velu ne vit pas qu'un mouvement lent mais constant l'entraînait vers le pays du rien droit et du oui gauche. Elle tomba nez à nez avec un Gnon. Chine et Gnon tombèrent en pâmoison et le coiffeur à son dam ne s'en remis pas. Il avait perdu toutes ses lames et son commerce était fichu.
Rien moins qu'une idée, je n'avais qu'une idée de rien et voilà qu'aujourd'hui je n'ai que l'espace de mon poil dans la main pour tout reconstruire. Il regarda son poil d'un air de n'avoir plus rien à dire.
Je suis donc condamné à me tourner les pouces et je n'ai plus rien pour entretenir mon cher et unique poil. Rien à faire de plus qu'à le laisser pousser encore et encore même entre les lames de son plancher et entre les pots de confiture.
Morne vie, triste sire. Les enfants jouent dehors et rient de rien ou de choses qui n'existent pas. Pourquoi rient-ils ? Il jette un oeil plein du vide de sa vie sans lames. Une corde ? Un nouveau jeu. Ils sautent par dessus et s'agitent. "Mais c'est mon poil" s'exclame-t-il. Mine de rien tout est possible, même créer l'air de rien avec un poil dans la main alors pourquoi demander la lune puisque un rien suffit à faire un tout.
Saugrenue comme idée...
Enfin rien n'est moins sûr, mine de rien son nez surplombe rien moins qu'une moustache que rien ne saurait raser.
Rien n'y fait, toutes les lames du monde ne sauraient raser une telle toison à la source rien moins qu'en partie rhinologique.
Rien qu'une fois on lui demanda de tailler dans le vif tant la chose devenait longue et traînante, au point que rien ni personne ne pouvait marcher l'air de rien en regardant la lune sans s'emmeler dans la monstruosité poilue.
La chose aurait été poilante, d'ailleurs, si le maître barbier qui cultivait son poil dans le main avec une jalousie maladive, n'en vînt un jour, l'air de rien, à jalouser le poilu artifice.
Un soir ou aucun bruit ne résonnait, il décida qu'il était temps d'en finir. Non, rien de rien, rien ni personne, qu'il ait un nom ou non, non de nom, ne l'empêcherait de couper cette chose qui à défaut de ne pas être capillaire méritait d'être rétractée au troisième passage de la lame.
L'âme pleine de rien moins qu'une idée fixe, il dessina sa machine sur son carnet de rien à faire. Une lame, deux lames, dix lames, cent lames pour la robe d'une femme ? Chine serait son nom. Sans nom pas d'existence et sans existence, on est rien. Demain Chine verra sa moustache.
Le jour J à l'heure H, rien ne saurait empêcher la rencontre pour mettre fin à l'avancée capillaire débridée.
Chine vînt à la rencontre mais occupée à suivre le chemin velu ne vit pas qu'un mouvement lent mais constant l'entraînait vers le pays du rien droit et du oui gauche. Elle tomba nez à nez avec un Gnon. Chine et Gnon tombèrent en pâmoison et le coiffeur à son dam ne s'en remis pas. Il avait perdu toutes ses lames et son commerce était fichu.
Rien moins qu'une idée, je n'avais qu'une idée de rien et voilà qu'aujourd'hui je n'ai que l'espace de mon poil dans la main pour tout reconstruire. Il regarda son poil d'un air de n'avoir plus rien à dire.
Je suis donc condamné à me tourner les pouces et je n'ai plus rien pour entretenir mon cher et unique poil. Rien à faire de plus qu'à le laisser pousser encore et encore même entre les lames de son plancher et entre les pots de confiture.
Morne vie, triste sire. Les enfants jouent dehors et rient de rien ou de choses qui n'existent pas. Pourquoi rient-ils ? Il jette un oeil plein du vide de sa vie sans lames. Une corde ? Un nouveau jeu. Ils sautent par dessus et s'agitent. "Mais c'est mon poil" s'exclame-t-il. Mine de rien tout est possible, même créer l'air de rien avec un poil dans la main alors pourquoi demander la lune puisque un rien suffit à faire un tout.
Oui, quoi ! Maintenant, je fais quoi ?
Ah Les participants n'ont pas manqué.
Les messages ? Ô combien nombreux !
Des inventions, des invasions même !
J'ai tenté de réunir les messages "classiques" postés dans le fil à deux reprises. Mais cela ne me semble pas juste.
Que faire des commentaires dans les profils, des messages dans les coups de boule, des messages dans les fils techniques, dans portfolio (au crayon, en photo) jusque dans des blogs étrangers à Macgénération, des messages et leurs réponses J'en oublie c'est sûr.
Alors, donner à l'un, l'une, à l'autre, la palme, d'accord, mais comment choisir ? Je n'aime pas devoir choisir, alors j'aime le faire du mieux que je peux.
A ce propos, mado, je suis prêt à suivre tes bons conseils. Mais les moustaches de chat me parviendront-elles à temps ?
Imaginez : j'ai pensé à clore cette session par anticipation (au fait, qui écrivait que la durée était trop courte au lancement de la session ? cache-toi !)
J'ai pensé à tout et à rien, mais rien ne me convient.
Donc, en conclusion :
Cette session durera jusqu'à l'heure prévue ou au delà si vous y trouvez toujours du plaisir.
Seront pris en compte, tous les messages, ici, ailleurs, dans le cours du fil ou postés de façon indépendante. Je prends tout, tout ! La seule condition que je pose est l'utilisation des mots définis au départ.
Pour le reste : je demande un délai raisonnable de réflexion et votre entière soumission à mon choix
Bonne fin de soirée.
Bon réveil pour les autres.
Ah Les participants n'ont pas manqué.
Les messages ? Ô combien nombreux !
Des inventions, des invasions même !
J'ai tenté de réunir les messages "classiques" postés dans le fil à deux reprises. Mais cela ne me semble pas juste.
Que faire des commentaires dans les profils, des messages dans les coups de boule, des messages dans les fils techniques, dans portfolio (au crayon, en photo) jusque dans des blogs étrangers à Macgénération, des messages et leurs réponses J'en oublie c'est sûr.
Alors, donner à l'un, l'une, à l'autre, la palme, d'accord, mais comment choisir ? Je n'aime pas devoir choisir, alors j'aime le faire du mieux que je peux.
A ce propos, mado, je suis prêt à suivre tes bons conseils. Mais les moustaches de chat me parviendront-elles à temps ?
Imaginez : j'ai pensé à clore cette session par anticipation (au fait, qui écrivait que la durée était trop courte au lancement de la session ? cache-toi !)
J'ai pensé à tout et à rien, mais rien ne me convient.
Donc, en conclusion :
Cette session durera jusqu'à l'heure prévue ou au delà si vous y trouvez toujours du plaisir.
Seront pris en compte, tous les messages, ici, ailleurs, dans le cours du fil ou postés de façon indépendante. Je prends tout, tout ! La seule condition que je pose est l'utilisation des mots définis au départ.
Pour le reste : je demande un délai raisonnable de réflexion et votre entière soumission à mon choix
Bonne fin de soirée.
Bon réveil pour les autres.
A
Anonyme
Invité
Superbe de maîtrise sensible.
:love:
:love:
:zen:
Merci mon Roberto ! :zen:
Bonsoir, il s'est avéré nécessaire, pour moi, de participer à nouveau… veuillez m’en excuser.
A
Anonyme
Invité
Tout le reste est impeccable de précision et de retenue, mais tout le sentiment est là.
Il vaut mieux faire
A ce propos :
Pour celles et ceux qui voudraient savoir quels sont les textes retenus, qui voudraient en avoir un aperçu, apporter des compléments (j'ai du oublier l'une ou l'autre de vos contributions)
Bon bref : Ex Nihilo / pdf ± 490 ko
Lorsqu'un beau matin cet homme est venu,
Qu'espiègle a sorti d'un chapeau menu
Un billet dont le contenu
Disait : « Ici sois le bienvenu »
Je ne savais pas du tout où j'étais.
Je l'ai vu aussi en train d'annoter
Un carnet qu'il avait apporté.
La lune était claire et le ciel bleuté.
L'air était frais, doux, des gens barbotaient.
Au bout d'un moment l'homme est remonté
Dans sa machine où il était
Écrit : « Transport vers l'éternité »
J'aperçus alors un vieillard chenu,
Binocles, moustache et le crâne nu,
Mais des vêtements bien entretenus !
Je n'ai rien compris. C'était saugrenu.
Qu'espiègle a sorti d'un chapeau menu
Un billet dont le contenu
Disait : « Ici sois le bienvenu »
Je ne savais pas du tout où j'étais.
Je l'ai vu aussi en train d'annoter
Un carnet qu'il avait apporté.
La lune était claire et le ciel bleuté.
L'air était frais, doux, des gens barbotaient.
Au bout d'un moment l'homme est remonté
Dans sa machine où il était
Écrit : « Transport vers l'éternité »
J'aperçus alors un vieillard chenu,
Binocles, moustache et le crâne nu,
Mais des vêtements bien entretenus !
Je n'ai rien compris. C'était saugrenu.
Ex nihilo , il avait vu la lune reduite à rien
Au milieu des poubelles et des vauriens
Un homme endimanché de chagrins
En avait eu assez de cette lumière
Éclairant ses nuits de chimères
Et d'un violent coup de crayon
Avait envoyé la lune par terre
En rayant de son carnet son nom.
Plus jamais il n'aurait le téléphone de cette traîtresse
Il ne verrait plus jamais la lune
Il ne s'éveillerait plus jamais de son lit
Pourtant, il avait été fou de ses dunes ...
Mais tout cela était fini
Il ne demanderait plus jamais la lune ...
"Vous avez demandé la lune ? ne quittez pas"
Plus jamais il n'entendrait ce refrain-là
À la place , il n'y aurait plus dans sa vie, dans sa nuit
Qu'une bruine brune ..
À la présence saugrenue
Dans les bras de ce roi dont la chaleur éblouit
En la quittant, il avait coupé la moustache
Qui de son visage cachait ses secrets ...
Il n'en avait plus ... la lune était brisée
Et désormais rien ne l'intéressait..
Plus jamais il ne brillerait ..
Et le soleil laisserait sa cour et le jour
Etre éclairés seulement par des machines ,trahi..
Et seul,endormi, à la nuit,
pour la première fois de la vie ,
l'Homme partirait sans amour .
Voilà… le temps d'écrire ces quelques mots et la session sera finie.
Je n'ai pas compté le nombre de vos contributions - quel intérêt d'ailleurs ?
La compilation est mise à jour avec vos dernières contributions.
Pour les lecteurs intéressés, cela se passe là : exnihilo.pdf / ± 390 ko
Merci à toutes, à tous.
:love:
Faut qu'je bosse encore moi…
Je n'ai pas compté le nombre de vos contributions - quel intérêt d'ailleurs ?
La compilation est mise à jour avec vos dernières contributions.
Pour les lecteurs intéressés, cela se passe là : exnihilo.pdf / ± 390 ko
Merci à toutes, à tous.
:love:
Faut qu'je bosse encore moi…
Chic, tu sais comment occuper ton week-end de Pâques !
Quand il aura fini de monter les surprises de ses kinder
- Statut
