et avec la tête ? v2

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Cool Pierrou c'est toi qui va gagner, tu pourra enfin proposer un sujet sur Star Wars....:D :up:
 
C'est quand la remise ? Parce que je serai po là si je suis rentré en cours :(
 
UN SOURIRE, UN BONHEUR

MOTS A EMPLOYER AVEC LES DETERMINANTS DÉFINIS : "le , la , l' " j'y tiens!:
LA PETITE FILLE
LA TRAVERSÉE
L'AU - DELÀ
LE SOIR
LE FOULARD

3h30 du matin.....les clics de l'électro-cardiogramme en ont fini de monter et de descendre.
Durant tout le soir, cette femme était tellement puissante.
Les contractions ne lui faisaient même plus mal. je ne sait pas d'où venait cette force, du tout puissant, d'une âme sacrée, de l'au-delà?
De souvenir de medecin, je n'ai jamais vu une dame aussi courageuse.
De toutes ses tripes, elle enfantait.
C'etait mon premier accouchement, ma première véritable experience de terrain.
Malgré la guerre, les bombardements, les explosions, nos modestes tentes tennaient le coup.
L'hôpital de campagne construit à la va-vite dans la brousse prenait une autre allure aujourd'hui...
Je faisait abstraction des blessées, des morts et des emputés.
Le moment présent est consacré au bonheur, à la vie.
A travers cette femme, toute les infirmières, les aides-soignantes et les autres, nous profitons de cet instant magique.
La traversée de cette forêt fut longue, mais pendant tout le trajet, cette femme à la peau pourpre s'etait accrochée. Au plus profond d'elle même, son destin allait devenir double.
3h31...la petite fille sort de son ventre. Elle s'appelera Esperanza.
La joie, le sourire de la maman et de son bébé me font frémir...
4h00...Je quitte les lits qui sentent l'ether pour regagner mon abri et dormir.
Emprint de ce souvenir éclatant, j'esquisse un regard vers le soleil qui se lève.
Dans la fraîcheur de la savanne, je remonte mon foulard sur mon cou, et rève d'un futur en paix...
:zen:
 
guytantakul a dit:
oui, c'est mignon tout plein, mais c'est rempli de fautes et puis tu ne respecte pas les règles établies...

Rebelle, va ! ;) :love: :D :D :D

il suffit de peu de corrections pour que tout rentre dans l'ordre... :D ;)


ya de bien beaux écrits cette fois encore... :zen: bravo bravissimo... :up:
 
Une espèce de gros lard
Une sorte de sorbonnard
Court après le foulard

Acheté sans ristourne
Dans les rues de Libourne
La petite fille tourne

Dans une danse effrénée
Entame la traversée
De la place mal pavée

Elle perd un peu la tête
Paraît plutôt inquiète
C'est la fin de la fête

Il fera bientôt noir
En même temps que le soir
Elle tombe sur le trottoir

Se relève crie hourra
Continue l'opéra
L' au-delà attendra
 
loustic a dit:
Une espèce de gros lard
Une sorte de sorbonnard
Court après le foulard

Acheté sans ristourne
Dans les rues de Libourne
La petite fille tourne

Dans une danse effrénée
Entame la traversée
De la place mal pavée

Elle perd un peu la tête
Paraît plutôt inquiète
C'est la fin de la fête

Il fera bientôt noir
En même temps que le soir
Elle tombe sur le trottoir

Se relève crie hourra
Continue l'opéra
L' au-delà attendra


la jolie ritournelle façon loustic
:love: :love: :love: :love: :love: :love:
 
NED a dit:
UN SOURIRE, UN BONHEUR

MOTS A EMPLOYER AVEC LES DETERMINANTS DÉFINIS : "le , la , l' " j'y tiens!:
LA PETITE FILLE
LA TRAVERSÉE
L'AU - DELÀ
LE SOIR
LE FOULARD

3h30 du matin.....les clics de l'électro-cardiogramme en ont fini de monter et de descendre.
Durant tout le soir, cette femme était tellement puissante.
Les contractions ne lui faisaient même plus mal. je ne sait pas d'où venait cette force, du tout puissant, d'une âme sacrée, de l'au-delà?
De souvenir de medecin, je n'ai jamais vu une dame aussi courageuse.
De toutes ses tripes, elle enfantait.
C'etait mon premier accouchement, ma première véritable experience de terrain.
Malgré la guerre, les bombardements, les explosions, nos modestes tentes tennaient le coup.
L'hôpital de campagne construit à la va-vite dans la brousse prenait une autre allure aujourd'hui...
Je faisait abstraction des blessées, des morts et des emputés.
Le moment présent est consacré au bonheur, à la vie.
A travers cette femme, toute les infirmières, les aides-soignantes et les autres, nous profitons de cet instant magique.
La traversée de cette forêt fut longue, mais pendant tout le trajet, cette femme à la peau pourpre s'etait accrochée. Au plus profond d'elle même, son destin allait devenir double.
3h31...la petite fille sort de son ventre. Elle s'appelera Esperanza.
La joie, le sourire de la maman et de son bébé me font frémir...
4h00...Je quitte les lits qui sentent l'ether pour regagner mon abri et dormir.
Emprint de ce souvenir éclatant, j'esquisse un regard vers le soleil qui se lève.
Dans la fraîcheur de la savanne, je remonte mon foulard sur mon cou, et rève d'un futur en paix...
:zen:
le bonheur le plus fort .. le plus intime ... le plus tragique peut etre aussi
:love: :love: (attention à l'orthographe quand même ;) désolé je suis obligé ..

j'attends encore quelques participations de premiere importance
;) :D
 
C'est toujours le soir que sortent les cafards.
ils font des claquettes sur le parquet quels superstars !
La petite fille observent ces reines de la nuit, elle sourit.
Elle n'est plus vraiment seule avec son cafard.

Les petites pattes glissent sur les carreaux luisants éclairés par une lune distante.
La traversée du couloir est rude même quand on quatre pattes, deux genoux et dix doigts.
Voilà qu'ils s'embourbent dans la moquette, escaladent une chaussure et se perdent dans le foulard de maman. Pourquoi vont ils toujours tout droit ?

Tout à coup ils s'arrêtent, butent contre la plinthe du mur.
A la recherche d'une issue, ils ne s'arrêtent pas.
Et puis l'un d'entre eux bifurque à droite, mue par un instinct coriace
Les autres suivent sans comprendre ... Mais où courent ils si vite ?

Enfin ils arrivent et se précitpitent dans l'interstice.
La petite fille voudrait bien être une souris.
Mais la nuit est là et l'attente fatigue, ils ne reviendront pas.
"Ils sont partis" se dit elle, "ils sont partis vers l'au delà."
 
Désolé j'ai ecris ça d'une traite a l'arrache, je corrige les fautes qui me sont les plus faciles, si ca se trouve il en restera d'autres. Je suis pas Bernard Pivot non plus...lol

3h30 du matin.....les clics de l'électrocardiogramme en ont fini de monter et de descendre.
Durant tout le soir, cette femme était tellement puissante.
Les contractions ne lui faisaient même plus mal. je ne sait pas d'où venait cette force, du tout puissant, d'une âme sacrée, de l'au-delà?
De souvenirs de médecin, je n'ai jamais vu une dame aussi courageuse.
De toutes ses tripes, elle enfantait.
C'était mon premier accouchement, ma première véritable experience de terrain.
Malgré la guerre, les bombardements, les explosions, nos modestes tentes tennaient le coup.
L'hôpital de campagne construit à la va-vite dans la brousse prenait une autre allure aujourd'hui...
Je faisait abstraction des blessés, des morts et des emputés.
Le moment présent est consacré au bonheur, à la vie.
A travers cette femme, toute les infirmières, les aides-soignantes et les autres, nous profitons de cet instant magique.
La traversée de cette forêt fut longue, mais pendant tout le trajet, cette femme à la peau pourpre s'était accroché. Au plus profond d'elle même, son destin allait devenir double.
3h31...la petite fille sort de son ventre. Elle s'appellera "Esperanza"!
La joie, le sourire de la maman et de son bébé me font frémir...
4h00...Je quitte les lits qui sentent l'éther pour regagner mon abri et dormir.
Emprunt de ce souvenir éclatant, j'esquisse un regard vers le soleil qui se lève.
Dans la fraîcheur de la savanne, je remonte mon foulard sur mon cou, et rève d'un futur en paix...
:zen:
 
C'est pas idiot comme idée, tiens...
Reprendre un texte connu se rapportant au thème et y changer juste les mots imposés (ou presque, faut que ça tienne debout quand-même).
À creuser ! :)

PS : jolis textes également, loustic et odré :zen:
 
joeldu18cher a dit:
rhooo mais j'ai jamais dit ça moi!!:o
juste qu'en tapant, on fait des fautes qu'on ne ferait pas en écrivant à la main :rateau:
A la main ou pas à la main,
si on écrit comme des pieds
ça ne change rien...
Ici personne n'est visé.

:D
 
Tu fais bien de le préciser ;) :D

... mais c'est vrai que pour des gens comme moi et bien d'autres, qui tapent leur texte en regardant leurs doigts et pas l'écran, qui relisent rapidos un texte en corps 4 sur un écran en 1600 pixels de large, il est certain qu'on laisse passer plus de fautes qu'en écrivant au stylo - là où le geste ne "permet" que de vraies fautes ;)

Ceux qui regardent l'écran en tapant n'ont pas d'excuse :D
 
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