Justement, j’ai la chance (que je mesure tout à fait, ayant travaillé dans des endroits bien moins enviables au début de ma carrière) d’enseigner et de vivre dans un quartier et une ville aisés, bien desservis par les transports en commun, où on ne risque pas de finir en pâté rien qu’en tombant par malchance au milieu d'un affrontement tribal. C’est uniquement pour cette raison que je laisse si souvent la voiture au garage.
Accessoirement, j'ai l'impression qu'on s'écarte du fil de discussion initial, aussi devrions-nous, soit continuer sur le fil de la vie des macgéens, soit en rester là.