Puisqu'une bande de lascars s'est payé ci-devant ma fiole > je m'en vais te les arroser d'une rasade de rhétorique - destinée à remplir l'espace de la « page manquante »...
Je dis : la rose page et voici que se lève
l'absente de tous les bouquets livres
depuis l'installation sur MacBookAir mid 2013, à l'ouverture j'ai à choisir entre mon identifiant ou invité. Je me demande si Apple à vraiment pensé que l'on prête notre MacBookAir sans mot de passe pour la session?
Cette session est limité à l'accès internet.
Je me demande si je suis en présence d'un piratage ?
Salut
trebor
«
FileVault» a manifestement été
activé dans ton
macOS Sierra. En conséquence, la partition-Système se trouve entièrement
chiffrée > ce qui empêche le volume
Macintosh HD,
verrouillé, de
monter et d'être chargeable.
Dans de telles conditions, comment le Mac peut-il bien
démarrer (se demande l'esprit curieux) ? - eh bien ! il démarre par la bande, càd. la partition de récupération
Recovery HD. Le Programme Interne du Mac (ou
EFI) lancé à la pression sur le bouton d'allumage exécute le
boot_loader (démarreur)
boot.efi de la
Recovery HD > en lui passant des instructions spéciales le
détournant de lancer le Système de secours > mais au contraire d'afficher un
écran de login inaugural.
Deux affichages au moins apparaissent à cet écran :
- l'affichage de l'utilisateur
admin qui a
initié l'activation de «
FileVault» et, de ce fait même, a
habilité son
mot-de-passe d'ouverture de session à servir de
mot-de-passe de déverrouillage du
Volume Logique de la partition chiffrée. S'il y a plusieurs autres utilisateurs dans l'OS > le même
admin a pu
activer également ces autres utiisateurs, càd. habiliter leurs mots-de-passe de session à pouvoir jouer le même rôle de déverrouillage inaugural du
Volume Logique (mais, comme le renseignement de ces mots-de-passe est requis lors de cette activation > il a dû alors leur demander de les saisir confidentiellement chacun le sien).
Le mot-de-passe de session de l'utilisateur «
activé » (à la capacité de déverrouiller le volume de la partition chiffrée) joue donc un
double rôle :
déverrouiller inauguralement le volume-Système de manière à permettre son
remontage et par suite le
chargement de l'OS >
authentifier l'utilisateur afin d'ouvrir la
session correspondante. Normalement, donc : le volume
déverrouillé par le mot-de-passe de l'utilisateur > l'OS se
charge > et à la fin la
session s'ouvre "automatiquement" sans demande redondante de saisie du mot-de-passe qui serait le même que celui de départ.
Mais si jamais l'utilisateur en venait à
changer son mot-de-passe de session (sans répercuter cette modification pour «
FileVault») alors le
mot-de-passe de déverrouillage inaugural du Volume Logique resterait l'
ancien mot-de-passe > et ce dernier ne pouvant plus opérer l'authentification requise à l'ouverture de la session > un
2è écran de login s'afficherait à la fin du chargement de l'OS, exactement comme lorsque la partition-Système n'est pas chiffrée, afin que l'utilisateur puisse se
logger dans sa session.
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- l'affichage d'un utilisateur
invité (
Guest) lequel en tant qu'invité ne dispose d'
aucun mot-de-passe préétabli pour ouvrir une session. Ledit invité ne pouvant donc en aucune façon, sorte, espèce ni manière déverrouiller le
Volume Logique Macintosh HD de l'OS > que peut-il donc bien faire ? - eh bien ! tout ce qu'il peut faire, c'est lancer le Système de... la
Recovery. On a donc affaire ici à un
aiguillage logique, où le même
boot_loader boot.efi de la
Recovery HD -
principalement assume la fonction de
booter du Système de l'OS pour l'utilisateur habilité (
admin) &
secondairement assume la fonction de
démarreur du Système de secours pour l'utilisateur invité (
guest). L'esprit épris de minutie notera que cet aiguillage logique
inverse exactement les priorités classiques, en ce que le
boot_loader boot.efi n'assume plus son rôle de
démarreur du Système de secours qu'en tant qu'option
dérivée (pour l'invité) et prend comme fonction
réglementaire (booter le Système de l'OS) une
autre que sa fonction
naturelle (booter la Recovery).
Cet invité qui peut donc lancer le Système
Recovery avec le
boot_loader de la
Recovery > il ne peut nonobstant ouvrir dans ce Système qu'une s
ession réduite à la portion congrue par rapport à la session standard d'un utilisateur de la
Recovery : il ne possède à sa disposition qu'une et une seule application : «
Safari» avec laquelle il peut se ballader sur le Net, au lieu de disposer de la fenêtre des 4
Utilitaires OS X plus les applications du menu
Utilitaires en cas de session standard.
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Par conséquent, il n'y a dans cet affichage d'un
écran inaugural offrant
2 logins :
Admin =>
démarrage de l'OS vs
Guest =>
Safari en mode Recovery rien d'un piratage accidentel - mais la situation « normale » en cas d'activation de «
FileVault». Situation « normale » qui a consisté, pour les ingénieurs de la à l'époque de la création de ce dispositif inouï («
Lion 10.7») > à « pirater réglementairement » le mécanisme de démarrage de la
Recovery > en détournant le
boot_loader boot.efi de sa fonction de
démarreur du Système de secours pour l'affecter à une fonction de
booter du Système de l'OS (et seulement secondairement à récupérer, pour l'invité, sa fonction de démarreur de la
Recovery). Par « piratage » - j'entends : un arraisonnement logique détournant un élément de sa fonction pour l'annexer à une autre (la génération d'un « fonction vicariante » de l'organe logique).
Ce
boot_loader boot.efi de la
Recovery HD logiquement annexé à la fonction de
booter du Système de l'OS en cas de partition chiffrée (mais, plus généralement, en cas de présence d'un format
CoreStorage - condition logique spécifique de la possibilité de chiffrer une partition - sur la partition
Macintosh HD) > ne peut donc plus être reconnu par le
gestionnaire de démarrage de l'
EFI (appelé par la touche "
alt") comme l'indicateur d'un volume
Recovery démarrable > ce qui fait que la partition
Recovery HD ne peut
plus être affichée à cet écran de choix d'un disque de démarrage. Reste comme seule option pour démarrer en mode
Recovery la combinaison de touches
⌘R.
Oui mais... cette combinaison de touches spéciale va-t-elle pouvoir
activer le
boot_loader boot.efi de la
Recovery HD "
comme si rien ne s'était passé", càd. comme s'il était toujours le
boot.efi franc du collier en charge de démarrer le Système de secours, alors même qu'il a été « logiquement piraté » pour devenir le
booter du Système de l'OS blindé par une architecture
CoreStorage ? Eh bien non ! Car la commande
⌘R ne démarre jamais le
boot_loader boot.efi original (détourné logiquement de sa fonction) > mais déclenche un processus encore plus contourné : la
création en RAM d'un
RAMDisk, montant un volume
Untitled dans lequel les composants du Système
Recovery se trouvent
clonés à la volée (de la même manière que s'il s'agissait d'un démarrage par internet) > suite à quoi le
clone en RAM du Système
Recovery va être démarré par le
clone de son
boot_loader boot.efi entièrement dédié, lui, à cette fonction.
Ce qui me fascine dans le processus de génération de ce dispositif d'ensemble sans équivalent en informatique > c'est son caractère opiniâtre de « fuite en avant logique »... La seule façon d'arrêter ces montages de montages logiques à l'échelle d'un Mac particulier : c'est de
désactiver «
FileVaut» - ce qui
déconstruit le dispositif
CoreStorage impliqué sur la partition-Système
Macintosh HD.