Ecoute, c'est la mer qui roule

Encore des mots toujours des mots
les mêmes mots...

Des mots, assénés artificiellement.
Un nirvana jusqu'alors inaccessible. Réservé à d'autres. Aux autres.
Des mots qui deviennent peu à peu réalité.
Une réalité exaltante, enivrante, troublante. Et égoïste.
Etre insouciant, léger, et libre. Sans blesser?

:confused:
 
madonna a dit:
Encore des mots toujours des mots
les mêmes mots...

Des mots, assénés artificiellement.
Un nirvana jusqu'alors inaccessible. Réservé à d'autres. Aux autres.
Des mots qui deviennent peu à peu réalité.
Une réalité exaltante, enivrante, troublante. Et égoïste.
Etre insouciant, léger, et libre. Sans blesser?

:confused:

Ne pas confondre

Nirvana jusqu'alors inaccessible : Il n'y a pas de disquaire par chez vous ?

Nirvâna jusqu'alors inaccessible : Le Nirvâna est l'état de sérénité imperturbable qui dure jusqu'à la mort du saint après laquelle ce dernier ne reparaît plus jamais nulle part. Cela ne fait pas envie. Il y en a qui ont essayé mais c'est vous qui voyez.Kurt Cobain de Nirvana a atteint le Nirvâna et la suite beaucoup moins exaltante pour reprendre votre formulation.

Philosophies alternatives :

Es gibt ein Leben vor dem Tod

L'au-delà ? Désolé je me suis spécialisé dans l'en deçà.
 
Il vaudrait mieux que je me taise, tout de suite. Mais bon.
Je ne suis pas sûr que l'avant dernier post appelait ce genre de commentaire. Il y a beaucoup d'autres acceptions du nirvana, et renvoyer à celle-là m'apparait comme d'une maladresse insigne. Parfois, il faut prendre le temps de lire. Sinon, lire ne sert à rien.
 
camisol a dit:
Il vaudrait mieux que je me taise, tout de suite. Mais bon.
Je ne suis pas sûr que l'avant dernier post appelait ce genre de commentaire. Il y a beaucoup d'autres acceptions du nirvana, et renvoyer à celle-là m'apparait comme d'une maladresse insigne. Parfois, il faut prendre le temps de lire. Sinon, lire ne sert à rien.

De force, camisol intervient pour défendre ceux qui écrivent
contre ceux qui n'utilisent leur langue que pour pérorer.

Sans force, pitchfork dont la nature est de piquer
se retire avant que d'autres censeurs n'arrivent.

Lorsque les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté.
 
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Réactions: rezba et camisol
Parfois à regarder le doigt qui montre la lune, on en oublie de regarder la lune elle-même... ;) Retournons donc à un degré zéro d'excitation car avec ou sans accent là n'est plus la question depuis quelques temps déjà, même s'il faudra bien un jour choisir... ;)
 
Avant de se désintégrer temporairement dans l'éther,
Pitchfork vous explique ces deux derniers messages énigmatiques

Pitchfork est une fourche à foin,
Ce faisant il pique et se repait de foin

C'est sa nature même que d'agir ainsi
Au grand détriment de ceux qui sont face à l'amer.
 
STOP

Qui ne s'est jamais trompé sur le sens d'un message? (heu, je suis bien placée pour en parler...)

Nous sommes ici, particulièrement dans ce fil, entre gens de bonne compagnie, non?

Un peu écorchés par moment. Mais nous parlant surtout à nous même. Nous libérant par les mots de nos propres difficultés à vivre, avancer, affronter ce qui nous entoure.

En tous cas, c'est comme ça pour moi.

Je vous remercie d'être intervenus. Mais j'aimerais que vous me laissiez m'expliquer avec Pitchfork. Il ne mérite pas vos blâmes.

Je suis sûre que vous comprendrez. Merci.
 
(Avant d'atteindre le processus de désintégration et faire plaisir à Roberto Vendez,
Pitchfork vous offre un dernier message).

Pitchfork comprend que les mots sont salvateurs
Son intention n'a jamais été de blesser (Madonna)

Ni de s'attaquer à ce thread et à son auteur (Camisol)
Simplement Pitchfork ne partage pas la même thérapie.

Face à l'âbime, abbatu, Picthfork s'est relevé
Pour revenir plus fort.

L'enfer, ce sont les autres dit le poète
La vie, ce sont les autres dit Pitchfork

C'est certes dans la nature de l'humain de triompher
Des vissicitudes de la vie que pour mieux mourir.

Il lutte inexorablement de défaite en défaite
Dans une éternelle victoire à la Pyrrhus.

Dont l'issue est inexorable,
Puisque à long terme nous serons tous morts.

Entre ces défaites, il y a de nombreux moments de joie
A partager avec ses proches d'un jour ou de toujours.

Pitchfork dont la philosophie a été celle de la terre brûlée
A décider de pratiquer le pari de Pascal.

Et de vivre sa vie
Comme si demain en était le dernier jour.

Ce principe explique la réaction de Pitchfork au message de Madonna
Mais celle-ci a été devancée par les réactions de ses amis.

Camisol, de force, a réagi et la panthère, de sagesse, rugit
Contre Pitchfork fortement inadapté à la vie.

Lorsque votre entourage vient à votre défense
Il est interdit de renoncer.

Pitchfork vous remercie de vos messages privées;
Privé de consistance, Pitchfork s'évanouit

Et va régner en enfer plutôt que d'être
Esclave au paradis.

(Pitchfork marionnette dans les mains de son créateur rejoint le placard et vous invite à la lecture de "Ce Qui Dépend de Nous" d'Epictète)
 
Faisant fi de tout foin et flèche de tout bois je m'aventure dans ces eaux salées et tumultueuses comme des larmes de douleur, de joie, de tristesse ou de crocodile. Quel beau sujet que celui ou chacun peut s'épancher jusqu'à plus soif. :confused:

Euh j'ai été interrompu par le boulot et depuis c'est le blanc total : je ne me souvines plus de ce que je voulais dire :rose:
 
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Réactions: macelene
Roberto Vendez a dit:
Des comme ça on en a pas vu depuis le Monsieur qui écrivait des trucs incompréhensibles dans son blog et qui s'énervait tout seul, vous vous souvenez, les Vétérans ??

On parle de moi ? :D
 
Partir, c'est un peu mourir (Haraucourt)
mais il y a des petites morts plus agréables.

Comment revenir dans ces conditions ?

Pitchfork a fait l'expérience que les mouvements des corps ne se font pas par l'Ether
Le seul effet est de risquer une crise d'éthéromanie.

Petit, Picthfork n'écoutait pas en physique
Et ne savait pas qu'Eintsein avait évacué la notion d'Ether comme conducteur.

Sauvé, Pitchfork, qui aurait pu choisir également la Matrice,
Vit une possible rédemption de ses mauvaises actions.

Comment sortir de l'état de lutte entre
Les instances psychiques ?

Le ça, le moi et le Surmoi se tiraient la bourre
Dans une course effrénée finalement remportaient par l'orgueil et la mémoire.

Départager l'orgueil de la mémoire. Comment ?
En se souvenant que la pyschanalyse est une imposture (Debray-Ritzen)

C'est une possibilité
Mais surtout en se souvenant de son vieux pote Frédéric.

"Voilà ce que j'ai fait", dit ma mémoire
"Ce n'est pas moi qui l'ai fait", dit l'orgueil, sans pitié.
La mémoire finit par céder" (Nietzsche)

L'orgueil ayant envoyé boulé la mémoire
Et l'égo jouer aux lego.

Pitchfork revient plus fort
N'hésitez pas à le contacter

Sa batterie de Love missile F1-11 est armée
L'option coup de pied au cul est disponible mais plus douloureuse.

Perdu en forêt, la meilleure méthode pour en sortir
C'est d'aller toujours tout droit (Descartes).

On ne s'est pas où l'on va atterrir.Mais on est certain
De sortir de la forêt ce qui est l'objectif initial.

L'existence est une grande forêt
Aussi aller tout droit.

Et lorsque vous êtes abbatu,
Relevez vous (Percussu resurgo).

Toute chose a deux poignées:
l'une permettant de la porter, l'autre non.

Si un proche vous fait du tort, ne prenez pas
Cela en vous disant qu'il vous fait du tort

C'est le côté impossible à porter.
Dites vous plutôt que c'est un proche.

Un compagnon. Vous prendrez ainsi la chose
Du côté où l'on peut la porter (Epictète).

A plus, merci à tous, j'arrête le style vers
Et reviendrais avec de la prose.

PS : JE reviens. IL est mort.