Ecoute, c'est la mer qui roule

iTof a dit:
joli Pitchwork, "occurrence"...
pour gagner des paris ; bien orthographier cette phrase de Gérard Conte : "en l'occurrence, l'imbécillité est un dilemme étymologique"... la moyenne de fautes est de 4 pour cette simple phrase...

Redoutable mais connu ;) :D
 
iTof a dit:
joli Pitchwork, "occurrence"...
pour gagner des paris ; bien orthographier cette phrase de Gérard Conte : "en l'occurrence, l'imbécillité est un dilemme étymologique"... la moyenne de fautes est de 4 pour cette simple phrase...

En l'occurrence, quel est le souci avec cette occurrence ?
 
Je ne sais si c'est le lieu ou l'heure, tôt ou trop tard, voici tout de même une nouvelle occurence.

lent jeu, thème lu, dit que
l'ange t'aime, épique

il, part à dame où rempart
le tien à distance, l'art

bât lett(r)es, et meurtri, erre
les crée "nos" sont pierre

haut sont le ton, en moi
dés valent flèches d'émoi

d'eux en lèchent le feu
deux en pêchent le peu

là, sot en siège et vers tu
en catapulte je m'évertue

je sers l'un cent dits taille
des brèches, jeu des failles

en cas dense v½ux décence
défense est en souffre, en ce

jeu dû, aider ce pion doublé
souffler n'est pas jouer, damnés

les murs raillent, les forts
des courages, et l'effort

bé, lié, entre, ouvre la herse
âpre aux mots, scion de sens sûrs

l'ébat taille, là, dame est va-tout
les scinques lézardent, et nous,

unis, cinq comme en main
quatre mains, tyrans vingt

ah Lions nos Phalanges
et satisses fassent l'ange

la place forte on la défit
et fit place libre, en défi.
 
Joli Monoeil mais un peu dur à lire, non ? ;)

Pour répondre à iTof il y a aussi dans le même style :
"Quelle imbécillité pour un jeune levraut de bayer aux corneilles au pied d'un groseillier" :zen:
 
Une vraie journée de début d'automne.
Il fait gris, mais pas froid. Une moiteur exotique presque.
La pluie est attendue, souhaitée, espérée. Elle se fait désirer depuis des jours maintenant.
Désirer. Oui, c'est exactement ça. Elle nous aguiche avec sa luminosité si particulière en cette saison.
Finis les cieux contrastés et éclatants, annonciateurs de violence torride et parfumée.
Place à la douce grisaille qui filtre langoureusement les rayons du soleil, pas loin mais timide.
Cet été qui n'en finissait pas semble partir sur la pointe des pieds.
Je l'ai déjà oublié.
Je désire l'automne. Avec une impatience inattendue. Inhabituelle.

:zen:
 
Et ça fait longtemps que tu te drogues ? :D
 
sonnyboy a dit:
Tu sais ce n'était pas un compliment.

Oh, Sonny ! T'es venu pour tomber ton futal ?
 
Tu t'en fous un peu ???

Bien.

C'est ce qu'il faut, car les autres s'en foutent aussi, tu peux en être sur(e).
 
camisol a dit:
Oh, Sonny ! T'es venu pour tomber ton futal ?
Eventuellement si je tombe sur quelque chose qui sorte de l'ordinaire je veux bien faire un effort.
 
sonnyboy a dit:
Et ça fait longtemps que tu te drogues ? :D

Je savais pas qu'il fallait être sous acide pour être sur "écoute la mer ..."

Mois je le fais à la ASICS.

Soyez content que je ne passe pas du côté du Skunk Power !

Mes post sont déjà limite incompréhensibles si en plus je m'accompagne de substance :up:
 
Ben là tu vois un gars comme moi, ne comprend pas ton post.

Et comme je dis toujours c'est mauvais signe. :D
 
sonnyboy a dit:
Eventuellement si je tombe sur quelque chose qui sorte de l'ordinaire je veux bien faire un effort.
Je ne suis que son faire-valoir, tu sais. :D
ma médiocrité le rend plus brillant encore. et j'assume. :p
ne me lis plus. et tout ira bien. :zen:
 
Après dissipation des brouillards mâtinaux, les illusions de désirs s'atténueront. La tramontane, discrète mais persistante, se chargera des nuages récalcitrants.
Et la sensation de douceur reviendra.
Les éoliennes et leurs danses envoûtantes, recaleront les battements de mon corps sur un ryhtme régulier. Elles l'ont déjà fait tant de fois. Le souffle discret de leurs hélices majestueuses me murmurera comment dompter certaines rêveries. Et en faire vivre d'autres.
J'ai rompu des chaînes. Et je flotte maintenant. Au gré des vagues désordonnées qui me parcourent de la tête aux pieds.
De la raison, me souffle-t-on, de part et d'autre. Plus tard. J'ai toute la vie pour être raisonnable. Et j'en ai déjà trop consacré à cette quête absurde et subjective, qui finit toujours par enlaidir, affadir tout ce à quoi elle s'attaque.
Immersion dans le plaisir. Les plaisirs. Profonds et superficiels. Réels et virtuels. Voire artificiels. Qu'importe. Tous valent la peine aujourd'hui. Je ne risque pas l'overdose.
Juste se rappeler qu'ils ont une fin. Et qu'un autre viendra forcément prendre la place libérée.
 
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