En tant que vétéran oui mais je pense qu'il s'agît plutôt du f(a/u)meux critique littéraire promu dans la partie "portfolio" des forums. Mais je me trompe peut-être.DocEvil a dit:On parle de moi ?![]()
En tant que vétéran oui mais je pense qu'il s'agît plutôt du f(a/u)meux critique littéraire promu dans la partie "portfolio" des forums. Mais je me trompe peut-être.DocEvil a dit:On parle de moi ?![]()
Nephou a dit:En tant que vétéran oui mais je pense qu'il s'agît plutôt du f(a/u)meux critique littéraire promu dans la partie "portfolio" des forums. Mais je me trompe peut-être.
Pitchfork a dit:Si un proche pous fait du tort, ne prenez pas
Cela en vous disant qu'il vous fait du tort
C'est le côté impossible à porter.
Dites vous plutôt que c'est un proche.
Un compagnon. Vous prendrez ainsi la chose
Du côté où l'on peut la porter (Epictète).
TibomonG4 a dit:Oui, soyons philosophe, gardons le c½ur ouvert et comme le disait ce cher Michel souvenons-nous que : "Les amis n'aiment pas être fidèles. Ils ont l'impression de perdre leur personnalité."
Pitchfork a dit:"Si tous tes amis sont des crétins, est-ce un crime, une faute ou un acte de charité de leur faire sauter la tête avec un calibre trente-huit ?"
Price à Preston
American Psycho
B.E.Ellis
TibomonG4 a dit:Il faut peut-être éviter le fusil à pompe ou le tank, ça fait trop de taches![]()
Pitchfork a dit:Un matin en hiver te voilà seul au monde,
Tu sais bien que tu peux t'appuyer sur moi
Je serais toujours là pour toi
madonna a dit::siffle:
:siffle:
:siffle:
Oh, pardon.
Non, j'apprends à flooder. Même s'il me semble que ce n'est pas le lieu...TibomonG4 a dit:Pas de joli texte pour nous aujourd'hui ?![]()
Pitchfork a dit:En relisant les Syllogismes de l'amertume de Cioran, je suis tombé sur ce passage que j'avais annoté à l'époque de sa lecture et que je ne résiste pas à vous livrer:
"Les peuples qui n'on pas le gôut des balivernes, de la frivolité et de l'à peu-près, qui vivent leurs exagérations verbales, sont une catastrophe pour les autres et pour eux-mêmes. Ils s'appesantissent sur des riens, mettent du sérieux dans l'acessoire et du tragique dans le menu. Qu'ils s'encombrent encore d'une passion pour la fidélité et d'une détestable répugnance à trahir, on ne peut plus rien espérer d'eux, sinon leur ruine. Pour corriger leurs mérites, pour remédier à leur profondeur, il faut les convertir au Midi et leur inoculer le virus de la farce.
Si Napoléon avait occupé l'Allemagne avec des Marseillais, la face du monde en eût été tout autre"
Vous devinez d'où je viens maintenant et mon côté farceur !!!
Pitchfork a dit:Que ce thread continue !
Un(e) ami(e) c'est quelqu'un qui porte votre sac-à-dos rempli de pensées noires.
Quand vous lui avez donnez vous vous sentez mieux, allégé, lui/elle se sent plus lourd(e) mais vous ne vous en rendez pas forcément compte.
Quand cet(te) ami(e) est déjà en surpoids, ouvrir les vannes pour exhaler son ressentiment, vomir sa haine, expectorer son fiel, éjaculer sa colère, déterger son indignation fait gagner du temps.
Cela fait du bien à court terme mais ce n'est pas un sprint que nous courrons mais un marathon.
Un marathon avec des relais; des passages de témoins.
Parfois certains de nos coéquipiers font tomber le relais et on reste en rade à attendre que quelqu'un passe.
Saisir cette occasion n'est pas évident. Devoir regrettrer de ne pas l'avoir saisi est une expérience douloureuse.
Le sentiment de ne pas avoir été là pour un ami cher relève de l'égoïsme car l'on se se croit indispensable. On ne pense qu'à son petit orgueil, à son ego alors que l'important c'est que l'autre est irrémédiablement parti sans retour.
Je préfère être un égoîste dans un corps en duo/trio/.../multipla qu'un égoîste dans un corps en solo.
(merci gustave pour la citation)