Gilbertus a dit:Bonne soirée à ceux qui dans l'obscur feront veiller la lumière de ce thread...
Gilbertus a dit:Les hommes sont des créatures étranges pour les femmes,
Les femmes sont un mystère pour les hommes,
C'est bien connu...
Notre plus grande richesse est devenue notre perte, nous devenons descoquilles sexués imperméables à toutes compréhensions mutuelles,acceptation et vraie découverte de nos différences.
Et pourtant l'homme n'est rien sans la femme et inversement.
Je ne serais jamais un homme avec sa part de féminité, mais je peux etje veux essayer d'être un homme qui accueille la féminité, au plusprofond de son âme, par pour faire sien une chose que jamais il nepossèdera, mais pour partager, le plus proche possible de la réalité,ce que la femme peut apporter de sa différence.
L'homme en lui même est incomplet.. Il lui manque la femme.
Il est illusoire de croire qu'il peut la posséder, la modeler à sondésir. Il peut juste s'oublier dans le don de soi qu'est l'amour, pourespérer la voir lui offrir un peu de ses trésors.
Gilbertus a dit:Je ne serais jamais un homme avec sa part de féminité, mais je peux et je veux essayer d'être un homme qui accueille la féminité, au plus profond de son âme, par pour faire sien une chose que jamais il ne possèdera, mais pour partager, le plus proche possible de la réalité, ce que la femme peut apporter de sa différence.
L'homme en lui même est incomplet.. Il lui manque la femme.
Il est illusoire de croire qu'il peut la posséder, la modeler à son désir. Il peut juste s'oublier dans le don de soi qu'est l'amour, pour espérer la voir lui offrir un peu de ses trésors.
Gilbertus a dit:Pourquoi ? Pourquoi toujours cette même haine ?
Quand l'espoir surnage, le voilà englouti de nouveau.
Comme un fauve de ses griffes se lacérer,
Jusqu"à ce que des lambeaux surgisse un papillon.
Une heure, une heure seulement devenir autre.
Etre lumineux, centre des regards et de l'amour.
Mais de cette chair ne sort que souffrance.
De ce corps que dégoût et plaies de mon âme.
Vouloir que sa tête explose,
Pour envoyer mille échos de ses pensées torturées.
Dans l'espoir d'un ailleurs plus exaltant.
Mais de se crâne ne sort rien.
Juste une prison de ma misère.
Seulement la terrible forêt,
De mes sentiments abscons.
J'y vois cette lumière, si lointaine,
Qui me dit qu'autre pourrait être mon destin.
Elle me traverse et me laisse un goût d'impossible salut.
Elle m'échappe et me vomit cette misérable obscurité qui me nourrit jour après jour.
Sauvez-moi ! Sortez-moi du trou nauséabond de moi-même.
Guidez mes mains engourdies vers ces trésors disponibles.
Donnez moi les onguents de vos sourires,
De peur que mes plaies s'éternisent.
madonna a dit:La tramontane souffle fort nous dit Luc.
Une bonne occasion pour aller voir les éoliennes et les fous du vent de La Franqui.
madonna a dit:La tramontane souffle fort nous dit Luc.
Une bonne occasion pour aller voir les éoliennes et les fous du vent de La Franqui.
:zen: :zen: :zen:Gilbertus a dit:C'est le phare du Cap Fréhel, qui inlassablement envoie son bras de lumière au secours des hommes perdus par les amours impétueuses de la mer et du ciel.
Gilbertus a dit:Cela me rappelle le Cap Fréhel en Bretagne.
Ce site est merveilleux.
Lorsque l'on vient du côté de Fort La Latte, de nuit, on roule a travers des routes vallonées, plongeant et émergeant sans cesse de la végétation. Et à la sortie d'un virage, un flash...
Lumière mystérieuse s'il en ait.
Perdu ! Sans plus de repères visuels tellement le ciel cherche l'étreinte de la mer, entrainaint à sa suite une terre trop gorgée de la luxuriance de ses larmes.
Toujours cette lumière surprenante et fugace...
Et au faîte d'une route, ou serait-ce un détour de notre esprit, enfin la compréhension !!!
C'est le phare du Cap Fréhel, qui inlassablement envoie son bras de lumière au secours des hommes perdus par les amours impétueuses de la mer et du ciel.
madonna a dit:Salut les bretons :love:
Notre mer est réputée plus calme.
Il n'en est pas toujours ainsi. Loin de là.
Et le vent et ses soudaines rafales vous empêchent de trouver votre souffle parfois. Vous brûlent les lèvres jusqu'au sang.
Moi, "ma" mer, c'est celle de mon enfance ... celle des mois de juillet quand on partait pour deux semaines en pension de famille à La Panne ... celle des longues promenades, les pieds dans les vaguelettes et le filet à crevettes au bout des bras... celle de l'ambre solaire qui sentait si bon, celle des petits seaux et pelles en plastic que parfois on enterrait par erreur et qu'on ne retrouvait plus ... celle de ma mère qui était si belle quand elle se dénouait les cheveux sous le parasol ...Gilbertus a dit:Là voilà la mer que je connais...