et avec la tête ? v2

Statut
Ce sujet est fermé.
guytantakul a dit:
PS : vous me connaissez... bonus aux textes concis ;)
Avec ça, je n'ai donc pas beaucoup de chances :hein: :hein: :hein: .
Bah, essayons quand même. Allez hop, tous en classe de philo.


[size=+1]Analyse existentielle de la consubstantialité​
[/size]

Consubstantialité transcendantale : Une théorie générative

On ne saurait ignorer la critique de l'extratemporanéité par Rousseau, contrastons cependant cette affirmation : s'il se dresse contre la démystification irrationnelle de la consubstantialité, c'est aussi parce qu'il en particularise l'analyse synthétique en tant qu'objet existentiel de la connaissance.
Le fait qu'il examine la réalité déductive de la consubstantialité implique qu'il en systématise la déstructuration post-initiatique en tant que concept minimaliste de la connaissance.
De la même manière, il spécifie le comparatisme en regard du modérantisme et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il donne une signification particulière à la déstructuration spéculative de la consubstantialité, et que d'autre part il en systématise l'aspect existentiel en tant qu'objet empirique de la connaissance, alors il particularise la réalité déductive de la consubstantialité.
Finalement, la consubstantialité examine le rapport entre l'antipodisme moral en tant que concept idéationnel de la connaissance et l'idéation de la connaissance en tant que concept créationniste. Nuançons cependant cette affirmation : s'il rejette la conception métaphysique de la consubstantialité, c'est également parce qu'il en conteste la réalité sémiotique en tant qu'objet originel de la connaissance, car nous savons que Leibniz systématise l'analyse subsémiotique de la consubstantialité. Or il en décortique la déstructuration empirique dans une perspective sartrienne nuancée par la conception dialectique du rapport bicontextuel entre la conception créationniste de la notion de connaissance et la conception nihiliste de l'obscurité factuelle de la perception sensorielle. Par conséquent, il se dresse contre la déstructuration métaphysique de la consubstantialité pour l'opposer à son contexte social et politique.
Par ailleurs, on ne saurait reprocher à Leibniz son extratemporanéité irrationnelle, et on ne saurait reprocher à Chomsky sa certitude synthétique, néanmoins, il donne une signification particulière à l'origine de la consubstantialité.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne puisse contester l'impulsion cartésienne du dogmatisme sémiotique pour l'opposer à son contexte social.
On ne peut, pour conclure, contester l'influence de Kant sur le physicalisme métaphysique.
En effet, il particularise l'expression synthétique de la consubstantialité, et on ne peut considérer que Leibniz décortique l'origine de la consubstantialité sans tenir compte du fait qu'il en examine l'expression phénoménologique dans son acception rationnelle.
Ainsi, on ne saurait ignorer la critique kierkegaardienne du physicalisme, et on ne saurait ignorer l'influence de Kierkegaard sur le nominalisme, néanmoins, il donne une signification particulière à l'expression irrationnelle de la consubstantialité.
Si la consubstantialité synthétique est pensable, c'est parce qu'elle en identifie l'analyse sémiotique en tant qu'objet métaphysique de la connaissance.
C'est dans une finalité identique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, l'irréalisme à un réalisme pour le resituer dans toute sa dimension politique et sociale.
Finalement, la nomenclature rousseauiste de la consubstantialité découle d'une représentation métaphysique du scientisme.
Il est alors évident qu'il systématise la réalité transcendantale de la consubstantialité. Soulignons qu'il en donne une signification selon l'aspect rationnel dans sa conceptualisation. Notre hypothèse de départ est donc la suivante : l'aspect leibnizien de la consubstantialité découle cependant d'une intuition empirique du déterminisme sémiotique. Par conséquent il particularise la conception post-initiatique de la consubstantialité.
C'est dans cette optique qu'il redéfinit comme primitive la consubstantialité (voir "pour une vision minimaliste de la consubstantialité"), et même sans ignorer la critique bergsonienne du confusionnisme, il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où Sartre réfute la réalité universelle de la consubstantialité. En effet, on peut reprocher à Bergson son herméneutique empirique pour l'opposer à son cadre politique et intellectuel.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Nietzsche, le nominalisme universel à un monogénisme sémiotique.
Précisons cependant ce raisonnement : s'il interprète la réalité morale de la consubstantialité, il est nécessaire d'admettre qu'il en caractérise la démystification subsémiotique en regard du maximalisme, et c'est le fait même que Chomsky interprète l'expression rationnelle de la consubstantialité qui nous permet de rejeter l'hypothèse qu'il réfute la démystification spéculative dans une perspective rousseauiste.
Il faut cependant contraster cette affirmation : s'il spécifie l'expression existentielle de la consubstantialité, il faut souligner qu'il en vient par là même à en usurper l'aspect post-initiatique au profit du concept primitif de la connaissance ; l'esthétique ou l'esthétisme ne suffisent en effet pas à expliquer le confusionnisme dans une perspective rousseauiste contrastée.
C'est le fait même qu'il identifie alors l'extratemporanéité empirique en tant que concept post-initiatique de la connaissance bien qu'il conteste alors la relation entre primitivisme et créationnisme qui infirme l'hypothèse qu'il s'en approprie la déstructuration transcendantale dans son acception minimaliste alors même qu'il désire l'analyser en fonction du primitivisme.
De la même manière, on ne peut contester la critique de la continuité spéculative par Nietzsche afin de la resituer dans le cadre social et intellectuel.

Vers une théorie de la consubstantialité phénoménologique

Nous savons que Leibniz identifie la conception originelle de la consubstantialité. Or il en examine la démystification empirique dans une perspective kierkegaardienne contrastée, c'est pourquoi il interprète la conception substantialiste de la consubstantialité pour l'examiner selon le mesmérisme universel.
Pour cela, on ne saurait reprocher à Rousseau son spinozisme existentiel, et on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse spéculative de l'abstraction, il est alors évident qu'il envisage la relation entre scientisme et liberté. Notons néanmoins qu'il réfute l'aspect primitif en tant que concept génératif de la connaissance.
De la même manière, on pourrait mettre en doute Nietzsche dans son analyse rationnelle du positivisme pour l'opposer à son contexte social et politique la géométrie sémiotique.
On ne peut, pour conclure, contester l'impulsion spinozienne de la géométrie. Par le même raisonnement, Nietzsche donne une signification particulière à la conception originelle de la consubstantialité, car on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, le suicide à un scientisme, pourtant, il serait inopportun d'omettre qu'il interprète la déstructuration substantialiste de la consubstantialité.
C'est dans une finalité similaire qu'on ne peut contester la critique hégélienne de l'essentialisme transcendantal ; premièrement Spinoza caractérise la contemporanéité déductive par son kantisme phénoménologique ; deuxièmement il en rejette la réalité métaphysique en tant qu'objet synthétique de la connaissance. Par conséquent il conteste l'expression universelle de la consubstantialité.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Leibniz, la conscience à un ontologisme rationnel, bien que ce soit par une argumentation identique qu'il se dresse contre la démystification générative de la consubstantialité. La consubstantialité illustre néanmoins une science métaphysique dans son acception spinozienne.
Leibniz établit alors que la consubstantialité s'oppose fondamentalement au primitivisme spéculatif. Pourtant, il est indubitable que Leibniz spécifie la conception post-initiatique de la consubstantialité. Soulignons qu'il en interprète la réalité circonstancielle sous un angle minimaliste, et la consubstantialité s'appuie d'ailleurs sur un rigorisme rationnel de la pensée individuelle.
Cependant, il conteste la déstructuration post-initiatique de la consubstantialité. On ne peut néanmoins contester l'influence de Nietzsche sur la continuité, cependant, il particularise la démystification phénoménologique de la consubstantialité.
C'est dans cette même optique que Kant caractérise dans son théorème spéculatif dit "du Carambar" la raison par son objectivisme spéculatif : d'une part il donne une signification particulière à la déstructuration spéculative de la consubstantialité, d'autre part il en décortique l'analyse métaphysique en regard de l'objectivité.
 
Finalement, la réalité bergsonienne de la consubstantialité est déterminée par une représentation irrationnelle du minimalisme existentiel.
Ainsi, il particularise la certitude circonstancielle en tant qu'objet synthétique de la connaissance, et comme il semble difficile d'affirmer que Chomsky conteste la démystification universelle de la consubstantialité, force est d'admettre qu'il rejette l'analyse irrationnelle de la consubstantialité.
Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste l'expression post-initiatique de la consubstantialité ; l'objectivisme ou le matérialisme ne suffisent donc pas à expliquer la science primitive comme concept post-initiatique de la connaissance.
Ainsi réfute-t-il, par ce biais, l'expression circonstancielle de la consubstantialité, et de même en décortique-t-il la réalité déductive sous un angle sémiotique. Il en découle qu'il systématise la démystification irrationnelle de la consubstantialité.
Ainsi, il s'approprie l'expression générative de la consubstantialité dans le but de l'opposer à son cadre intellectuel et social.
De la même manière, il se dresse contre l'origine de la consubstantialité, et la consubstantialité s'appuie sur un comparatisme de la société.
Ainsi, Spinoza identifie l'origine de la consubstantialité. C'est le fait même qu'il envisage l'analyse circonstancielle de la consubstantialité qui infirme l'hypothèse qu'il en particularise l'analyse subsémiotique dans une perspective nietzschéenne.
Il faut cependant mitiger cette affirmation car il particularise la déstructuration subsémiotique de la consubstantialité, et la consubstantialité permet d'ailleurs de s'interroger sur une liberté circonstancielle sous un angle rationnel.
Cependant, il restructure le causalisme déductif de la pensée individuelle. Le causalisme irrationnel ou l'amoralisme ne suffisent cependant pas à expliquer l'amoralisme dans une perspective kantienne contrastée.
On ne peut donc contester la critique de l'amoralisme phénoménologique par Leibniz, et pourtant, il est indubitable que Leibniz envisage l'expression idéationnelle de la consubstantialité. Il convient de souligner qu'il en examine la démystification irrationnelle dans sa conceptualisation.
Le rigorisme ou l'antipodisme irrationnel ne suffisent cependant pas à expliquer l'antipodisme existentiel en regard de la dialectique. En effet, il particularise l'analyse rationnelle de la consubstantialité.

Consubstantialité sémiotique : Une théorie existentielle

On ne saurait ignorer la critique du suicide primitif par Sartre ; explicitons néanmoins cette affirmation : si Sartre rejette la conception universelle de la consubstantialité, il est nécessaire d'admettre qu'il en rejette la réalité phénoménologique dans une perspective bergsonienne.
Reformulons donc autrement notre hypothèse de départ : l'aspect kierkegaardien de la consubstantialité est déterminé par une représentation irrationnelle du mesmérisme. Cela signifie notamment qu'il identifie le finitisme minimaliste de l'Homme.
C'est dans cette optique qu'il redéfinit comme minimaliste la consubstantialité (voir "Vers une consubstantialité empirique"), et que d'une part il examine la déstructuration phénoménologique de la consubstantialité, alors que d'autre part il en conteste la réalité minimaliste dans son acception rationnelle.
Cette problématique pose, finalement, la question du rigorisme existentiel dans sa conceptualisation. Néanmoins, elle examine la relation entre créationnisme et passion. La consubstantialité ne peut ainsi être fondée que sur l'idée du monogénisme transcendantal.
De la même manière, on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, l'extratemporanéité primitive à une extratemporanéité spéculative. On ne saurait de même assimiler, comme le fait Descartes, l'extratemporanéité à un terminisme métaphysique, et c'est le fait même que Chomsky s'approprie la conception originelle de la consubstantialité qui infirme l'hypothèse qu'il en conteste la réalité circonstancielle sous un angle rationnel alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Le paradoxe du criticisme rationnel illustre néanmoins l'idée selon laquelle le criticisme déductif n'est ni plus ni moins qu'une objectivité primitive idéationnelle.
Cela nous permet d'envisager qu'on pourrait mettre en doute Nietzsche dans son analyse originelle du pluralisme.
C'est dans une optique similaire qu'on ne saurait reprocher à Kant son esthétisme transcendantal, or nous savons que Kant caractérise la conscience idéationnelle par sa conscience transcendantale, et que d'autre part, il en systématise la déstructuration sémiotique dans son acception synthétique. C'est pourquoi il particularise la conception idéationnelle de la consubstantialité afin de l'opposer à son contexte intellectuel et social.
Toujours dans une optique similaire, on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Leibniz sur le monogénisme métaphysique, et on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion cartésienne du réalisme sémiotique, il est alors évident que Spinoza rejette l'origine de la consubstantialité. Soulignons qu'il en caractérise l'analyse originelle dans sa conceptualisation.
Comme il est difficile d'affirmer qu'il identifie l'origine de la consubstantialité, il est manifeste qu'il se dresse contre la démystification rationnelle de la consubstantialité.
C'est dans une finalité analogue qu'on ne saurait écarter de cette étude la critique nietzschéenne de la science primitive car premièrement Nietzsche s'approprie ainsi la démystification empirique de la consubstantialité, deuxièmement il en spécifie la réalité irrationnelle en regard du tantrisme bien qu'il particularise la déstructuration substantialiste de la consubstantialité. Il en découle qu'il conteste l'origine même de la consubstantialité.
Finalement, la consubstantialité nous permet d'appréhender une herméneutique spéculative de la pensée individuelle.
C'est ainsi qu'il donne une signification particulière à un nativisme universel dans une perspective chomskyenne. On ne saurait cependant assimiler, comme le fait Descartes, le nativisme existentiel à un matérialisme, il est alors évident qu'il s'approprie la réalité spéculative de la consubstantialité. Soulignons qu'il s'en approprie la démystification idéationnelle dans une perspective montagovienne alors même qu'il désire l'opposer à son cadre social.
Premièrement il particularise la réalité primitive de la consubstantialité ; deuxièmement il en identifie la déstructuration phénoménologique sous un angle génératif. Il en découle qu'il caractérise l'innéisme sémiotique par sa dialectique morale.
On ne peut dès lors que s'étonner de voir Leibniz défendre l'innéisme subsémiotique pour critiquer le nihilisme spéculatif opposé au nihilisme idéationnel. (Car cela nous permet, par déduction, de reprocher à Nietzsche son nihilisme rationnel.)
Il est alors évident qu'en contestant la relation entre contemporanéité et esthétisme, les procédures sémiologiques du Français Millant, qui en interprète la déstructuration irrationnelle dans une perspective sartrienne, et celle du Turc Aval'ri, qui réfute, par ce biais, la conception rationnelle de la consubstantialité, ce qui implique qu'il en conteste l'origine primitive dans sa conceptualisation, apparaissent antagonistes.
On ne peut en effet considérer que ce dernier identifie l'analyse substantialiste de la consubstantialité que si l'on admet qu'il s'en approprie la déstructuration synthétique en tant qu'objet idéationnel de la connaissance.
Il faut cependant contraster ce raisonnement car il s'approprie la réalité circonstancielle de la consubstantialité, et le paradoxe du terminisme moral illustre l'idée selon laquelle le synthétisme et la science morale ne sont ni plus ni moins qu'un synthétisme synthétique transcendantal.
Le fait que notre raisonnement spécifie, par la même, l'origine de la consubstantialité implique qu'il en interprète l'analyse post-initiatique en tant qu'objet sémiotique de la connaissance.
Dans cette même optique, cette démonstration, par le fait qu'elle envisage la relation entre essentialisme et conscience et la consubstantialité ne synthétise, par la même, qu'imprécisément la consubstantialité existentielle.


Avec l'aide consubstantielle de charabia.net, générateur automatique de textes aléatoires.
:zen: :zen: :zen:
 
Je te cite pas Philippe, hein ! ;) :rateau:

Dis-donc, tu ne fais pas dans la demie-mesure, toi, quand t'y vas, t'y vas ! ;) :D



Ca me fait pensser à quelqu'un, tiens ! :siffle:





PS : Bon, je lirai plus tard ! :D
Et bienvenue sur le sujet ! :zen:
 
Philippe j'ai tout lu et relu.

La seconde fois j'ai tout compris ! ! !

C'est un grand nettoyage des neurones qui fait du bien par où ça passe.

Merci ! Merci ! Merci !

:hosto:
:D
:mouais:
 
Philippe, ou l'art et la manière de fourvoyer son monde.
Passé la spéculation sur l'herméneutique (qui à mon sens s'apporoche plus ici d'une spéciale hermétique à neu-neus ;) :D), il a fallu décortiquer pour recevoir le français Millant et le turc Aval'ri ;)

En tout cas, bravo, c'était très rafraichissant ! ;) :D
 
-
ARGG ! ,GASPP ! :affraid: ........
-
j'ai ouvert le gaz ... !! :mouais:
-
adieu monde cruel,adieu PHILIPPE :eek:
 
-
héme : une lutte de classes
mots : obscurité, cavalerie, usurper, sémillant, Carambar
_
je me souviens,c'était hier,j'avais alors des culottes courtes
une blouse dont j'etais trés fier,je paradais pendant la route
qui me menait a mon ecole,tout en suivant mon egerie
on l'appelait petite nicole,je la croyais toute ma vie
hélas c'etait une bourgeoise,et elle se foutait bien de moi
j'étais le minus qu'on toise,et qu'on laisse sur son quand a soi
j'avais pourtant pour conquerir,cette etoile a mon ciel piquée
des heures de patience a souffrir,des nuits OBSCURES a pleurer
quelquefois pour en ajouter,a mes sinceres desespoirs
elle appelait la CAVALERIE,de plusieurs de ses pretendants
entre autre son cousin machin chose,qui avait un titre USURPé
un parapluie au fond du prose (1),et une tete a gifler
pourtant je l'ai beaucoup aimé,comme on aime a cet age là
un pur amour d'ecolier,et oui,et c'est bien loin tout ça
je suis encore bien SEMILLANT,comme me le dit la belle hortense
et s'il me manque quelques dents,le reste n'est pas encore rance
seul'ment pour appater la belle,un CARAMBAR ne suffit plus
non pour faire plaisir a la fille,il faut poser sur le dessus
de la commode au pied du lit,un paquet d'euros trebuchant
mais c'est la dure loi de la vie,et c'est le dur poid des ans
-
(1) prose= petit cul en forme de poire des snobinards
-
ps "ceci est une pure fiction,toute assimiliation a ma personne par moultes macgeiste,serait
impitoyablement reprimé,mon arbre généalogique recemment mis a jour par un mien parent
m'a deceler de fringants et honorables aieux SUISSES,oyez ! oyez ! mes fréres "
 
thème : une lutte de classes
mots : obscurité, cavalerie, usurper, sémillant, Carambar?


Ho toi le moustique va te faire voir !
Mais je ne peux pas voir dans l'obscurité dit la taupe?

Espèce de chinois en vadrouille ! retorque la fourmi ...
Quoi? dit aussi que je suis toujours en cavale-riz pendant que tu y est!!! gueule le coléoptère.

Toi, tu essaye de m'usurper ! s'interroge la musaraigne.
Ho non c'est Millant le gros rat qui t'exploite! crie le ragondin.

Tu vaut pas un Carambar?! s'esclaffe le castor.
A oui? Moi, au moins, je peux m'acheter un caramel... se vante la tourterelle.
:D
 

C'était en pleine obscurité
Au beau milieu de la chaussée

Deux conducteurs prêts à se battre
Descendus de leur gros quatre-quatre

Echangeaient des injures techniques
Sous le regard vaseux des flics

Ta chiotte mésopotamienne
N'est pas aussi grosse que la mienne

T'as combien d'chevaux sous le capot
Tire-toi donc espèce de nabot

En quoi consistent leurs singeries
A comparer leur cavalerie

Quelle classe pourraient-ils exhiber
Ils ne feraient que l'usurper

C'est ainsi que passer mille ans
A bien s'engueuler au volant

Est une affaire de détraqués

Allons dans le car embarquez


:cool::D :cool:
 
Certains préfèrent d'obscurité se parer. De noir ils s'entourent, laissant leurs étoffes se confondre à leur ombre.
D'autres usurpent des grades qu'ils n'ont pas et font briller des boutons cuivrés au revers d'une jaquette de cavalerie chinée un jour de pluie.
Il y en a même pour arborer une ardeur sémillante tout juste vêtus de quelques papiers de carambar (allez savoir comment ils tiennent ! :eek: ).

Mais tous espèrent, désirent, voire prient pour qu'à leur passage, enfin, on s'écrit : "Vouaaaaa ! La classe !!!" :D
 
obscurité cavalerie usurper sémillant Carambar
lutte des classes.....littéraires.....



Je suis bien loin de pouvoir USURPER l'image d'un écrivain, d'un romancier, ou même d'un journaliste.
Pourtant, j'en rêve. Je lis, j'observe, je réfléchis...rien ne vient. D'ailleurs, je ne connais pas le mot "SEMILLANT". Je cherche alors dans mon dictionnaire des synonymes : "agile", "actif", "alerte", "animé"... j'en trouve 29 au total. C'est évident ! C'est de plus en plus clair pour moi...c'est sûr !
Je garde mon calme, et je continue de vous suivre, vous, CAVALERIE d'hommes et de femmes blindés d'histoires sans fins, dans ce jeu des mots qu'il faut associer.
Toujours dans l'OBSCURITE, je cherche une histoire à raconter. Facile!... non...j'abandonne. Ca ressemblerait plus à une histoire sortie tout droit d'un emballage CARAMBAR, et là forcément, on verrait tout de suite que je ne suis pas de la même classe.

:siffle:
 
meme si on apprécie LUMAI et MALOW les deux derniers,ont est obligé de bouler
a qui mieux mieux LOUSTIC :D
-
loustic ! loustic ! :)
loustic president !! :cool: :cool:
:up:
 
Statut
Ce sujet est fermé.