Appel à témoins Appel à témoins: êtes-vous passé aux livres électroniques ?

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J'ai acheté un KOBO à sa sortie et depuis on ne le quitte plus !

Évidemment si vous êtes branchés magazines ou journaux, le KOBO n'est pas l'outil qu'il vous faut mais par contre si comme moi vous lisez beaucoup d'ouvrages qu'on trouve facilement sur internet comme les grands classiques c'est que du bonheur !

Un KOBO c'est hyper léger, facile à alimenter en livres.
L'autonomie est d'enfer et le tactile pour tourner les pages me plait vraiment bien.

Pour lire les journaux et les magazines, j'utilise mon ipad, le KOBO n'est pas fait pour ça.

Il ne me manque plus qu'un outil performant pour convertir correctement les pdf en epub et ça sera parfait.
Pour ceux qui reprochent un prix élevé au KOBO, je dirai que 100€ pou avoir une bibliothèque entière dans sa poche ça n'est pas cher payé. On voyage pas mal et les guides au format epub c'est vraiemnt pas mal.

Je pense qu'il ne faut pas se tromper avant achat, si vous lisez des livres et romans récents, le kobo n'est peut-être pas forcément une bonne affaire dans la mesure ou les éditeurs nous prennent pour des imbéciles en vendant leurs fichiers numériques au prix du papier. Ils vont une fois de plus subir le piratage massif, exactement comme pour les CD et les DVD.
Ce manque de clairvoyance m'étonnera toujours. On s'imagine qu'en mettant des DRM par ci par là on va résoudre le pb. J'ai acheté des guides de voyage au format epub avec DRM sur FNAC.com
Je me suis empressé de les faire sauter pour pouvoir éventuellement les lires sur mes autres périphèriques car un KOBO ça reste un appareil électronique qui peut tomber en panne... A quoi me servirait mon guide sans mon kobo ?
La au moins, je peux le lire aussi sur mon Ipad, et c'est rassurant.
 
Plutôt lecteur intensif et passionné par le livre j’ai commencé la lecture sur support électronique portable un peu après l’annonce de l’iPad, sur un Opus de la société bookeen. L’iPad est arrivé plus tard. L’Odyssey, petit frère tactile de l’Opus, a rejoint l’équipe en décembre dernier.

Le livre électronique induit deux choses : un nouveau rapport physique à la lecture et un nouveau (enfin plusieurs, ce serait trop simple sinon) format pour le livre.

Le nouveau support physique, qu’il soit de type tablette ou liseuse (quel terme laid), est pour moi une évolution naturelle de l’objet livre qui possède des avantages et des défauts. De mon point de vue, les avantages l’emportent : faible encombrement, facilité de recherche et… personnalisation. Je ne peux m’empêcher de sourire devant les discours sur la beauté de l’objet livre « traditionnel ». C’est à croire que tous les livres sont composés avec de belles marges, un soin typographique particulier, disposent d’une couverture en cuir et voient leurs cahiers reliés par une couture soigneuse ! Dans un univers parallèle au nôtre peut être mais la réalité est pour moi très éloignée de ça — et pas uniquement pour les livres de poche.

Au moins avec mon bookeen ou mon iPad puis-je choisir le caractère et la taille de texte qui me procurent le meilleur confort de lecture.

Le format, lui, permet d’étendre la palette de l’écriture et concrétisera sans doute les expériences des années 90 sur cd-rom ou disquette. Un ouvrage tel que Kadath, le guide numérique de la Citée inconnue est à ce titre très prometteur ! Espérons toutefois que la généralisation du support du standard epub3 se fasse : nous avons eu le désastre des navigateurs web dans les années 2000, n’ayons pas celle des lecteur d’e-books dans les années 2012 (vœu pieu, je le sais : c’est plutôt mal barré). Espérons aussi que toutes les maisons d’édition prennent conscience de l’inanité des DRM.

Un nouveau format de livre c’est également, pour mon plus grand plaisir, l’arrivée de nouveaux acteurs, passionnés, dans le monde endormi de l’édition. Nouveaux auteurs, éditeurs, graphistes, intégrateurs (si j’écris développeurs, tatouille va sortir son gros rouge). Je me prends même à rêver à de nouveaux libraires !

On peut donc aimer le livre et ses métiers au point d’avoir choisi ses études en fonction d’eux (études à l’école Estienne) et se réjouir de l’avènement du livre électronique.
 
Dernière édition:
J'ai commencé à lire des livres électroniques sur l'iPad (offert par JoliTravail S.A.) n'ayant pas de liseuse. J'avais des craintes quant au confort de lecture et à la fatigue visuelle mais rien de tout ça : j'ai déjà lu plusieurs livres sans aucun problème (mais j'ai bien conscience qu'une personne n'est pas l'autre).

Mon souhait principal est que le format ePub (libre) sans DRM se répande encore plus rendant possible la lecture sur un maximum d'appareils. Beaucoup de livres de grands éditeurs sont encore trop chers (même prix que la version papier ou pas loin). Des petits éditeurs propose des prix plus attractifs.

Comme Nephou, j'ai aussi fait mes études dans les Arts et Industries graphiques et je ne pleure pas du tout sur le livre papier. Il y a de réelles opportunités avec le livre numérique pour des nouveaux marchés. Et je ne parle même pas de l'accessibilité : taille des caractères, fond noir-blanc, synthèse vocale avec voiceover pour les personnes malvoyantes, etc.
 
Dernière édition par un modérateur:
Vu d'ici (La Rochelle), Lyon, comme Marseille, ne font pas vraiement partie de la province...
Aussi, je pars en Chine 3 semaines et bien je suis bien contant d'emmener l'iPad à la place des livres.... Surtout vu la durée du trajet en avion !

Hum… Un volume de La Pleiade, 1500 à 2000 pages de Dostoiewski, Joyce, De Quincey, Borgès ou Dante, ça peut faire un Paris-Djakarta, Paris-LosAngeles, ou Paris-Beijing sans problème, et je parie même qu'il y aura encore assez de pages pour faire le retour… Et cela a une autre gueule que ces bouts de plastic…

Sinon, je lis sur l'ordi, des rapports parlementaires, des études scientifiques (du droit), et c'est parfait… Mais cela se fait à la maison, sur un écran correct…
 
Je lis plusieurs bouquins à la fois, du coup je suis passé au numérique car je trouvais ça plus pratique que de se balader avec plusieurs bouquins en permanence.

Je lis sur mon iPad 1, avec l'appli Kindle. C'est bien mais je pense que je préférerais une petite liseuse dédiée, genre Kindle, c'est plus léger que mon iPad.

Parfois quand j'ai pas mon iPad, je poursuis ma lecture sur l'iPhone. Ça va quand c'est entre deux ou trois stations de train, mais c'est pas terrible pour de longs trajets la lecture sur l'iPhone. L'avantage c'est que je l'ai toujours sur moi.
 
Je me suis acheté une liseuse Bookeen (marque française), j'adore sa légèreté comparée à certains pavés en papier, le dictionnaire et notamment le dictionnaire en anglais qui facilite grandement la lecture de livres en anglais. Et puis ces écrans sont vraiment très agréable. Par contre, je suis déçu par :
le manque d'interopérabilité avec certains libraires : si j'achète un livre électronique chez Amazon, je ne peux pas le lire sur ma Bookeen, et si j'achète un livre je ne peux pas le prêter à un ami!
le prix des ebooks : alors que les versions papier finissent souvent en livre de poche à 5 ou 6 euros, les livres électroniques équivalents restent à une dizaine d'euro... Aucun intérêt économique à lire des livres électroniques alors que tout est dématérialisé, comment le justifier? j'ai comme l'impression qu'il y a un petit problème marketing derrière tout ça.
 
j'ai une liseuse dont je me sers très peu, et quelques titres sur l'Ipad. Cela peut s'avérer pratique mais je reste tout de même une inconditionnelle du vrai livre en papier !!!
 
j'opte pour le mélange de l'offre avec un préférence pour le numérique
1)par souci d'économie d'encombrement
2) pour une raison pratique qui m'est propre, je n'ai plus l'usage que d'une main!
la manipulation est donc infiniment plus aisée (tourner les pages et ne plus se battre avec les feuilles pour retrouver le marque-page!)
c'est donc un rêve de trouver les titres qui m'intéressent en version numérique
dommage pour les petits éditeurs que les conditions de mise en vente sous ce forma chez apple et amazon soient si strictes! prix et droits d'auteurs
 
Je viens de passer au Kindle d'Amazon :
- La lecture est aussi agréable que sur un livre et pas plus fatigante.
- Le choix de livres est grand, par contre les nouvelles éditions sont aussi chères que les livres papiers. Pour ce qui est des classiques les prix défient toute concurrence , cela va du gratuit à moins de 3€ pour tout Eugène Sue par exemple.
- Le chargement de livres est ultra facile et rapide (30 secondes).
- Pour moi qui ai des problèmes de préhension les touches sont un peu difficiles à maîtriser, et la taille de l'appareil est peut-être un peu juste. Il faut changer très souvent de page.
- J'apprécie quand même ce mode de lecture qui m'évite de batailler pour tourner les pages.
- Il y a possibilité d'agrandir la taille des lettres pour ceux qui le désirent.
Dans l'ensemble je suis contente de mon achat.
 
Je fais un mélange des deux systèmes : livres papier et livres électroniques. En général, les livres de référence en papier (éducation, sociologie etc.), ainsi que ceux que j'aime particulièrement, et les romans en livres électroniques : souvent on ne les lit qu'une seule fois, cela ne sert à rien d'encombrer les armoires. Chez moi, les livres grouillent, de la cave au grenier, et on ne s'y retrouve vraiment plus ! En bibliothèque électronique, on retrouve très vite ce que l'on cherche.

Comme je voyage beaucoup, c'est très sympa d'avoir le choix de livres distrayants sur mon iPhone (hé oui, c'est lisible !) ou sur mon MacBook Pro.
Et pour les enfants, c'est super ! Des images en couleurs, et possibilité d'avoir le livre "lu" (J'aime Lire ou La grande Récré).
Pour mon ado, le "I Love English" est pas mal : il y a moyen d'écouter le texte lu par un "native".

Par contre, je n'ai pas acheté de liseuse, par exemple celle de Kindle. Surtout pour les enfants : pas de couleurs, pas de sons. Et cela fait un outil électronique de plus à transporter, alors que je ma balade déjà toujours avec mon iPhone.
Et quand il faut attendre (chez le médecin, à la poste, les enfants à la sortie de l'école...), Hop ! je me lis quelques pages et les minutes s'envolent.
Bref : l'Ebook, c'est génial, mais je continue à aimer les livres papiers. Surtout ceux que l'on lit et relit.
 
Je n'adhère pas pour le moment
Le cote volume réduit est séduisant, mais la rigidité d'une liseuse enlève la magie du toucher, du contact de la communication avec le livre papier,
Un livre passionnant amène un échange tactile avec la matière, cela m'est impossible avec les écrans.
un essai de trois jours avec in kindle ne m'a pas enchanté.
Donc non, je ne suis pas passé aux livres électroniques. et je ne sens pas prêt a y venir;
 
J'ai hâte de tenter l'expérience avec l'achat d'un iPad prévu dans le courant de l'été... :cool:
 
Je suis tentée depuis un moment, mais toutes ces histoires de format captif me déplaisent. Le livre, c'est la liberté.

Puis, ça me donne encore l'impression de ne pas être tout à fait au point... ce qui est incroyable : je me souviens avoir vu les premières liseuses au salon du livre vers la fin des années quatre-vingt dix.

Avec ces inconvénients, ça reste cher.

La désacralisation de l'objet livre n'est pas pour moi un obstacle, malgré une très longue carrière de lectrice.

Je serais pourtant heureuse d'avoir une alternative à l'écran, car je lis beaucoup de choses sur mon macbook, mais pas des livres entiers, c'est trop fatigant. Pour eux, je reste au bon vieux papier.

Bref, j'attends, j'attends,
J'attends de lire un article qui me persuade enfin d'un rapport qualité/prix satisfaisant.
 
D'une manière générale je ne lis pas de livres électroniques car il n'y a rien de tel que de méditer tranquillement dans un livre et de déguster toutes les finesses de style. Les seuls livres électroniques que j'ai sont introuvable ailleurs que sur la toile (vieux dictionnaires).
De plus je signalerai que le balaiement pixel par pixel fatigue les yeux.
Patrice
 
J'étais comme beaucoup, amoureux de l'objet, l'odeur des livres d'occasion, le bruit des pages, la texture du papier me rappelait de bons moments passés à découvrir la littérature SF.
J'ai commencé à lire un peu sur l'ipad 1 mais je n'étais pas satisfait.
A noël, j'ai acheté un kobo et je suis conquis.
Plusieurs déménagements ont eu bon de mon plaisir des livres, maintenant j'ai tout dans une carte mémoire de 2 Go.
J'ai décidé de relire beaucoup de mes livres en anglais, c'est assez facile à trouver dans les livres gratuits.
 
Je suis passé au Kobo car bibliothèque de Fnac, unification entre liseuse, PC, MAC, Ipad, possibilité de mettre des epub sans passer par un "market", bonne autonomie et sutout finesse pour les vacances et les déplacements. Testé durant les vacances sans aucun problème sur la plage avec la housse case logic.

Bilan donc très positif !
 
Bonsoir
Oui, je suis passé aux livres numériques depuis ma retraite et je les lis sur mon smartphone sans aucun ptoblème aussi bien les formats édités par Kindle que les epub (les .pdf ne s'adaptant pas au format du smartphone, ce n'est pas facile.)
  1. J'ai mes livres en permanence avec moi
  2. Je peux faire des notes, surlignage etc
  3. Je peux à tout moment relire un passage, revenir à une note de n'importe quel livre
  4. Les polices sont réglables, la hauteur des interlignes, les couleurs etc..
  5. L'offre est très complète et en plus pas mal de petits livres gratuits.
Bref, j'y ai trouvé de nombreux avantages.
Je pense que d'ici quelques années avec les smartphones grand écran, les tablettes, les liseuses le livre numérique prendra la relève.
Bien entendu le livre papier reste et restera toujours de mise d'autant qu'il représente tout une symbolique pour l'humanité, surtout pour les oeuvres plus élaborés avec belles photos, beau papier mais pour une lecture quotidienne, dans les transports, dans son lit etc... le numérique est plus pratique et prendra l'avantage.
 
ça m'embetterai de devoir re-payer pour des livres que jai déjà, a moins qu'il ne propose des système d'échange de livre contre le contenue dématérialisé.
 
Bon comme je suis pas un perdreau de l'année (45 ans!) j'ai fait toute ma scolarité jusqu'au bac sans ordinateur, j'étais un dévoreur de livre (un par jour en moyenne à cette époque) et j'ai toujours eu des bibliothèques conséquentes... Mais j'ai eu aussi mon premier MAC à l'époque où ce n'était pas encore à la mode (1993 !) et où le disque dur du Mac ne faisais qu'1, 2 Go !!! Depuis , fan de nouvelles technologies et utilisateur assidu dans mon métier (photographe et designer) je n'ai jamais cessé d'essayer d'avoir ce qui se fait de mieux en nouvelles technologies, donc j'ai toujours évolué et été fidèle à Apple. Mais paradoxalement , je ne suis toujours pas emballé par l'iPad , même de dernière génération. je trouve l'écran trop petit, l'obligation d'ajouter un clavier en accessoire pour l'utiliser confortablement, chiant , son manque (relatif) de performance avec des logiciels complexes , sa température en usage intensif, ses piètres capacités de stockage ... tout un tas de paramètres qui me donne encore trop l'impression que l'iPad est le Mac du pauvre, avant d'être un extraordinaire outil mobile ... pour l'ensemble de ces raisons, et un attachement suranné à l'objet "livre papier" , je n'ai pas encore sauté le pas et n'ai pas utilisé (sauf essai en Apple Store et Fnac) un livre électronique sur iPad... Mes principales réticences et griefs envers l'iPad sont : chaleur de l'objet en usage, déchargement trop rapide et nécessité de le recharger souvent, lenteur des processeurs, petitesse de l'écran, confort limité (manque clavier), du coup , comme le livre électronique nécessite un lecteur type iPad, je n'ai pas encore passé le cap et ne l'envisage pas en l'état , bien que l'offre des éditeurs soit de plus en plus riche. Autre réticence importante, la bibliothèque numérique est immatérielle, périssable et fragile , plus elle est chargée, plus c'est une menace et on craint de la perdre en même temps que l'objet iPad qui la contient. C'est cette dématérialisation du support "livre" qui parallèlement à l'atout sous certains aspects (prix, accessibilité, légèreté, richesse visuelle), représente une gène, une perte de contrôle , une fragilisation en même temps que la dématérialisation du livre, ce qui déplait beaucoup aux moins jeunes générations ... Mais ce renoncement ne peut être acceptable que si le support-objet hightech qui le remplace est irréprochable et irrésistible... et ce n'est pas encore le cas...:confused:
 
Ton texte est illisible, pourquoi pas en zapfino tant que tu y es… :rolleyes:
 
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